Andrea Taylor

Messages : 15 Date d'inscription : 15/08/2012

• Andrea Taylor•

♣ Nom : Scott-Taylor
♣ Prénom : Andrea
♣ Âge : 17 ans.
♣ Sexe : ♀
♣ Date de Naissance : 5 Aout 2012.
♣ Nationalité : Canadienne.
♣ Orientation sexuelle : Lesbienne.
♣ Métier : Étudiante.

♣ Gène : Demi-Dragon.

• Cœur de guimauve ou tête brulée ? •

Physiquement

Andrea est une jeune femme de taille relativement grande puisqu’elle mesure un mètre soixante-dix-sept. Très fine, tout son corps est toujours tendu comme un arc et laisse clairement apparaitre ses muscles élancés et ses os saillants. Ses cheveux sont d’un brun très foncé à la limite du noir, parcouru parfois de reflets dorés. Elle arbore une coupe qu’elle qualifie elle-même de déstructurée. En fait, ils sont assez courts et faussement décoiffés, relevés et désordonnés avec beaucoup de soin. Des mèches traversent son visage…Et quel visage ! La canadienne n’est certainement pas une beauté gravée dans le marbre, mais elle reste incroyablement attirante. Une beauté bestiale, a-t-on parfois dis. Son visage, sans être fin et délicat, est réellement agréable. Proportionné, des traits coupés au couteau, engagés et provoquants. Elle possède une bouche charnue et résolument sensuelle, un nez pointu et droit, des pommettes saillantes et des sourcils légèrement épais qui magnifient les deux perles d’un noir absolu qui lui sers d’yeux. Un regard profond et franc, sans aucun détour. Quant à son sourire, il peut être soit énorme, opulent, éclatant, ou bien moins marqué, moqueur, légèrement tordu sur le côté droit.
Le style vestimentaire d’Andrea reste assez spécial, lui attirant des coups d’œil légèrement étonnés ou intéressés à chaque endroit où elle passe. Elle est toujours vêtue d’un costard-cravate, ou presque. La plupart du temps, elle porte une veste noire en toile banale, accompagnée d’une chemise généralement blanche au col relevé enserré d’une cravate noire plus ou moins bien attachée. Plutôt moins que plus, d’ailleurs. Elle arbore également des jeans serrés et déchirés qui soulignent la taille impressionnante de ses jambes, on bien des pantalons trop grands qui descendent sur ses cuisses, simplement retenus par des ceintures larges et stylisées.
Légèrement androgyne, il est arrivé à plusieurs reprises qu’on prenne Andrea pour un garçon particulièrement mignon. Cela est sans doute expliqué, sans citer à nouveau son visage et sa tenue vestimentaire, par sa voix assez grave mais très douce et son comportement vis-à-vis des autres.

Mentalement

Andrea est une personne simple, sans complexe, qui se plait à ne jamais se prendre la tête pour des futilités. Elle arrive parfaitement à faire la part des choses, tant et si bien qu’elle ne se vexe que très rarement. Pleine d’énergie, elle ne baisse jamais les bras même lorsque la situation est désespérée. C’est à la fois une force mais également une faiblesse puisqu’il lui arrivera régulièrement de tomber de haut en s’engageant dans des projets risqués. Cependant, elle est très forte, endurcie par tout ce qu’elle a enduré, et trouvera toujours le moyen de se relever. Quoi qu’il lui en coûte.
Naturellement protectrice, elle sera très fidèle envers ses amis et d’une aide précieuse en cas de problème. Toujours partante pour sortir et pour s’amuser, elle fait partie du genre de compagnie le plus recherché. Parfois, Andrea pourra être difficile à vivre dans le sens où, lorsqu’elle a vraiment une idée en tête, elle sera longue à disparaître. Voir très longue.
Plutôt calme, elle sera très dure à agacer et encore plus à énerver. Lorsqu’elle a un ennemi, la jeune femme l’évite totalement, l’ignore et se contente de lui adresser la parole pour lui lancer quelques piques bien serrées. Cependant, si on réussit à la mettre en colère, elle réagit de manière violente, enragée. Ceci lui a valu de nombreux ennuis, de telle sorte qu’elle a désormais beaucoup de mal avec les gens colérique. Elle préfère de loin le silence et la tranquillité d’une personne un peu timide à quelqu’un au sang chaud.
De plus, la jeune femme est très impulsive et parfois irréfléchie. Que ce soit pour faire une connerie ou pour aider un ami, elle ne se posera pas longtemps la question et tranchera rapidement. Pour le meilleur comme pour le pire. Certain la qualifieront de spontanée, tout simplement. Il est vrai qu’elle recherche la franchise de la part de ses amis et tentera toujours d’accepter la vérité. D’un autre côté, quand il s’agit d’elle, il lui sera possible de masquer un peu la réalité de peur de blesser une personne qui lui ait cher. Chose qu’elle évitera le plus souvent, mais son instinct de protection le lui ordonnera parfois.
Côté étude, Andrea n’est pas vraiment dans son élément. Pas forcément une acharnée de travail, elle trouvera ennuyeux le fait de rester assise sur une chaise à écouter un vieux parler. Les cours vivant lui plaisent plus, et les travaux manuels encore plus. Elle préfère apprendre sur le tas, comme elle dit. Elle n’a d’ailleurs ni l’âme d’une littéraire, ni l’âme d’une matheuse. A la rigueur, le fais qu’elle soit bilingue lui apporte des facilités en cour de langue. Côté cœur, la jeune canadienne a toujours eu du mal à tomber amoureuse. Les coups de foudre, ce n’est pas pour elle. Elle cherche avant tout à passer des moments agréables avec l’élue de son cœur, sans se prendre la tête. Elle sera toujours fidèle, et si elle sent que le couple ne fonctionnera pas, elle le dira clairement à sa compagne car elle déteste perdre son temps dans une relation sans issues.

Histoire

Andrea Scott-Taylor est née d’un jeune couple d’étudiants habitant Vancouver, au Canada. Ils n’étaient pas mariés. Après tout, l’une avait à peine dix-neuf ans et l’autre en avait six de plus. D’ailleurs, la petite fille n’eut jamais l’occasion de connaitre son père, sa mère ayant perdu sa trace quelques jours avant l’accouchement. Tout compte fait, il se trouvait un peu jeune pour hériter d’une gamine à nourrir et il n’était surtout pas prêt à renoncer à ses soirées interminables au bar. On suppose qu’il s’en est allé du côté de Calgary, mais les deux jeunes femmes qu’il avait laissées derrière lui n’en eurent jamais confirmation. Toujours est-il que, lorsque l’étudiante se présenta à la mairie, accompagnée de ses parents qui l’aidaient dans sa démarche bien que leur foi désapprouvait totalement, elle insista pour que l’enfant porte les deux noms de famille. Ce que le bambin ignorait à l’époque, c’est qu’elle avait fait ça en espérant qu’un jour, l’homme viendrait la débarrasser du poids que représentait cette naissance. Un enfant à élever seule alors qu’on est étudiante frivole ? Un cauchemar.
Andrea grandit dans un minuscule appartement dans la banlieue de Vancouver alors que sa mère enchaine deux ou trois boulots en même temps. La petite fille mène une vie modeste mais elle reste confiante et pleine de rêve, capacité propre aux jeunes enfants. Et, même si elle voit peu sa mère, elle l’aime. Son absence l’oblige à grandir vite, à être indépendante. A la maison, c’est elle qui fait les corvées ménagères. Elle n’apprends pas à lire, elle apprends à passer la serpillère et à faire la cuisine. Sa mère voudrait bien être fière d’elle, mais elle vit trop dans la déception d’avoir dû renoncer à la vie qu’elle rêvait.
Alors, quand la fillette est âgée de huit ans, la jeune femme trouve en l’armée un réconfort. Quelque chose à faire de sa vie. S'échapper de cet appartement pourri, de ces jobs pourris et de cette vie pourrie. Elle s’engage sur un coup de tête du haut de ses 27 ans. Un peu vielle, mais on manque cruellement de bras pour porter les armes. Alors la jeune Andrea déménage dans la campagne canadienne proche de sa ville natale, chez ses grands-parents. Ceux-ci sont âgés, agacé de se voir en charge d’une nouvelle bouche à nourrir alors qu’ils n’aspirent qu’au voyage pour profiter de leurs dernières années. Mais bon, il faut bien que quelqu’un s’en occupe de cette petite ! Elle continue de grandir, suivant son petit bonhomme de chemin. Elle a quelques soucis à l’école, surtout quand on se rend compte qu’elle ne sait presque pas lire et à peine compter. Mais bon, après quelques taloches, ça finit par rentrer dans son esprit.
Son grand-père meurt d’un cancer deux ans après, et sa grand-mère se retrouve seule pour l’élever. Cela dure deux ans, puis celle-ci décède aussi. On demande à sa mère de revenir, mais hélas, la guerre éclate à ce moment. On a besoin de tous nos soldats, et Andrea est placée dans une famille d’accueil. Elle y reste six mois, puis change. Trop d’enfant en charge. Elle reste dans son nouveau foyer presque un an. Puis change. Le père est violent. Alors elle reste dans une autre maison, deux mois, avant de se faire expulser pour on-ne-sait quelle raison. Elle ballotte comme ça pendant plus de quatre ans. Elle rencontre les pires horreurs, ou lorsqu’elle tombe sur un foyer agréable, elle n’y reste jamais bien longtemps. Elle apprend la vie à la dure, comme on dit. Et elle s’endurcie. Le fait qu’elle soit lesbienne n’arrange pas les choses, surtout quand elle refuse de se cacher. Cela lui vaut quelques coups, puis un départ anticipé de plusieurs foyers. On l’envoie dans un centre pour jeune délinquant quelques mois suite à une bagarre au lycée assez violente (soyons honnête, elle a massacré ce garçon qui a osé la traiter de gouine après qu’elle ait refusé ses avances) d’où elle ressort changé. Elle est beaucoup plus calme et a appris à gérer sa colère. Le sport l’y aide beaucoup, la course et le basket surtout. Elle repart en foyer avant de se faire contacter par une association. Elle organise le départ d’orphelin pour une île situé quelque part dans le Pacifique où la paix règne. Pas que la partie du Canada où elle loge soit très touchée par la guerre, mais bon. De toute façon, on ne lui laisse pas trop le choix. Alors Andrea embarque à bord de ce bateau, sans grands regrets.
La traversée prends quelques jours, une semaine tout au plus. La jeune femme passe son temps sur le pont à regarder les côtes de son pays natale s'éloigner jusqu'à tout à fait disparaitre, puis à guetter l'arrivée des nouvelles terres. Elle sympathise avec l'équipage, avec ses compagnons de route aussi. Pas des amis pour la vie, mais elle s'amuse bien avec eux. Et puis surtout, elle a dans l'idée de réussir à passer plus d'un an à voir les même visage. Cette idée lui plait bien, et c'est avec elle que la traversée du Pacifique se fait, sans accrochage.

• Derrière l'écran •

• Prénom : Gérard.
• Age : Intemporel.
• Pays : Le subconscient d’Enora.
• Niveau RP ? : Poilus.
• Comment avez-vous découvert le forum ? : PAR LA PUISSANCE INTERGALACTIQUE DU JEU DE RÔLE TOUT PUISSANT. Ah, merde, y’a deux fois puissant. Flûte.
• Comment le trouvez vous ? : ça manque de boobs. *sors*
• Code : OK par Erika.

Petite note de l'auteur (lolilol) : Serait-il possible de, hum, archiver la fiche d'Archie ? Ou alors la suprimer, si vous ne voulez pas encombrer le forum. Toujours est-il que j'ai repris le même compte en changeant simplement de pseudo, j'espère que ça vous conviendra.

Bienvenue

j'adore ton personnage ! <3

Yo Gerard ! Bienvenue Razz

!!
Elle est belle ta persotte ! Wink

<3

AAAAAAAAAAAAAAAAAH! ♥ Gérard♥ !!
Bienvenue! ♥ ♥ ♥

Ta fiche est validée, vu que c'est un double compte, tu sais ce que tu as à faire.