Mélodie angélique

Fuyant les araignées je partis en courant et au bout du couloir je m'arrêtais, J'avais déjà fait assez de bruits comme ça, il manquerait plus que je réveille le reste des dortoirs!!!

Il était tôt environ 3h du matin je décidais de me rendre au jardin pour commencer mon travail...

Mais comme à mon habitude je me perdais et je tombais tellement de fois que cela me pris facilement 3H à trouver les jardins. Quand enfin je les trouvais je fus si heureuse que je me mis à courir vers les fleurs et les buissons... et pour la vingtième fois ce matin je tombais...

Je me relevais affichant toujours mon sourire béat... accompagné d'un petit rire nerveux... Je regardais autour de moi... Magnifique, il est rare de voir des jardins aussi vivants dans un pensionnat, enfin par vivant je veux dire peuplé d'oiseaux chanteurs et d'insectes joueurs qui volent partout dès le petit matin... C'était un bien agréable spectacle après avoir passer autant de tant sur le bateaux.

Je me raidis en pensant qu'il pouvait y avoir également des araignées... s'il y avait bien une chose qui me terrifiai c'était les araignées...
Bon passons * mieux vaut ne pas y penser *

Des hirondelles dans un petit arbre s'arrêtèrent de chanter quand je m'approchai.
Je souris.

« Bonjour! Petits amis du jardin! À partir d'aujourd'hui je prendrais soin de cette endroit...» dis-je en m'adressant à toutes les créatures des environs.

Des statices... dans le langage des fleurs « qui ne changera jamais ». Des pensées, signifiant « les souvenirs et la nostalgie» les pensées sont une invitation aux souvenirs...La pervenche qui symbolise la mélancolie, un moyen d’exprimer sa tristesse.

Les oiseaux recommencèrent à chanter, je décidais de me joindre à eux entament également une chanson, celle que ces fleurs m'avaient inspiré...

"J'entends cette voix lointaine,
C'est le bruit du vent qui résonne
Que se soit, la joie ou la tristesse
J'avance en étreignant tout cela. "

Un oiseau se posa sur mon épaule droite.

"Un jour j'ai levé les yeux vers le ciel
Et je me suis souvenue de la douleur que j'avais perdue. "

Des larmes me montèrent aux yeux.

"Pourquoi ces fleurs ont-elles fleuri
La raison m'est encore inconnue
Mais surement qu'un jour... je trouverai la réponse "

Je sentis quelque chose en moi se transformer.

"Je recherche un rêve sans fin dans un futur sans indications
Même si un jour, je perds la lumière,
La flamme qui s'est allumée dans mon cœur sera toujours là
Ces fragments d'espoir se transforment en ailes... "

Cette chose provenant de mon âme sortis par mon dos... De grandes ailes ange scintillantes et immaculées apparurent derrière moi, mais je n'interrompis pas ma chanson.

"Comme un nuage en forme de cœur
Qui est en train de changer de forme
Changerai-je moi aussi un jour"

Je tournais la tête pour mieux regarder ces ailes.

"Comme le soleil qui est toujours là
Même lorsqu'il s'est couché
C'est un rêve que je ne peux laisser filer. "

Je compris que ces ailes étaient miennes qu'elles faisaient partie de moi.

"Comme les fleurs qui poussent au printemps
Je graverai un mélodie
Qui sera forte bien qu'éphémère
Et je continuerai de vivre. "

Mes larmes se mirent à couler, je me perdis entre le doute et la surprise, la peur et la paix, entre la tristesse et la joie.

"Le vent se pose sur mes ailes blanches
J'enferme en moi mes souvenirs tremblants. "

Mes ailes se dispersèrent en des milliers de plumes qui commençaient à disparaître.

"J'ai enfin trouvé les réponses...
aux chemins que j'ai choisi jusqu'à maintenant
Cette sensation... le vent souffle...
de solitudes... J'ai enfin compris
Même si la réponse ne se trouve nulle part... "

Un énorme sourire se dessina sur mon visage plein de larmes séchées.

"Un jour je serai capable de voler dans le ciel,
même si je suis tombée beaucoup de fois
Parce que ce qui compte c'est de s'accrocher à ses rêves...
Je continuerai d'avancer en étreignant la joie et la tristesse... "

Je me mis à rire de bon cœur sans savoir pourquoi... Mais je me sentais bien alors ça n'avait pas d'importance.

Le petit oiseau s'envola, il se posa sur l'arbre avec les autres, ils avaient cessé de chanter à présent...
Ils n'étaient pas les seuls, dans le jardin plus aucuns bruits ne se faisaient entendre.
« Alors ça vous a plu cette chanson, petits animaux du jardin?»

Je n'arrivais plus à trouver le sommeil. Il était 3h du matin et je commençais déjà a tourné en rond dans mon lit. Pour ne pas réveiller mes deux colocs je pris mes clics et mes clacs et partis * enfin mes clics et mes clacs se résumais à mes chaussures, ma caméra et une bonne veste en laine bien chaude*. La grande porte blanche claqua violemment contre l'huisserie produisant un son sourd * aïe espérons que ça ne les a pas réveillés*.
Le couloir était large, les teintures ornées les murs le sol était recouvert d'un marbre blanc strié sur la longueur. Cet environnement m'énervait * sa brille trop!!! *. Mais en marchent quelle que minute * et en me perdant* je vis les couloirs prendre une autre apparence. Les murs étaient devenus sale, le sol était recouvert de boue et ........... Une sourie en décompositions trainer par terre * Waw... Alors comme ça, il existe dans ce pensionnat un endroit ou le lux n'a pas sa place. Trop cool!*.

Au bout de 10 minutes je vis le bout de couloir. Le corridor menait à une petite porte, et en l'ouvrant je vis l'immensité des jardins. La verdure était luxuriante des fleurs en tous genre pousser * je parie même quand cherchant bien on peut trouver des fleurs exotiques* tous m'émerveiller dans ce lieu la grâce, le parfum. George Orwell avait dû connaitre un endroit comme celui-ci pour créer le jardin d'Alice. Il ne manque plus que le lapin qui dit « je suis en retard, je suis en retard » et on s'y croirait presque. Sur le chemin en terre battus les racines de l'arbuste se bousculer * ça ne m'étonnerais pas que quelqu'un sois tombé ici*

« Ha... ha HAAAAAAaaaaa » Badaboum ....... « J'aurai vraiment dû me taire »

Pendant ma chute la caméra s'était ouverte. Avec de la chance elle n'était pas cassée. Le voyant rouge s'alluma, à quatre pattes je m'approchais de mon joujou préféré, quand une voix se fie entendre. * et M**** *.

La voix se faisait de plus en plus douce. Une femme était en train de chanter. Je ne comprenais pas un mot de sa chanson car elle n'était pas dans ma langue, mais je me sentais envouter par la mélodie. Je n'avais qu'un seul désir à ce moment-là c'était de chanter avec elle. Ma gorge me brulait, des sons inaudibles sortaient de ma bouche. * mes cordes vocale joue à la corde à sauter ou quoi?!*. Je n'arrivais plus à respirer. J'approchais de la jeune femme en rampant, je remarquais des ailes dans son dos. Alors comme ça, cette fille était ange * rien d'anormale voyons! je ne suis pas folle du tout. *

«On vas faire demi-tour et aller se recoucher. D'accord Nunna »

Je me relevais tous doucement en marchant sur la pointe des pieds, et bien sûr comme dans les films, la moindre brindille brisée attire l'attention de l'autre. * je suis dans de beaux draps maintenant *

Les ailes avaient disparu en quelque instant, avais-je rêvé? Comment savoir? L'interprétation de la chanson de mon cœur avait pris fin et les petits habitants du jardin avaient repris leur occupation première. La tranquillité de ce lieu m'apaisais.* tant mieux si c'est mon nouveau lieu de travail !*
Ma mine s'assombrit, j'avais beau essayer de rester positive, cette ile était bien trop étrange...
C'est alors qu'un bruit, comme si une brindille se brisait, me tira de mes pensées. Je vis une jeune fille, qui n'avait certainement pas plus de 18 ans, mais qui était évidemment plus grande que moi de taille. * j'ai la corpulence d'une fille de 15 ans...*
La jeune fille avait les yeux couleur or, ce qui, je l'avoue, lui donnais un air mystérieux et ensorceleur...
Elle avait l'air de souffrir alors sans vraiment m'en rendre compte je me suis avancée vers elle.
« Tu devrais t'asseoir, tu es très pale» dis-je en anglais espérant qu'elle me comprenne...
Tout en lui disant cela je la contraignais, doucement et avec un grand sourire, à le faire...

Quand je réussis à la faire s'asseoir, je m'assis également à côté d'elle.
« Je devrais peut-être t'accompagner à l'infirmerie?»
J'avais beau avoir dit ça je n'en fis rien. Je regardais la jeune fille qui n'avait pas vraiment l'air d'aller mieux, puis sur ma main j'eus une drôle de sensation comme si on la léchait. Je tournais lentement la tête vers la droite puis baissais les yeux, c'est alors que je vis... Un chat, un petit chat, tout petit, tout adorable, tout mignon, tout blanc, tout chou! Un petit chat qui de lui-même était venu demander des caresses!
Toute joyeuse j'en oubliais tout ce qui occupait mon esprit quelque seconde avant. Je jouais avec cet adorable petit chat et plus rien n'avait d'importance.
Comme pour me ramener sur terre il sauta de mes bras pour réclamer ceux de la jeune fille, se frottant à elle comme un enfant qui voudrait se blottir dans les bras de sa mère. Cette pensée me fit sourire. * Pensée...* dans le jardin il y avait des pensées de la même couleur que les cheveux de cette fille. Je souris de plus belle!
« Dis-moi tu peux m'attendre là cinq petites minutes, je reviens de suite! » m'exclamais-je en anglais.

Dans un coin du jardin se trouvait des dizaines de variété de fleur, les personnes ou les lieux, les chansons, les objets, tout me fait penser aux fleurs, cette fille, elle m'inspirait... le tournesol, qui représente l'éblouissement... les yeux de cette fille ont la couleur des pétales de tournesol...
Dans le jardin , il y avait aussi Le bouton d'or, symbolisant la joie, l'impatience, l'enfance et la moquerie. Les pensées, invitation aux souvenirs... Sans oublier les camélia blanc, offrir un camélia à une femme, c'est mettre à l'honneur sa beauté .
J'en cueillis une de chaque pour aller les offrir à la jeune fille, je constituais un petit bouquet et retournais en courant vers l'arbre où j'avais laissé la fille et le p'tit chaton trognon en criant « voilà j'ai pas été trop longue!? ».

La jeune femme s’approcha de moi l’air affolé. Avec son accent anglais pas terrible elle m’incita à m’assoir. Elle me proposa de m’accompagner a l’infirmerie mais au final on resta là a se regarder dans le blanc des yeux. La fillette de 13 ans qui venait de se pointer avec sa peluche ne posséder plus c’est ailes d’ange * donc j’ai deux théories: sois je suis folle. Sois cette fille est un ange. Mm …… Je vote pour la première solution! Quoi que sa serait marrent si c’était un vrai ange * me tourmenter ne servais a rien surtout que j’étais en train de me faire dévoré par un chat affamer qui ne voyer en moi qu’un morceau de chair fraiche.* non mais franchement j’ai la tête d’un thon pas frai ! Hou hou petit chat crétin JE SUIS PAS A MANGER ! * heureusement qu’ Himawari c’est mi a joué avec lui * ha est oui j’ai oublié de préciser son nom est marqué sur l’étiquette de sa peluche bleu donc j’imagine qu’elle doit s’appelle comme ça * avec un peu de chance Himawari oublierait ma présence et je pourrai partirai en courent. Hélas le chat assassin sauta des bras de la jeune fille pour terminer son repad.* fichu chat*. Après l’incident du chat himawari partit en courent en me disent * toujours avec son accent anglais pas terribles* de l’attendre là.

« De tout façon je n’ai pas vraiment le choix avec ce chat que ne veut pas me lâcher »

Mon message ne parvint jamais à ces oreille vu qu’elle été déjà loin. Le chat ne voulez pas me lâcher du coup la jeune fille eu le temps de cueillir des fleurs et de me les apporter avent même que j’ai pu prendre mes jambes à mon cou. A son retour himawari me tendit des fleurs. Je n’avais aucune idée de qu’elle fleur il s’agacer mais je les prix.
Ma gorge me faisait mal le moindre son qui sorte de ma bouche me provoquer une douleur affreuse et la jeune fille sen rendit vite compte. Je prie mon mal et demanda un service à la petite.

« Dit tu pourrais aller me cherche un vers d’eau ! »

En attendent sa raiponce, je regarder fixement la petite boule blanche qui avait élu domicile sur mes genoux. Le petit chat avait attrapé mon bracelet et commencer à courir * QUOIIIII… mon bracelet. Alors toi mais alors toi … *

« Super un sprinte de beau matin ! »

Au bout de 2mn j’avais rattrapé le chat. Le temps de récupéré ce qui me revenait de droit mon regard scruté l’horizon pour retrouver la petite fille. Je n’avais pas vraiment envie de me perdre d’avantage, donc je me suis assise sur le rebord du bassin des poissons clown qui se trouve près de moi. Les poisons grouiller dans l’eau clair, les regarder nager me fasciner. Leur couleur orangé était en total opposition avec le bleus turquoise de l’eau, mais je ne sais pas pourquoi je me Sentais attirer vers l’eau. L’admiration que je porté à ces petits être devenait peu à peu de la fascination. Une envi soudaine de me jeter à l’eau avec eu me traversa l’esprit.

Mais qu’es qu’il m’arrive ?

Quand je revins auprès de la jeune fille, je lui tendis les fleurs que je lui avais cueilli en disant:
«Voilà! J'ai pas été trop longue?»
La jeune fille pris les fleurs et je fis un énorme sourire. Le petit chat était toujours là, a la câliner, c'était juste TROP MIGNON!!

Mais la jeune fille * Il faudrait que je lui demande son nom * semblais souffrir, son visage se déforma sous la douleur, on aurait dit qu'elle n'était plus capable de parler, les sons qui sortaient de sa bouche ressemblaient plus à des gémissements de douleurs. Pourtant, elle réussie finalement à sortir une phrase:
«Dis tu pourrais aller me chercher un verre d'eau ! »

Je partis en courant sans me poser de questions, j'attrapais Alma, mon adorable peluche qui me suivait partout et fonçais dans le bâtiment principal, ne sachant vraiment où aller, je demandais le chemin de la cafétéria à une magnifique jeune fille aux yeux d'émeraude et aux cheveux d'or *vu comme ça, sa fleur est le camélia *

Une fois dans la cafétéria, je pris carrément une carafe d'eau et repartis en courant, mettant toute mon énergie à ne pas tomber comme à mon habitude.
Une fois de retour dans le jardin, la jeune fille et le chat avaient disparu * Mais où ils ont bien pu aller?*
J'avançais dans le jardin quand je vis le petit chat, SEUL.

« Petit chat! Sais-tu où se trouve la jeune fille par hasard?»

Mais le chat partie en courant sans s'occuper de moi. Après un soupire, je décidais de suivre le chat malgré tout. *Suivons le chat! Au pire tous les chemins mène à Rome, il faudra juste marcher un peu plus longtemps! *

Heureusement j'aperçus la jeune fille au bord d'un bassin , le chat l'observait les yeux ronds, alors que la jeune fille, elle observait l'eau comme fascinée.

Brandissant la carafe d'eau, je l'appelai, mais aucune réponse, comme si le monde autour d'elle avait cessé d'exister et qu'il ne restait plus que ce bassin qu'elle observait.

Comme elle ne me répondait pas je décidais d'aller moi-même à sa rencontre, je partis en courant dans sa direction, mais pourquoi donc ai-je couru? Quel intérêt? Alors que je sais très bien à quel point je ne suis pas doué! Ce qui devait arriver arriva, je cours, cours et cours encore, arrivée à destination, une pierre et comme par hasard, je tombe dessus, j'embronche la pierre et ça dégénère, la carafe :vidée sur le chat, Alma: parterre, les poissons du bassin: traumatisés et la jeune fille et moi: DANS le bassin!
Plus qu'une chose à ajouter:
«Je suis Vraiment TROP désolée!»

Tous s'est passé très vite. En moins d'une fraction de seconde je vis : la jeune fille arriver au trip galop, renverser la carafe qu'elle tenait dans ses mains sur le petit chat blanc * Vengeance ! *, la peluche bleue se rouler dans la boue et la jeune fille se blottir contre moi * mais ce n'étais pas pour me faire un câlin * avant de me faire tomber dans le bassin* Heureusement qu'il n'était pas profond !

Après ce petit incident sans importance j'entendis Himawari dire:

«Je suis Vraiment TROP désolée!»
*Oui bain maintenant ma chérie ont fait comment pour se sortir de là surtout que j'ai bu la tasse* l'eau elle était salée ce qui aurait dû me dégouter, mais bizarrement non.


En asseyent de me relever je sentis mon corps me bruler, à chaque fois que mes muscles se contracter je sentais la douleur envahir mon corps. Je passais ma main sur mon bras, ma peau devenait rugueuse. Un frison parcourait mon corps, je ne contrôlais plus rien mon corps se transformait sans mon consentement comme si de rien n'était. L'impression de ne plus être Moi me rendait folle.

Petit à petit des écailles bleus azur se former sur moi, la progression fut lente et douloureuse. Au début ce sont mes mollets qui se transformaient puis mes cuisses, mon dos et le reste de mon corps. L'eau devenait trouble je ne voyais plus mes jambes juste les poissons se débattre dans tout ce bazar passager. Avant que je m'en rende compte tout mon corps fit paralyser j'étais incapable de me lever. Mes jambes devenaient lourdes elle était déjà recouverte d'écailles bleuter. Le seul problème était peut-on appeler ça des jambes car cela ressemblait plus à une grande nageoire caudale.


* Attendez ça veut dire quoi je suis un poisson maintenant. ça voudrait dire que le chat veut vraiment me bouffer parce que j'étais croisé avec un thon. Non mais sans décorner mon père sait Poséidon aussi. ... Attendez la fille là tout à l'heure elle avait des ails ... ça voudrait dire que c'est bien un ange *


*mais j'ai atterri où moi *

J'étais tombée la tête la première dans le bassin entrainant avec moi la jeune fille qui semblait mécontente, pas étonnant...
Après m'être excusée un millier de fois, je me rendis compte de la jeune fille s'était transformée en sirène, des écailles bleus turquoise avaient recouverts certaine partie de son corps * ce qui lui va très bien, après tout, les fleurs mon besoin d'eau, certaine plus que d'autre... *
« Alors, comme ça t'es une sirène!! c'est trop génial!!! Quand j'y pense moi aussi je suis bizarre en ce moment! Il me pousse des ailes! C'est bizarre non? »
Je fis mon plus beau sourire! Toute émerveillée par les événements... j'avais presque oublié Alma et le petit chat!
« Alma! Petit chat!!»
Un bien triste spectacle, ma petite peluche bleue tachée de boue * snif * et le pauvre petit chat blanc tout mouillé * snif *
Je les pris dans mes bras en sortant du bassin et les serrais très fort contre moi. * les pauvres *
Quand enfin je revins sur terre je me tournais vers la jeune fille:
« Au fait, comment tu t'appelles? Moi c'est Himawari Amane et je travaille dans ce pensionnat comme jardinière, on ne dirait pas comme ça mais j'ai 21 ans! »
Puis d'un coup je me rendis compte que cette pauvre fille était là, dans ce bassin et qu'elle ne savait certainement pas comment retrouver des jambes humaines et non pas une nageoire de poisson!
« Ne t'inquiète pas je vais t'aider!!»
* L'aider? Mais comment, qui dois-je appeler? Où dois-je aller? Qu'est-ce que je dois faire?!!!!!*
Tout en faisant les 100 pas ce genre de question ce bousculaient dans ma tête, au final c'était trop pour moi de marcher et de réfléchir en même temps et encore une fois, je tombais...
Je ne sais pas si je suis mal tombée, si c'est l'émotion, le choque, ou le fait que je n'aie dormi que 5h depuis mon arrivée sur île, sachant que je n'avais pas dormir du tout sur le bateau tellement j'étais malade... Bref je me suis évanoui... * Je ne sers vraiment à rien... *