Sounded like a dead zone [PV Ru Miller]

Assis sur le rebord de la petite fontaine fourrée au fin fond du grand parc du Pensionnat Maryoku, un de ses jeune élève était tranquillement installé. Les pieds croisés de manière décontracté, sa chemise à carreau noire et blanche ouverte sur un t-shirt immaculé et un jeans slim noir moulant ses jambes légèrement musclé. Il était là, seul. Enfin, presque. En fait, il était en grande conversation, sa bouche se livrant à une danse endiablée assez déroutante. Un non-anglophone aurait était incapable de comprendre un traitre mot de ce qu'il disait. De toute façon, personne ne venait jamais ici. Et surtout pas Jude. Que ferait-il ici, de toute manière ? La vraie question était plutôt, que faisait-il là ? Il ne parlait certainement pas seul. Dans sa main était un petit appareil sophistiqué permettant la communication avec n'importe quel pays du globe, ou presque. Et si le jeune homme s'était installé à cet endroit précis, c'est qu'il avait découvert que le réseau était bien meilleur ici que dans sa chambre ou n'importe quel autre endroit de ce pensionnat. Ceci c'était fait tout à fait par hasard, alors qu'il faisait un jogging avec sa colocataire Alix. Son téléphone avait sonné, son père beuglant à l'autre bout du fil que son fils restait injoignable pendant trop longtemps. Du coup, ce matin, Jude avait décider qu'il allait appeler son père pour prendre des nouvelles du pays. En réalité, ça ne le ravissait pas trop ; il avait trop peur qu'on l'informe de choses et d'autre... Des trucs qu'ils ne voulait vraiment, vraiment pas savoir.
Toujours est-il que ça faisait bien dix minutes qu'il parlait à son paternel (et aucune mauvaises nouvelles !) lorsqu'un grand silence remplaça la voix chaude et grave à son oreille.
Bip. Bip. Bip. Plus de réseau.
Jude serra son poing autour du petit appareil. C'était quoi ce bordel ? Mais surtout, surtout, un vide s'était abattu sur sa poitrine. Cet endroit avait-il toujours étais si silencieux ? Il n'y avait pas un chat ici. Pas la moindre respiration, mis à part la sienne. Qui avait commencé à s’accélérer, d'ailleurs. Sans réfléchir, il se leva rageusement en balançant son portable un peu plus loin. Pas très fort, heureusement. Heureusement ? Oui, sauf que l'appareil éléctronique venait de tomber dans l'eau de la fontaine, claire et transparente. Le britanique se retourna prestement vers la structure, se rendant compte de son erreur. Son téléphone brillait sur le sol de la fontaine. Le brun laissa échapper plusieurs jurons dans un anglais on-ne-peut-plus...Populaire. Il s'agenouilla près de rebord et regarda d'un air éteint le saccage. Avec un soupire déséspéré, il commença à plonger la main dans l'eau, avant de la retirer comme s'il s'était brûler.

*Oh, bordel. Pas la peine de que je bousille mes bracelets aussi... Journée de merde là.*

Il se laissa tomber en arrière, sur son postérieur, et entrepris d'enlever chacun des accessoires qui ornait son poignet gauche. Il en avait pour plusieurs minutes, vu la tonne de bijoux qu'il arborait. Ça lui apprendra à en mettre autant. De toute façon, maintenant, il faudrait un miracle pour éclairer sa journée...

Alors que je venais de passer un petit moment à consoler ma colocataire, Lira, je finis par sortir de la chambre pour aller faire un tour. Je me mis en marche pour connaître mieux le pensionnat. Je partais donc à la découverte de ce bâtiment. Il était grand et je voyais trop de personnes. Je pris donc la décision de partir faire un tour dehors. Je traversais les jardins, je passais devant la piscine avant d'arriver dans une grande allée.

Plein d'arbres et de rosier était en fleur, je marchais doucement, j'entendais le bruit de mes petits talons sur le sol. Un silence pesant rendait l'endroit doux. Le vent venait de tomber, un ciel bleu et de petits nuages rendait l'endroit en plus magnifique.
De loin je pouvais apercevoir une fontaine, je m'approchais pour la regarder à quoi celle-ci ressemblait quand j'aperçue, un jeune homme assez mignon téléphonant. Je me cachais donc derrière un buisson pour l'observer. Il devait être assez grand, mais je ne pouvais vraiment apercevoir étant donné que celui-ci était assis. Son visage était fin et ses cheveux si beaux, il me fit totalement fondre.

Je l'observais pendant un petit moment quand en regardant ses lèvres, je me rendis compte qu'il parlait anglais.

*Oh mon dieu ! il est comme moi !*

Je regardais donc se jeune homme encore plus sérieusement. Quand je le vis serrer le point sur son téléphone et le lancer dans la fontaine, un petit rire m'échappa, je ne compris pas quand le jeune homme s'assit sur le sol pour enlever ses bracelets.

Je me mis donc en marche en direction de la fontaine, discrètement je fis le tour de la fontaine et repêchais le téléphone.

- Euh... Excusez-moi, je crois que ceci vous appartient.

Je lui souris en lui tendant le téléphone trempé. Je le secoua un peu pour le vider de l'eau. Je sortis un mouchoir de ma poche pour sècher le téléphone. Je me mis a regarder le jeune homme droit dnas les yeux. Je les trouvaient tellement beau.

- Je m'appelle Ru, Ru Miller. dis-je d'une voix timide. Mes joues se misent a rougir. Et bien sûr je perdis toute crédibilités.

Jude avait réussi à extraire trois de ses bracelets, la mine renfrognée, quand une voix féminine attira son attention.

- Euh... Excusez-moi, je crois que ceci vous appartient.

Le jeune homme resta silencieux quelques secondes, la détaillant de la tête au pieds. C'était une jeune femme, ou plutôt une adolescente, qui devait avoir son âge, peut-être un peu moins...Qu'en savait-il ? Toujours est-il qu'une chose, et pas des moindres, attira son regard. Ses yeux. D'un rose surprenant, attirant. Hypnotique. Après les avoirs longuement scruté, Jude se demanda s'il s'agissait de lentille... Il ne distinguait pas de cercle d'une différente couleur autour de la pupille. En temps normal, il se serait dit que c'était trop étrange, et que ça n'annonçait rien de bon. Étrangement, il se dit que c'était vraiment très beau. Le jeune anglais remarqua ensuite les cheveux de son interlocutrice. Tout aussi rose. Une magnifique couleur, songea-t-il. En réalité, Jude était subjugué. Qui était cette fille, bon sang ?
Ses yeux noisettes se posèrent enfin sur le téléphone qu'elle tenait dans ses mains. Mais ça ne fis pas tout de suite tilt dans sa tête, comme s'il avait déconnecter son cerveau. Ce qui était pas loin d'être le cas, entre nous. La jeune et belle inconnue repris la parole, et les yeux du britannique se posèrent instantanément sur ses lèvres...

- Je m'appelle Ru, Ru Miller.

Enfin, ses neurones se remirent à marcher. Avec la vivacité qui lui étais coutume, Jude saute littéralement sur ses pieds. Il dépassait d'une demi-tête environs la jeune fille, ce qui l'étonna un peu.

*Elles sont toutes grandes les filles dans ce pensionnat ? Oh, 'tain, à quoi je pense moi. Faut que je lui parle. Bordel.*

Il porta la main à son poignet, machinalement, et joua un instant avec ses bracelets, avant de sourire légèrement à la jeune femme. Jude allait enfin ouvrir la bouche pour lui répondre lorsqu'une seconde réflexion lui vint à l'esprit. Son accent. Elle s'était exprimé dans un anglais parfait, un anglais britannique sans aucun doute. Cela lui réchauffa le coeur...Non, c'était un brasier. Un peu troublé, le jeune homme se décida alors à parler.

"Merci beaucoup ! J'm'appelle Jude Pears, enchanté Ru. Je... Euh... Ai eu un petit problème avec... Euh...ça."

Il désigna du doigt son téléphone puis se gratta la joue. Il était vraiment gêné, et il ne comprenait pas pourquoi. C'est vrai, le ridicule n'avait jamais tué personne, mieux, ça lui avait apporter de nombreux amis par le passé. Mais il ne voulait pas que Ru le prenne pour un idiot. Ses cheveux bruns passèrent devant ses yeux baissés, et il ne put même pas apprécier la teinte résolument adorable qu'avait prises les joues de la jeune fille.

Je venais de rencontrer le plus bel homme du monde ! Alors que je lui tendais son téléphone, je sentais son regard scruté mes yeux puis mes cheveux, au début je pensais qu'il allait se moquer de moi, mais pas du tout.
Une fois que je fus présenter, je remarquais que le jeune homme joua avec ses bracelets, il semblait gèné et je dois avouer que moi aussi. Il me fit un petit sourire crispé, puis se présenta.

- Merci beaucoup ! J'm'appelle Jude Pears, enchanté Ru. Je... Euh... Ai eu un petit problème avec... Euh...ça.

Il pointa son téléphone, je pris donc le mouchoir et commençais à sécher celui-ci. Jude avait l'air sincère et aimable et je le trouvais vraiment craquant. Une mèche de ses cheveux tomba devant ses yeux, je levais donc la main pour enlever la mèche de devant ses yeux, c'est alors que je deviens encore plus gêné que je ne l'étais, je deviens rouge comme une tomate et finis par m'asseoir sur le bord de la fontaine. Au fond de moi je devais espérer que ce bel homme allait craquer sur moi, mais je pense rêver.

- Il faudrait commencer par le sécher peut être ? Lui dis-je avec un grand sourire, j'avais tellement envie que le jeune homme touche ma main !

*Mais pourquoi je pense à ça moi ? Un coup de foudre... Je suis beaucoup trop romantique !*

Je regardais Jude de bas en haut, ses yeux noisette était magnifique, je ne pouvais les lâchés. Ses lèvres aussi étaient belle et je dois avouer que les toucher me ferais grand plaisir.
Je continuais de sécher le téléphone de Jude quand je finis par essayer de le rallumer. C'est alors qu'un miracle se produit, il se ralluma. Je tendis le téléphone à Jude pour lui rendre.

- Vous voulez essayé de rappeller la personne avec qui vous étiez en contact tout à l'heure.
J'étais timide, gêné et j'avais des petites visions de lui et moi nous câlinant.

*Mon dieu, je deviens folle !*

Voulant être un peu romantique et faire comprendre au jeune homme mon attirane envers lui, je posais ma main sur celle du jeune homme et lui tira un peu pour lui faire comprendre de s'assoir. Mais ne voulant le bousculer, je lui souris espèrant de lui arracher quelque chose d'affectueux.

Jude était en plein conflit intérieur (*Oh mon dieeeeu, qu'est-ce qu'il m'arriiiive ?*) lorsqu'une petite main passa devant ses yeux, frôla son front et rabattit ses cheveux bruns sur le côté. Sa peau frémit légèrement, bien malgré lui. Ses yeux noisette, arrondis par l'étonnement, se posèrent sur le visage de Ru. Son teint était passé de délicatement rosé à un rouge carmin prononcé qui se fit vite contagieux et qui s’étendit au visage du jeune homme.

*C'est quoi cette overdose de mignonnerie là ?*

Les yeux de l'anglais, qui s'était pendant un instant troublé, cherchèrent rapidement où étais passé la jeune fille. Elle s'était rapidement assise, visiblement terriblement gênée par ce qu'elle venait de faire, ce qui remit Jude d’aplomb. Après tout, c'était lui l'homme. Si cette jeune demoiselle lui faisait de l'effet autant qu'il lui en faisait, tout se passerait le mieux dans le meilleur des mondes. Et il semblait que c'était le cas. Pas de panique. Rester naturel. Ne pas oublier de respirer. Une petite voix vint tinter à ses oreilles, le ramenant à la réalité. La fontaine.

- Il faudrait commencer par le sécher peut être ? !

Son regard fascinant se balada sur le jeune homme, et instinctivement il se redressa un peu. Histoire de se mettre en valeur. Pourtant, il se rendit bien vite compte que ce n'était absolument pas son torse musclé saillant sous sa chemise qui l’intéressait. Elle semblait observer son visage avec attention, scruter quelque chose au niveau de ses lèvres. Le cœur de Jude descendit d'un étage ; est-ce qu'il avait quelque chose collé sur le menton ? De la bave ? De la morve sous le nez ? Quelque chose d’absolument ignoble qui dégouterait la jeune anglaise (il en était presque sûr étant donné son accent) à jamais ? Il porta très rapidement un main à son visage, vérifia que tout était bien en place puis la redescendit. Tout ceci en une seconde. Sa vivacité légendaire lui avait encore servi.
Quand il se calma de la frayeur qu'il s'était fait tout seul, Jude posa son regard sur son téléphone, toujours en possession de la jeune femme. Un sourire franc éclaira son visage ; l'écran était allumé ! Quel soulagement c'était pour lui ! Il avait craint de devoir en racheter un autre, or la pension d'ancien combattant de son père ne lui avait pas permis d'emporter beaucoup d'argent avec lui.

- Vous voulez essayé de rappeller la personne avec qui vous étiez en contact tout à l'heure.
*Euh non.*

C'était la douce voix de Ru qui avait retentit à nouveau tandis qu'elle lui tendis l'appareil. Il s'empressa de le récupérer, ne se privant pas de frôler les doigts fins de la jeune fille au passage. Ses neurones étaient à plein régime, en train de peser le pour et le contre.

*Je peux pas fausser compagnie à cette fille pour appeler mon père... En même temps, il va s’inquiéter. Non, il a l'habitude. Et puis, elle va me prendre pour un rustre si je la laisse là après qu'elle m'ait aidé. Papa comprendra bien, et puis il sera content de moi si c'est pour une fille. Ouais, on va faire comme ça. Maintenant, à toi d'envoyer du pâter Jude !*

Le britannique rangea prestement le portable dans la poche de son jeans. A peine avait-il eut le temps de faire ça qu'il sentit une douce chaleur contre sa paume. C'était Ru qui lui avait pris la main, le rose aux joues, et qui tirait très légèrement dessus. Le signe était clair, il fallait qu'il s'assoit. Ce qu'il fit sans hésiter. Il ressentait des vibrations clairement positive, et l'atmosphère tendait au romantisme. Parole d'expert ; il avait toujours était doué pour sentir ce genre de chose. Et il se trompait rarement.
Jude s'installa donc auprès de sa belle. Il s'était légèrement collé à elle, sans être obscène ou quoi que ce soit. Juste pour sentir son genoux contre le siens, et leurs épaules se touchaient. Doucement, il referma ses doigts autour de ceux de Ru. Comment pouvait-elle avoir une main aussi petite et fragile par rapport à celle du jeune homme ? Il se racla doucement la gorge :

"Je vais rester ici encore un peu, mon appel n'était pas si urgent que ça finalement."

Distraitement (ou pas), il caressa très doucement le dos de la petite main avec son pouce, puis se tourna vers Ru, tentant de faire abstraction du rougissement qu'il sentait peu à peu monter. Il observa son visage encore quelques secondes, avant de reprendre la parole.

"Alors, tu es ici depuis longtemps...? Il ne me semble pas t'avoir croiser jusqu'ici...N'est-ce pas ?"
*Soit pas trop curieux mec, pas trop curieux. Faut pas l'effrayer.

Un sourire chaleureux éclaira son visage.

Les deux adolescents s'échangèrent un regard, sourire aux lèvres. Jude était bien. Le vent caressait ses cheveux, le soleil était haut, la chaleur dans sa main était rassurante. Il se sentait en paix.

- Euh... Je suis arrivé très récemment et.. Je ne connais rien.. ici.

Une petite satisfaction tinta à l’intérieur de l'esprit de Jude. Si elle était nouvelle, cela voulait dire qu'il avait une vraie raison de passer du temps avec elle. Quoi de plus normal qu'aider une jeune femme perdue dans un endroit inconnus ? C'était l'innocence même ! De plus, lui non plus ne connaissait pas parfaitement le pensionnat, et ils auraient sans doute des choses à découvrir ensemble ?
Le Britannique fut surpris de voir la couleur des yeux de Ru changer subitement. Ils étaient devenus plus rouge. Plus beaux. Mais plus inquiétant, aussi, dans l'esprit frêle du jeune homme. Qu'est-ce que cela pouvait bien signifier ? Alors, il utilisa la chose qui fonctionnait toujours dans ce genre de cas. Il le zappa. Totalement, et tout simplement. D'un coup, les yeux de l'anglaise n'avait pas changer de couleur dans son esprit. Donc il n'avait plus besoin de s'en inquiéter. D'ailleurs, Ru aida fortement le processus en commençant à caresser doucement son bras... Chaque neurone de Jude était concentré sur ce contact, si doux. Il ne parvenait plus à s'en détacher, pour peu qu'il ait essayé. Mais il ne voulait pas. Il cherchait juste à graver ce souvenir dans sa mémoire, à en profiter le plus longtemps possible. Ce sentiment de paix.
Toutefois, ses sens se mirent à s'affoler d'un coup. Une bouffée d'adrénaline monta en lui. Les couleurs étaient plus fortes, les bruits décuplés et les mouvements presque lents. Des cheveux roses lui titillait la joue droite tandis qu'une légère pression était apparu sur son épaule. Cela ne dura que quelques secondes qui parurent une éternité au garçon. Un fragment de bonheur à l'état pur.
A peine avait-il eut le temps de calmer sa bouffée d'hormone que Ru s'était éloigné. Sa tête était désormais en arrière, ses cheveux flottant au gré du vent derrière elle et sa peau brillait sous la lumière du soleil, parcouru parfois par de léger frissonnements.

*Ok. C'est un ange en fait.*

Il se ressaisit, se mit une claque mentalement et décida qu'il devait lui parler. Le dialogue, c'était la clé d'une relation. Et dieu sait qu'il en rêvait, de cette relation.

"Moi aussi je suis arrivé y'a pas très longtemps, mais si tu veux je pourrais te montrer ce que je connais... Si tu en as envie bien sûr."

Lorsqu'il avait dis ça, un léger brisement avait secoué sa voix. Très léger, infime, à peine audible en fait. Il se reprit, passa une main sur son visage. Puis il regarda à nouveau Ru. En un instant, il avait lâché sa main et s'était redressé, les yeux baissés.
D'un geste vif, il enleva sa chemise, se retrouvant ainsi en t-shirt sans manche, déplia légèrement le tissus et le posa sur épaules de la jeune fille, un léger sourire gêné étirant ses lèvres pâles et rondes. Puis, réalisant que cela pouvait paraitre étrange, il expliqua rapidement, sa voix déblatérant un flot de mot hallucinant qui aurait été incompréhensible pour un non-anglophone.

"Ouienfintuvoistuavaisl'aird'avoirfroidducoupjemesuisdisquej'allaistepassermachemise
maisenfinaprèsc'estcommetuveuxjeveuxpasquetupensesquejesuisuntypelouchec'était
justepour t'aiderj'aiaucunearrièrepenséesenfintuvoisquoi ?"

Le jeune anglais se passa nerveusement la main dans ses cheveux. Ses genoux tremblaient légèrement, si bien que lui-même ne comprenait pas ce qu'il lui arrivait. Redoutant que sa comparse le remarque, il s'assit prestement, manquant de basculer dans la fontaine. Ses yeux étaient résolument baissé, craignant de croiser du mépris dans celui pourtant si pur de Ru.

*Ressaisis-toi mec.*