Trouver du réconfort ! [P.V Gabrielle.B ]

Ce matin là, très tôt dans la chambre 8 . Notre petite Lira, a le sommeil bien agité. De quoi peut elle bien cauchemardé...? Sa mine est renfrogné et elle est toute recroquevillé sur elle même.


A 1h38 ce matin:
Je ne sais pas trop ce que j'ai. J'ai le sommeil agité. J'ai froid, Bien plus que d'habitude...J'ai peur aussi. Je dois probablement cauchemardé .

A 2h15 ce matin (Toujours) :
Je me sens pas très bien, je cherche une position agréable dans mon lit, mais rien ne convient. Je me lève sans un bruit pour ne pas réveiller Ru et Shaushau. Je me débarbouille le visage à grande eau. J'ai le visage rouge et les mains tremblante. Que peut il bien m'arriver?

A 2h30:
Je me suis apparemment rendormie. Mais j'ai chaud et j'ai des aigreurs... Je sens des larmes sur mes joues et je me voix pleurer en rêve .

A 2h40:
C'est maintenant sûr je cauchemarde, ou disons que certains souvenir remonte à la surface, pour me hanter au pays des rêves . Des souvenirs que l'on oublie, mais qui finissent par revenir tôt ou tard .



/début extrait du rêve/
Je vois mes parents en larmes sur une motte de terre fraîche. Je me tiens droite et fière derrière. Ma mère voûtée sur ce qui fut une "tombe". Un nom est gravé à l'opinel, sur la croix de bois penchait... Je perçois à peine le nom, le même que le mien. Je sanglote. Mon père se lève et me prend dans ses bras... Je pars en courant ... En direction du petit bois ...
/Fin de l'extrait /



A 3h01 :(Une drôle d'heure, me dirait vous ! )
Je me réveille en sursaut, tout en sueur froide et effrayait . Les filles dorment profondément. Cette chambre est mauvaise... Je devrais sortir .

C'est alors, que notre petite Lira se dirige dans la chambre 1. Pour trouver du réconfort au près de la seule personne sur qui, elle puisse vraiment compter.

A 3h13 :
Je regarde tout les lits. Chaque personne est dans le siens. Kita dors comme un bébé et Gaby tournée face au mur comme d'habitude.

Je m'approche du lit de Gaby soulève la couette et m'y faufile discrètement. Je met mon dos contre le siens. Et je sombre dans le sommeil.
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Cette fois c'est bien un rêve...

~Lira cours dans un champs de fleurs. Il y a des fées de toute les couleurs, des animaux. Elle tien dans ses mains un filet pour attraper les papillons, un papillon se pose sur sa main ... Elle se roule dans l'herbe, en fessant des cabrioles. Elle rit aux éclats... Les yeux émerveillé, elle fixe au travers des branches de Pins, l'immensité du ciel. Un ciel sans nuage, un ciel d'un bleu incomparable... Un rayon de soleil l'éblouit. Lira se met à tourner sur elle même. Elle aperçoit un Lutin ou un Elfe ... Elle le poursuit...Mais ses pieds s’emmêle dans une racine apparente, elle dévale la Coline de Marguerites... Avant de tomber dans le vide .... Elle tombe encore et encore... Puis s’écrase avec fracas .~


J'ouvre les yeux, une douleur au front. Face contre terre, à plat ventre la tête tourné vers le lit voisin... Je vois un bras pendre du lit. Le lit se serait il abaissait, aurait il diminué ? . M*rde, je réalise enfin ! Gabrielle Basckerville m'a jetée du lit sans aucun scrupule. Je remonte sur le lit sans un bruit pour continué se merveilleux rêve. Avant qu'elle ne m'encastre dans le mûr pour le reste de la nuit.

Le ciel est rouge, le soleil s'en va, enfin, la chaleur d'un soir d'été est trop pénible pour moi...
L'horizon a pris sa teinte chaleureuse, l'homme au cheveux rouge est de dos, il regarde le soleil se coucher, je m'approche lentement, il se retourne, mais je suis toujours incapable de voir son visage, ma vue s'obscurcit... Pourquoi? Qui es-tu?
_Eh princesse! ne me regarde pas comme ça! si tes frères nous voyaient ils me tueraient! dit-il en riant.
Lentement il approche son visage du mien, il va m'embrasser. Par reflex je fais un pas brusque en arrière et... me pris le mur! j'étais de retour dans ma chambre sur Maryoku, le temps de reprendre mes esprits je remarquais qu'un petit verre de terre rose comme une guimauve commençait à s'exiter tout seul dans mon lit. Sans hésiter une seconde, je la poussais violemment.
* Et... BOOOUM *
Puis je me recouchais comme si je n'avais rien vu et rien fait. J'avais rêvé de l'homme au cheveux rouge... * mais... il se passait quoi déjà dans ce rêve? *
Mais évidemment au bout de quelque minute... Lira remonta dans le lit! * mais c'est qu'elle est tétu cette plaie!!! *
Cette fois j'hésitais deux secondes... après tout, elle savait peut-être qui était cette homme qui me hantait...
Mais après reflexion, je la poussais quand même!!!
* Et.... BOOOOOOOOOUM!!!! *
Je souris, satisfaite, puis fus prise de remords.
* Bon...là, j'y suis allé un peu fort... *
Mais c'était pas vraiment mon truc les remords.
* un tout p'tit peu! *

~ Lira se relève difficilement, il faut dire que la chute était puissante. Une chaleur à ses pieds...Elle regarde le sol. Du sable, de la poudre d'or brûlante. Le sable tourbillonne autour d'elles, il forme avec ses grains un petit chat ailé qui lui embrasse le bout du nez. Les grains s'engouffre et elle tombe dans un terrier /BOUM/
Elle voit un Elfe avec une queue de lapin.... L'elfe de tout à l'heure,elle le suis, l'appel. Il s’arrête, se retourne, la regarde, commence à animé sa bouche pour dire une chose. La chose suivante: "Je suis en retard, je suis en retard! ET TU ME RETARDE D'AUTANT PLUS TÊTE DE LINOTTE !". L'elfe s'approche en tortillant son nez et lui met une gifle /BAM/ ~

*Mais qui a éteint la lumière ? * *Mais se serait pas une main sur mon visage ?* *Mais c'est la main de Gab' ! * *Mais heuuuuuuuu, ça fait mal ! *

Notre petite Gabrielle a interrompu une fois de plus le rêve de notre merveilleuse Lira. (Au fait! Je suis la voix dans la tête de Guimauve. Je sais, je sais merci, j'ai d'excellents dons pour la narration... Arrêté vous allez me faire rougir... Voilà ça y est, je ris bêtement ...)

~Cette elfe a une poigne d'acier. Elle se redresse mais il est déjà partit ...Elle fini par sortir du terrier. A l’extérieur d'immense montagnes, de la neige, des baleines saute hors de l'eau pour caresser le crépuscule. Lira reçoit quelques une de ces gouttes au visages, souris, rit et se met à s'esclaffer tel une enfant devant le Papa Noel.

Elle est pieds nus dans la neige et n'a pourtant pas froid... A chaqu'un de ses pas a venir, les pas passé s'effacent. Au loin un homme grand, fort et imposant se tiens sur un bateau... Un bateau tiré par des reines (Étrange, me dirait vous :se gratte le menton: ) Lira s'approche, l'homme la dévisage...Elle lui dit: " Vous êtes qui?" il lui répond: "Ho! Ho! HOW!Je suis le Père Noel! "
D'un geste il l'invite à monter sur le bateau... Ils naviguent sur une mer de coton, accompagné de petits lutins. Lira en câline un, mais le Papa Noel n'est pas content qu'on câline sa femme (Car le Lutin est la femme du Papa Noel. Attention ils ne sont pas tous ses femmes, juste celui là). Alors il pousse Lira hors du navire. /BIG BOUM/ Lira remonte péniblement sur le bateau et pousse à son tour le Papa No' sur une parois du bateau. /MEGA BOUM/ Le Père No' s'approche et lui met un coup de boule /GIGA BOUM/ Lira lui grimpe dessus et commence à se crêper le chignon avec lui. Le Monsieur tente de la jeter de son bateau, mais elle se cramponne sur la rambarde... Elle sent qu'on la pousse de plus en plus fort, mais elle persiste et se cramponne cette fois à l'Homme. Après une lutte acharné, elle fini par être expulsé de la barque./SUPRA BOUM/

Échouer, sur un lieu inconnu. Un rayon de soleil lui brûle le visage. Lira est resté là, à dormir le visage recouvert de sel marin, une bonne heure. Elle a des coup de soleil... Et le soleil quant a lui, semble très fatiguait, il tire la langue et dégouline de lave, les yeux tombant et pousse des soupirs infinissable. Une souris viens la voir, et lui parle mais Lira ne comprend pas elle là suit alors... Un palais, immense, en or, avec des couleur vive, du rose, du bleu turquoise, du prune, du vert émeraude.
Une jeune fée la voit et lui dit: Que tu as de belle dents...Mais tu devrais arrêter les sucreries. Si tu veux que je récupère tes dents...
Mais je ne veux pas... Répond Lira en croquant dans une grosse sucette. La fée prend ça pour une provocation et lui met un coup de pied dans la face. /MEGA GIGA SUPRA BOUM/ . Puis tire sur un bout de la sucette, Lira ne lâche pas. La sucette cède... La fée part s’écraser contre un mur de son palais et Guim' tombe d'un étage dans le vide. /MEGA GIGA PUISSANCE INTERCIDERALE DU COSMOS QUI FAIT BOUM/ ~
*Aie! je ne savais pas que les rêves à Maryoku étaient si douloureux.*

Lira est cette fois dans un endroit bien familier... Elle ne dors plus... Du moins elle somnole, à plats ventre, les fesses en l'air, les bras le long du corps, un sourire béat aux lèvres. Et surtout, surtout, Une énorme, une immense, une monstrueuse, une incroyable bosse sur le sommet du crâne, une bosse pleine d'ecchymose . La couverture déchiré en deux Lira à un morceau, le plus petit et Gabrielle l'autre, le plus grand.
Mais peut importe la douleur et le froid. Lira est près de sa seule raison de vivre désormais.

Je remonte sur le l... Elle remonte sur le li...
*Mais la ferme, d'ou tu te permet de barrer ma phrase...*
*Comment ça la ferme? ... *
*C'est mon histoire, c'est moi qui dit! ... *
*Mais je suis ton narrateur attitré...*
*Tu t'es auto proclamé Narrateur... *
*Mais ça compte... *
*NON! Je vais te casser la g*eule à toi ... *
*Si, tu me la casse, tu te la casse d’office...*
*La ferme! ...*
*Bon, Ok, on fait fyfty fyfty tu narre un peu et quand tu me le permet je narre un peu. Je m'ennui sinon, puis quand tu dors tu peux pas narrer !.*
*Bon ça marche, mais là c'est à moi.*
* Elle gagne toujours cette Guim' .*

Donc je disais je vais lui casser la ... Ha non mince c'est pas ça !

Je remonte dans le lit au près de Gabrielle qui est totalement collé au mûr, en m’agrippant à elle *C'est dingue, ce qu'elle est glacée.* Comme ça, si elle a une autre pulsion. Je l’entraîne dans ma chute.

*Bonne nuit les enfants!*
*Tu te prend pour le marchand de sable maintenant ? *
*Ben... C'est que tu l'as oublié dans ton rêve.*
*Ha, bon ...? Non, J'ai parlé de sable doré... C'est une allusion.*
*Tu appel ça une allusion ? *
*C'est toi qui ne sait pas lire entre les lignes. Narrateur Bidon.*
*Lira Pandora ! Je ne te permet pas de me tirer la langue! Compris ? *
*De quoi tu parle? Ha! Tu veux parler de ça !*
*Lira, arrête avec tes enfantillage, veux tu ! Et dors maintenant, la journée sera longue...*
*Oui, papa. J'arrête promis.*
*Seigneur cette enfant voudra toujours, avoir le dernier mot.*
*Certainement, Bonne nuit ! *
*C'est peine perdu. *

_ Et Gaby qu'est-ce que tu fais? Bouge!
_Dépêche!! on a plus l'temps!
Il faut courir, courir et continuer de courir, encore et encore, loin, plus loin que ça, toujours plus loin, jusqu'à ce que la guerre ne soit plus là... mais elle est partout... je le savais, je l'avais toujours su, au final, on ne peut jamais fuir... mais si mes frêres voulaient y croire, à cet endroit où nous pourrions vivre heureux, alors soit, je fuirais, encore et encore, loin toujours plus loin.
Lira remonta une fois de plus sur le lit,* 'y a pas à dire...elle est tenace...* elle s'agrippa à ma couverture de tout ses forces.
* ça fesait longtemps que je n'avais plus rêvé de mes frères... *
Agacée, je la geneuse poussais du lit une fois encore.
Problème la moitié de ma couverture partit avec elle, elle s'ecrasa une fois de plus contre le sol * Et... Boooum!!!*...et moi contre le mur... * Et... Re: Booooooum!!! *
Je passais ma main sur mon fronc, je n'avais, heureusement, pas de bosse... je me levais furieuse, sans me poser de question sur l'état de Lira ni même lui jeter un regard je sortis de la chambre en claquant la porte pour montrer mon enervement * ne me sousciant aucunement de mes colocataires endormis * J'aimais soigner mes sorties... je revins tout de même sur mes pas quelque seconde plus tard, attrappais des vetements quelquonque et ressortis de la même façon.

Du froid, du dure, allongé sur le coté droit, les jambes remontées sur le ventre, les mains jointes sous la joue droite.*Je suis une crevette* J'ai froid et mal. J'entend le lit grincer. J'ai entrouvert mes yeux difficilement. J'ai regardé ma montre brisée: 6h03 s'affichait. Je regardais vers le lit, j'était une fois de plus à ses pieds. Gabrielle se frottait le front avec insistance. Elle se leva d'une traite, déterminée et décidée à partir. Elle ne me regarda même pas, terré sous le lit elle me marcha dessus comme un vulgaire tapis ou un tabouret. Elle se dirigea avec énervement et rapidement à la porte sans même regarder ses colocataires. Elle empoigna la poignée. L'ouvrit violemment et la claqua fortement. Laissant derrière elle un bruit demeurant.

Surprise. Je me suis levée, me suis débarbouiller dans la salle de bain. Et me suis servis dans l'armoire de Kita car Gabrielle n'a pas vraiment d'habits à ma taille.
Je pris alors une robe à fines brettelles, au bustier blanc et le bas de la robe légèrement évasé coloré façon "tie and dye" de couleurs rose, jaune, vert clair en partant du bas, et un petit ruban se nouant dans le dos. Un habit simple, joli, et féminin. Une fois enfilé je pris la paire de tennis blanche façon Derbies qui traînaient dans la chambre. J'embrasse tendrement Kita sur le front et sors à mon tour dans le couloir.
Je croise un jeune anglais brun, très mignon un peu distant, en train d'écouter de la musique.
Un peu plus bas, je vois une femme avec des lunettes en cul de bouteilles, les cheveux bruns méchées de toute les couleurs et habillée excentriquement. SYDNEY CROSS est affiché sur le badge de sa veste. Je la regarde, lui dit bonjour et descend dans le hall.
Une voix m'interpelle:


-Mademoiselle Muller ?

-... *Ru? C'est Miller non ?*

-Mademoiselle Muller ?

-c'est à moi qu'elle parle ? susurrais-je

-Lira Muller Pandora ? *Bien sûr... Je suis une banane... Muller c'est moi. *

-C'est moi. Qui y a t'il ? (étonnée)

-Nous avons ressue un manda pour vous. Un manda de...Hmmm! d'Isis Muller.

-I...Is...Isis ? Muller ? Mais c'est ma maman. ELLE EST ICI ?

-Non, elle n'est pas ici...Mais elle vous a envoyée ce manda il y a Deux semaines. Nous l'avons eux hier soir. Mais vous dormiez.

-D'accord merci. Heuuu, Bonne journée mademoiselle ! *Tu es partit il y 1 mois...Que cela passe vite....Déjà un moins que tu es là !*

Partagé entre la peur, la curiosité, la joie. Je ne savais que faire. Je restais planté là.

-Lira, vous vous sentez bien ?

-Oui, mais heu, comment dire. Vous pouvez grâce au papier remonter jusqu'à elle ?

-Oui, je pourrais vous le dire se soir, cela prend un certain temps. Je ferais sonner votre chambre quand j'aurais la réponse.

-Merci beaucoup. Dis-je en prenant la réceptionniste dans les bras. Ce qu'elle venait de m'annoncer m'a chamboulée .


Je décidais d'allée faire un tour au marché. Pour prendre l'air, faire des rencontres, et éventuellement trouver Gaby. Je marchais dans l'obscurité car le jour n'était pas encore levé. Des oiseaux sifflotaient en choeur dans la pénombre. Je m’assois sur un banc, le temps de réfléchir aux évènements étranges qui se produisait sur l'île.

Et si Gaby était devenue étrange à cause de cette île, bien que la guerre y soit pour quelque chose .