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 Carlyke Hina, finie.

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4 participants
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Hina Carlyke

Hina Carlyke


Messages : 12
Date d'inscription : 11/12/2012

Feuille de personnage
♣ Age : seize ans.
♣ Gène : vampire.
♣ Copain/Copine ? :

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MessageSujet: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 16:00

• Hina Carlyke •

    Carlyke Hina, finie. Prussi11

      Nom : Carlyke.
      Prénom : Hina.
      Âge : seize ans.
      Sexe : féminin.
      Date de Naissance : vingt-et-un Décembre.
      Nationalité : Anglaise.
      Orientation sexuelle : bisexuelle.
      Métier : étudiante.

      Gène : vampire.



• Cœur de guimauve ou tête brulée ? •


    Physiquement
    La première chose que l’on remarque chez une personne est sûrement sa morphologie.
    Elle mesurait un mètre soixante-quinze. Elle ne dépassait pas la moyenne des filles de sa famille. Elle pesait quarante-deux kilos. On dit que l’équilibre parfait d’un corps est au moment où le il n’y a que dix kilos de moins que le chiffre des dizaines. Enfin… Elle aurait dû peser soixante-cinq kilos, en définitive, pourtant…
    Puis son port. Si une personne est bossue, l’œil l’aura sûrement en horreur. Venant d’une bonne famille, le dos droit, ventre rentré et fesses serrées, ce n’était plus qu’une habitude contraignante. Que dirait un invité s’il voyait une fillette avachie ?

    Alors, on s’intéressait aux évidences. Chez un pianiste, on ne pouvait s’empêcher de regarder les mains, les jambes des danseuses étoiles nous fascinaient, les lèvres des chanteurs nous transportaient, mais lorsque l’on était face à des sans-talents, on observait le tout.
    Sa peau diaphane était la première chose que l’on remarquait. La première chose qui dérangeait la vue. De notre siècle, les bronzages parfaits étaient privilégiés, pourtant, elle était albinos.
    Mais de toute façon, on ne la voyait que peu souvent, attirant trop de regards empreints de dégoût, elle préférait cacher tout cela.
    Ceci remarqué, on posait les yeux sur sa longue chevelure. On aurait presque cru à une teinture, ses reflets légèrement argentés auraient été jolis, pour une durée limitée, pour un déguisement, le temps d’une soirée. Ils étaient raides à la base, mais sous ses traitements, ils avaient rapidement pris en volume et légèrement rebellé. Ils encadraient un visage plus ou moins mature, couvert de traces d’enfance : un front ni trop large, ni trop bombé ; des sourcils fins, arcs de cercle froncés par son désarroi constant, surplombaient des paupières douces, poudrées, cachant deux yeux rouges de son albinisme faussement protégés par de longs cils argentés ; plus bas, un petit né retroussé ; des lèvres fines, roses, voilant ses dents éclatantes et blanches ; des pommettes hautes ; une joue abimée par une cicatrice ; un menton joli.
    Alors on passait les doigts sur son cou fin, ni trop long, d’ailleurs. Ses veines y étaient plus visibles encore qu’ailleurs.
    On débouchait sur ses frêles épaules ; longeait ses bras jusqu’à ses longs doigts fins ; passait les yeux sur sa poitrine, plus ou moins avantageuse ; embrassait ses hanches, comme ses cheveux le faisaient si bien ; et finalement, on glissait ses mains dans son dos, sa colonne vertébrale se faisait sentir, jusqu’à ses reins, puis plus bas, à en effleurer ses cuisses et se perdre le long de ses jambes.

    Souvent on disait qu’elle aurait pu être jolie. D’autres, attirés par le non-ordinaire la disait au summum de sa beauté, pourtant, devant ses miroirs, elle voyait les cicatrices qu’elle s’était elle-même causées.

    Côté vestimentaire, elle était du genre à se cacher. Elle dissimulait sa peau sous tout ce qu’elle trouvait, elle en venait même à porter un masque, de temps en temps, lorsqu’elle était trop désespérée par son visage.



    Mentalement
    A la base, elle était supposée avoir un bon fond. Balancés entre ses défauts et ses qualités, ses amis l’auraient trouvé adorablement agaçante. Pourtant, elle ne connut pas l’agréable famille, les gentils amis.

    Il faut être réaliste, après avoir basculé, après avoir été trahie, du style cliché. Elle s’était crée une fausse image de la méchanceté à partir de foutus stéréotypes. Elle ne départageait ni le bien du mal, trop décalée avec la réalité. Elle tentait tant bien que mal de garder son rôle, d’être une bonne actrice. Elle essayait d’être froide au premier abord, désintéressée de tout, se privant des formes d’amusement des autres. Rester seule.
    Elle ne savait plus vraiment si elle était consciente de la réalité non plus. Elle avait vécu comme une poupée qu’on range dans un placard. Oubliée de tous, elle ne connaissait pas vraiment les sentiments. Elle ne savait pas si ce qu’elle éprouvait était de la tristesse. Elle connaissait la douceur d’une couverture, la chaleur des bains, l’immatériel des bulles, la dureté des murs, la douleur. Mais elle ne pouvait pas dire si ça la rendait heureuse ou non.
    Elle avait essayé d’apprendre à ressentir en lisant ces « stupides bouquins qui ne parlent que d’amour », mais n’en avait tiré comme morale que c’était un sentiment plus dangereux encore que d’autres avec ces affaires de suicides.

    Plus elle grandissait, plus sa fausse image de froideur annihilait ce qu’elle pouvait devenir. Elle se disait qu’il fallait être désagréable. Jeter des regards noirs. Toujours dire un mot de trop. Blesser les autres.
    Entretenir sa solitude était devenu son but premier.

    Bien sûr, de temps en temps, il lui arrivait de quitter son rôle, et d’être plus le méchant gamin qui vient de vous faire un croche-pied.

    Mais imaginons que vous réussissiez à casser à coups de marteau cet amas de pensées négatives, qu’allez-vous découvrir ? Un reste pourri de cœur ou une graine que vous arriverez à planter ?

    En secret, elle avait plein de plaisirs simples ; faire des bateaux en papier ; s’allonger sur du carrelage en été ; écrire le chiffre « sept » en toutes lettres ; mettre ses doigts de pieds en éventail ; imaginer comment faire des ricochets ; regarder des images de Yû Kanda ; jouer avec le papier bulle ; penser au soleil, et j’en passe.

    « Je ne suis qu’une enfant ! » – 17 Octobre, la veille de ses six ans.

    Cette phrase la poursuit toujours.

    [ M’enfin, j’ai la flemme de faire une description potable. ]



    Histoire
    On ne choisit pas ce à quoi on veut ressembler à la naissance.
    Longtemps dans ma vie, je me l’étais dit. Au creux du ventre de ma mère, je n’étais qu’à moitié vivante, incapable de penser, ou du moins je n’en garde pas de souvenirs. Tous les sons que j’avais pu entendre à mon état embryonnaire s’étaient évaporés.
    Il parait beaucoup de choses scientifiquement prouvées qui me rétorqueraient sans doute que je pouvais même danser en entendant de la musique classique, pourtant, je ne pouvais qu’être sceptique face à ce genre de propos. De toute façon, je ne pouvais leur répondre.

    Le jour de ma naissance, on se rendit compte de beaucoup de choses que ma mère n’avait pu accepter ; première nouvelle : j’étais albinos. La seconde ? J’étais muette en prime.
    Mon père avait filmé la scène. Oui, en tant que parent qui se respectait – ou du moins soi-disant –, il avait cru bon de pouvoir un jour me montrer ma naissance. J’étais une chose inconnue. Une larve pleine de duvet blanc.
    J’avais regardé cette scène encore et encore, j’avais écouté ma mère crier et pleurer l’agonie quand on lui disait que je n’étais pas comme tout le monde, j’avais supposé que les reniflements, dans le fond, étaient ceux de mon père.
    J’étais une erreur qui leur tombait sur le dos.

    La famille Carlyke n’est pas des moindres. Faisant partie de la noblesse anglaise, il avait été convenu que la première fille et héritière que j’étais se fasse oublier. Jeter à la poubelle. « Elle n’est même plus bonne à marier », entendais-je de la bouche des autres. Vite, je m’étais découragée. Après tout, qui voudrait de moi ? Je n’étais même pas le Vilain Petit Canard. J’étais déjà entourée des cygnes. Cygnes qui m’avaient déjà reniée. Il fallait m’envoyer loin.

    J’étais obligée depuis toujours de vivre à l’intérieur. Le soleil sur ma peau me faisait souffrir, mais j’imaginais bien que personne ne pouvait comprendre. De plus, mes cheveux paraissaient plus monstrueux encore sous les rayons de l’astre solaire. Je me cachais.
    Personne ne voulait voir la créature que j’étais, vulgaire cailloux parmi les pierres précieuses, je ne brillerai jamais pour qui que ce soit. Personne n’allait m’épouser. Jamais je ne sortirai de ma chambre.

    Un jour, j’ai fait une crise. Mon cerveau a disjoncté. Je m’étais mise à frapper les murs, m’user les mains pour un rien sur les portes, me défoncer la tête contre mes volets irrémédiablement clos. J’avais fini en sang, pourtant, me faire du mal n’était pas plus désagréable que de rester enfermée seule. La douleur était ma compassion, une sorte de pitié envers moi-même. J’avais commencé à l’adorer l’été de mes douze ans.

    « Il ne faut plus la laisser seule. Elle est dangereuse. C’est son troisième passage à l’hôpital ce mois-ci, ça fait exactement six heures qu’elle chante la même chanson, quarante-trois minutes qu’elle pisse le sang. »

    L’été, tout le monde partait en vacance, les domestiques aussi. Je restais seule. Pour moi, on fermait alors toutes les fenêtres de notre manoir, et je pouvais vagabonder tel un fantôme.
    Chaque été, je découvrais alors de nouveaux objets, je piochais dans la bibliothèque principale des ouvrages et je me reposais sur le canapé du grand salon. Il m’arrivait aussi de prendre mon bain dans l’une des gigantesques faites pour. Ma baignoire était minuscule, comparée à cet étalage de luxe. Mais j’étais seule.
    Souvent, ces salles d’eau servaient aux couples. Je vivais près de l’une d’elles. J’entendais des femmes gémir toute la nuit, quand ça les prenait.

    Un jour, en fin juin, une fille était venue. Une nouvelle recrue. Mon père l’avait mise au défi de pouvoir me rendre sociable. Son approche avait été maladroite, mais elle fut finalement qualifiée d’amie. Avec elle, j’appris l’art des listes.
    Alors, je ne m’arrêtai plus. Je fis des listes des personnes que je détestais le plus, puis, petit à petit, des choses que j’aimais. Pourtant, j’avais beau essayer, ce que j’appréciais ne dépassait pas les six ou sept lignes.
    Souvent, elle me parlait de dehors, me montrait des photos. Ca avait l’air si agréable, quand elle en parlait. Ca semblait si inoffensif. Pourtant, à chaque fois j’essayais de passer du temps dehors avec elle, je souffrais, on rentrait.

    J’appris alors, plus tard, que ma peau était allergique aux rayons du soleil. En même temps, je sus que la guerre existait. Cloitrée dans ma chambre, je n’avais cure de l’extérieur, pourtant, je me résolus à croire que ça allait changer ma vie : mes parents avaient trouvé une raison de me faire quitter ce maudit manoir.
    Cette nouvelle, devenue mon amie, je l’ai vite oubliée. On m’avait envoyée chez un parent en Allemagne.
    J’avais usé bien des feuilles, je lui avais envoyé des centaines de lettres, j’avais dû saturer sa boite mail, pourtant… je ne reçus jamais de réponse. J’étais seule. Je compris donc que personne ne m’importait, que tous ceux que je connaissais n’étaient que des grains de sable qui coulaient avec le temps. Alors, il valait mieux que je les abandonne.

    Un écran d’ordinateur pouvait être très distrayant, presque autant que mon masochisme. Seulement, il avait différente fonction. Internet aussi, était amusant. Je pouvais voir des choses, apprendre. J’en venais à me demander comment avais-je fait pour ne pas connaitre. Un jour, sur un blog, je tombais sur un commentaire parlant d’ « Otome Game ». Ce fut la révélation de mon univers. Je pouvais séduire des hommes et avoir une fin joyeuse en choisissant une bonne réponse. Au début, je trouvais cela difficile, rapidement, les attraits des personnages me semblèrent familiers, je ne jouais plus que pour un quelconque baiser final. Quinze ans de célibat, me répétais-je donc ensuite. Je riais de moi-même, pitoyablement amoureuse de gars virtuels. Je ne pouvais même pas en rencontrer. J’étais trop laide pour leur plaire.

    Les chagrins d’amour attisaient plus encore mon envie de sentir le métal froid racler mes os, mes larmes glisser sur mes joues, m’engourdir une partie du corps.

    « Je suis une collectionneuse. Je peux compter déjà quarante-sept œuvres sur mon corps. »

    Ma mère décida de m’envoyer loin. L’Europe me rapprochait trop d’elle et de ses poussins que je ne connaissais. Elle avait vite eu des enfants après ma naissance. Cette truie.
    Mais une rencontre sur un site me fit changer, considérablement. Apprenant que je m’en allais, un garçon m’avait donné son adresse. J’étais venue chez lui en pleine nuit et… il m'avait dit que j'étais laide, que j'aurais dû être brûlée. Mais il fit pire encore ensuite.

    Ma vision du monde changea. J’avais le sentiment que la cruauté me siérait à ravir. Les mots que les personnes pouvaient prononcer étaient devenus inutiles, je n’étais plus cette fille naïve qui voulait voir le jour.


    Jet privé.



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Dernière édition par Hina Carlyke le Mar 11 Déc - 17:46, édité 3 fois
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Lira Pandora

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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 16:15

Bienvenue, Hina... (A moins que se soit un double compte :/... J'en sais trop rien ! ^^") Mais bienvenue quand même Very Happy

Et j'adore l'histoire qui est très triste ...Seulement personnellement je ne trouve pas Hina hideuse :3
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Kita Shimisu

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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 17:27

Bienvenue !! Smile
Et quelle histoire ! je n'en avait encore jamais lu une pareil...elle est magnifique bien qu'elle soit triste. je me langui que tu termine ta fiche et qu'on puisse RP ensemble Smile
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Hina Carlyke

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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 17:42

Ma fiche est finie, comme vous pourrez le constater. Et je suis bel et bien un double compte, mais à vous de déterminer qui suis-je donc.
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Erika V. Nilsen

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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 18:37

Bienvenue, ou plutôt, re-bienvenue!

Ta fiche est complète et bien rédigée, je te valide donc petite albinos, tu peux tout de suite demander une chambre et recenser ton avatar. Ainsi, tu pourras commencer ton premier RP dans le Hall d'Entrée pour ton arrivée dans le pensionnat.

Have fun ♥!
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Lira Pandora

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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. EmptyMar 11 Déc - 18:54

Ben... A mon avis... C'est le double compte de Nys Wink ...Vu que tu vis à Madagascar et que c'est grâce à Nys, soit toi même que tu es ici. Very Happy
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MessageSujet: Re: Carlyke Hina, finie.   Carlyke Hina, finie. Empty

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