Alessa Bouvier
Messages : 7
Date d'inscription : 13/12/2012
Feuille de personnage
♣ Age : 19
♣ Gène : Lycan
♣ Copain/Copine ? :
 | | Sujet: Alessa Bouvier Jeu 13 Déc - 21:15 | |
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Nom : Bouvier
Prénom : Alessa
Âge : 19 ans
Sexe : Féminin
Date de Naissance : 30 Novembre 2010
Nationalité : Française
Orientation sexuelle : Hétérosexuelle
Métier : Étudiante
Gène : Lycan
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• Cœur de guimauve ou tête brulée ? •
• Physiquement
Avoir un physique passe-partout n'a que des avantages ! Grâce à cela, la jeune femme évite les individus à tendance reloue qui ne pensent qu'à obtenir les faveurs de la gente féminine. Bien sûr qu'elle est mignonne, toutefois elle possède une beauté naturelle. A moins de devoir faire un effort pour aller en soirée, elle ne se maquillera pas. Ses cheveux sont décoiffés ? Elle prendra à peine le temps de les discipliner avec ses doigts et encore... Elle n'est pas non plus le genre de demoiselles aimant se faire une manucure ou une séance d'UV... De toute façon, avec la Guerre, qui peut se le permettre ? Non, elle n'a pas la notion de se mettre en valeur et elle se porte très bien ainsi. Etre banale lui permet de se faire discrète, voire d'être oubliée. C'est très utile lorsqu'elle souhaite se mêler à la foule. Personne ne la remarquera, surtout si les filles autour d'elles sont resplendissantes ! Autrefois, lorsque sa sœur se promenait à ses côtés, les gens n'avaient d'yeux que pour sa cadette. Cela est devenu une habitude, si bien qu'elle n'en a tiré que des intérêts. Au moins, elle ne passe pas vingt minutes à s'appliquer une couche de mascara, elle fait des économies, elle ne perd pas de temps à rejeter les vicieux, ...
D’apparence jeune et élancée, on a l'impression qu'Alessa n'a presque pas de force. C'est se méprendre, car elle est assez musclée, notamment au niveau des jambes à force de pratiquer la course. Elle possède une taille normale pour une jeune fille de son âge. D'ailleurs, elle a des formes où il faut : une jolie poitrine, ainsi que des petites fesses rebondies. La demoiselle possède un charmant minois aux traits doux et délicats, ce qui montre une certaine fraîcheur. Elle a le visage fin, un nez à peine busqué, un grain de beauté près de l'oeil gauche, une bouche pulpeuse, ainsi qu'un regard profond. Ses yeux habituellement noisette varient lorsqu'elle est louve : son iris s'éclaircit et se pigmente de doré. Sa tignasse est plutôt abondante et souvent indisciplinée. L'attachant en queue de cheval, elle laisse virevolter ses cheveux au vent. Bien qu'ils soient souvent en bataille, ils n'en demeurent pas moins soyeux. Sa chevelure est d'une couleur châtain et a tendance à légèrement friser en temps de pluie. C'est l'une des rares touches de féminité qu'Alessa se plaît à montrer.
N'aimant pas être excentrique, ses tenues sont généralement très simples : un pull en coton, un t-shirt ou un débardeur et un pantalon. Le confort ayant le dessus sur le charme, elle préfère ne sortir la jupe qu'en été. Ses vêtements sont plutôt colorés et harmonieux, car elle évite de ressembler à un membre de Kiss ou à un clown. Une fois de plus, on retrouve la banalité à travers ce qu'elle porte.
Sous sa forme animale, Alessa possède une robe grise, assombrie de poils noirs. Son pelage foncé s'étend du museau jusqu'à la queue, en passant par son crâne et son dos. On distingue des tons plus clairs au niveau de sa fourrure ventrale, ainsi que son poitrail. Si une personne avait pu la toucher, elle aurait été ravie par la douceur de sa toison dense et soyeuse. Bien que les lycans soient généralement plus gros et grands qu'un loup normal, elle reste assez légère. Malgré sa finesse, elle n'en demeure pas moins une « grosse bestiole » qui sait se battre pour montrer sa force. Ses pattes sont longues, ce qui lui permet de courir à une bonne vitesse, même sur une longue distance. Par ailleurs, on remarque une balzane sur chacune de ses pattes arrières.
• Mentalement
Globalement, on retrouve un sourire en coin sur le visage de la jeune femme. Etant assez joviale et chaleureuse, elle se plaît à taquiner ceux qu'elle apprécie. Si un proverbe devait lui convenir, elle prendrait ''Qui aime bien, châtie bien''. Elle apprécie les jeux, les blagues et les divertissements. Malgré l'horreur de ces dernières années, elle a su garder sa bonne humeur. Aider son prochain n'est pas un soucis. Une personne dans le besoin ? Un blessé ? Elle fera son possible pour lui porter secours. Toujours disponible, elle n'oublie pas non plus qu'il faut parfois se méfier. Selon la situation ou son humeur, on peut la trouver réticente et peu confiante envers autrui... Voire distante. En effet, il lui arrive d'être plongée dans ses pensées.
Comme la plupart des personnes ayant le gêne de la lycanthropie, Alessa possède un fort caractère. Par le biais de ''douces'' paroles acérées, elle peut se métamorphoser en une véritable vipère lorsqu'elle n'apprécie pas un individu. Si les mots ne suffisent pas, elle est loin de se laisser faire : elle n'hésitera pas à se battre pour se faire accepter. Certes, on lui a souvent appris à ne pas en venir aux mains, cependant donner un bon coup dans la mâchoire est un acte tellement relaxant ! Une vraie petite teigne... Et fière avec ça ! Avec toute cette guerre, si elle a bien appris une chose, c'est qu'il ne faut pas totalement se soumettre. Il faut savoir rester tolérante, mais pas être prise pour une bonne poire. Voilà pourquoi la jeune femme est quelqu'un d'assez franc, qui n'hésitera pas à montrer ce qu'elle pense.
Si l'hybride se trouvait au sein d'une meute, elle ne serait ni une soumise, ni une alpha. Par sa force et sa ténacité, elle est capable de s'imposer, même si pour cela elle doit franchir ses limites. Elle ne supporterait pas d'être le souffre-douleur ou un membre en bas de la hiérarchie. Quant au pouvoir, cela ne l'intéresse pas : diriger un groupe n'est pas son fort. Elle ne supporterait pas non plus avoir un clan qui n'attend qu'un signe de faiblesse pour prendre sa place. Voilà pourquoi elle serait un simple membre, avec quelques capacités pour être hautement gradée.
La demoiselle a pour défaut d'être très dépendante des autres. Elle n'a pas forcément besoin d'un groupe d'amis, mais il lui faut forcément une personne avec qui elle s'entend bien. Par ailleurs, elle a tendance à se montrer sur-protectrice avec ceux qu'elle chérit. Si elle a un compagnon, il faudra que celui-ci soit fidèle... Très câline, elle a besoin de contact, de discuter avec autrui ou d'écouter. Il lui arrive de venir s’asseoir quelque part, juste pour entendre des discussions. Toutefois, elle n'est pas du genre à s'imposer, elle sait lorsqu'il faut cesser une conversation. Si elle est de trop, elle s'en ira paisiblement.
Le sport ou le dessin sont de bons moyens pour se relaxer. Lorsqu'elle est seule, Alessa s'amuse à griffonner sur un bout de papier des personnages fantastiques. Cet univers lui permet de s'inventer une vie meilleure que la sienne, où les guerres sont absentes et où l'on ne lutte pas pour sa survie. Quant au sport, elle pratique la course tous les deux ou trois jours et ce, quelque soit le froid. Autrefois, c'était un très bon moyen pour distancer ceux qui lui voulaient du mal. Depuis, c'est devenu une habitude. Hormis cela, elle admire les individus sachant pratiquer les arts martiaux, mais ne sait pas en faire.
• Histoire
Alors que les murs semblent tanguer comme lors d'un entraînement de la NASA, je me mets à coucher ce qu'il m'est arrivé durant ma vie. Je n'ai jamais apprécié les journaux intimes, d'une part parce que n'importe qui peut le lire et qu'en plus, j'ai l'impression de me mettre à nue. A travers ces mots rédigés, j'ai la sensation que le fantôme à qui je m'adresse me voit entièrement. L'écriture est une sorte de voyeurisme dont je me passerais volontiers ! Toutefois si je venais à disparaître, j'aurais voulu laisser un témoignage. C'est un camarade, un passager du Shinguru 2000, qui me l'a conseillé. J'avais fait un petit bout de chemin avec lui. Il avait à peu près le même âge que moi, un visage taillé par les cicatrices, ainsi qu'un regard accusateur qui me donnait à penser qu'il se considérait comme un ''Mr-Je-Sais-Tout''. En plus de sa laideur faciale, son corps n'avait pas été épargné. Il était couvert de plaies que l'on avait rapidement pensées, tandis que l'une de ses jambes avait été arrachée par une bombe. La main sur mon poignet, il m'affirmait qu'il n'arriverait pas au bout du voyage. En cet instant, je n'avais pas compris l'intégralité de propos. J'avais bien saisi qu'il parlait de la mort et du trajet que nous effectuons vers l'Ile, mais il y avait autre chose. On aurait dit qu'il savait plus de choses que moi. Puisque nous partagions la même cabine, j'ai eu le loisir de l'écouter affabuler des énormités.
Il a déclaré que cet îlot n'était pas qu'une zone de paix et qu'il aurait voulu y poser le pied. Les doigts agrippés à la couverture, il a gémi pour me dire que mon existence allait changer. Il sentait que j'avais quelque chose en moi, tel un alien qui allait se développer contre mon gré. Malgré les rires gênés, je pensais que ces informations étaient le fruit de ses délires liés à sa santé. Le pauvre avait de la fièvre et je n'arrivais pas à la faire tomber. Hier, il m'a attiré contre lui pour me regarder droit dans les yeux. J'ai cru que la colère le gagnait, cependant il m'a adressé un sourire effrayant. « Ecris-moi ton passé. J'ai besoin de savoir avec qui je vais vivre mes derniers instants. Je ne veux pas que tu me racontes ta vie à haute voix, je veux que ce soit marqué. Lorsque mon heure sera venue, j'emporterai le papier avec moi. » Honnêtement, ce type était vraiment flippant. Si la fatigue n'a pas engourdi mes sens, elle a au moins atteint mon esprit. Lentement, je me mets à faire glisser mon stylo sur le calepin. En cet instant, je me rendis compte que je n'avais jamais regardé derrière moi et le regrettais aussitôt. Je n'avais connu que la mort, l'errance et la trahison. Sur tous les visages que j'avais croisé, j'avais lu l'épuisement ou l'envie d'un autre monde. J'ignore encore ce qui m'a pris d'écouter ce malade, mais le récit qui va suivre est le mien.
Je m'appelle Alessa Bouvier, un nom peu répandu pour une petite Française dont la vie ne fut pas épargnée. Si les événements récents m'ont permis d'échapper aux mortiers ou aux gazs toxiques, d'autres individus n'ont pas eu cette chance. Ayant dix-neuf ans, j'ai pu voir la technologie évoluer considérablement, jusqu'à exploser en 2025. Je me souviens des écologistes qui se battaient pour une « vie meilleure », un univers propre ou le recyclage. Malheureusement, le quotidien est devenu de plus en plus cher. C'était insensé : déjà que le chômage grandissait, personne ne pouvait faire des économies ! On vivait comme on le pouvait, j'ai d'ailleurs plutôt bien grandi. Je suis née dans une famille qui, lors de la naissance de ma sœur, s'est décomposée. Des histoires d'adultes, me disait-on, où mon père avait préféré poursuivre sa vie avec quelqu'un d'autre. Cela lui avait plutôt bien réussi, puisqu'il a été enseignant et a eu un troisième enfant. Tous les weekends, je venais rendre visite à mon demi-frère que je comblais de joie. Je me souviens encore de ce petit bonhomme me suivant partout comme s'il était mon ombre. Bien que l'avoir toujours sur le dos pouvait être fatiguant, je ne cessais jamais de m'en occuper. J'étais ce que ma belle-mère aimait affirmer : sa « Baby-Sister ». Quant à ma cadette qui n'avait pas supporté le divorce de nos parents, elle ne venait que rarement le voir. Elle était très belle, avec des cheveux bruns ondulés, une taille gracile et des formes qui attiraient la moitié des garçons de la ville. Deux ans nous séparaient, j'avais donc connu la rivalité comme l'amour fraternel. Oui, malgré la distance que je mettais parfois entre nous, je veillais sur elle. Je l'appréciais et j'aurais donné n'importe quoi pour son bonheur.
La veille de la guerre, les médias balançaient les débats des hommes politiques dont l'animosité se lisait sur chacun de leur visage. Tapant du poing sur leur bureau, ils grognait à propos de l'économie ou des nouvelles puissances offensives. Les pays les plus pauvres avaient acheté des armes nucléaires. Sans parlementer, les ethnies voisines leur avait tout pris par la force. Ces négociations marquaient la fin d'un temps : celui de la paix. J'avais alors presque quinze ans et me trouvais sagement assise dans le canapé avec mon chien sur les genoux. En cette époque, je me fichais bien de la politique et j'avais zappé sur une série fantastique. Je me demande ce que nous aurions tous fait, si nous avions su que 2025 était l'année de la Troisième Guerre Mondiale. Nous serions-nous enfermés dans des bunkers comme certains individus le 12 décembre 2010 ?
Du jour au lendemain, les armées de chaque continent ont envahi les frontières. Les bâtiments construits par nos ancêtres et les foyers que nous avions peiné à aménager ont été ravagés par les tirs ennemis. Le comportement de la populace changea, puis les rues devinrent de moins en moins sûres. Comme si les zombies avaient envahi la terre, tout le monde luttait pour sa propre survie. Je me souviens être sortie pour acheter du pain. J'ai aperçu le brouillard, les ruines et la fumée tout autour de moi. Tandis que j'enjambais les coulées de déchets, la puanteur des trottoirs m'avait agressée. D'anciennes maladies faisaient leur coming-out : polio, H1N1, choléra, gale, peste bubonique, … Couverte d'une écharpe, je déambulais en évitant les miséreux agités de terribles quintes de toux. J'avais peur de tomber malade et de me retrouver difforme.
Un soir, on bombarda notre quartier avec des avions. C'était affreux. Par la fenêtre brisée, je remarquais les corps des gens que je connaissais depuis toute petite. Que l'on soit jeune ou vieux, la guerre n'oublie personne. Avec un groupe de survivants, nous avons quitté la ville pour nous installer dans les campagnes. Nous avons dévalisé un centre commercial pour y trouver des tentes et des vivres. La notion de vol ou de criminalité n'avaient plus de valeur. Plus personne n'avait honte de dérober le logis de son prochain. On prônait la survie, tout simplement. Je m'étais liée à un garçon de mon groupe, âgé d'un an de plus que moi. Etant adolescente, j'avais besoin d'un soutien moral dans tout ce chaos. Je n'aurais pas dû m'attacher à lui... Quelle horrible erreur j'avais commise ! De cachette en cachette, je vis la moitié de mon clan se décimer. Nous ne savions plus quoi faire...
C'est alors que nous avons croisé une autre bande de survivants. Ils nous ont fait croire qu'ils allaient nous aider, que nous allions pouvoir trouver des lits aménagés dans un endroit souterrain, que nous allions pouvoir manger autre chose que des boîtes de conserve ! Dans un sens, ils n'avaient pas tort. Cette nourriture, c'était nous et cet endroit souterrain n'était autre que la terre dans laquelle allaient pourrir nos os ! A cause du manque de boîtes de conserve, le cannibalisme s'était développé... Mon petit ami a été servi au menu... Les larmes glissant sur mes joues, je sentais l'odeur de chair brûlée. Par chance, avec cinq rescapés dont ma mère et ma sœur, nous nous sommes enfuis. C'est là que nous avons dû nous séparer. J'avais alors pour mission de partir en expédition pour trouver de quoi nous sustenter. A mon retour, je ne trouvais que le néant. Aujourd'hui encore, je ne sais pas où elles se cachent ou si elles sont tout simplement en vie.
Au bout d'une année d'errance, j'ai rencontré ce type étrange au corps meurtri. Il se trouvait parmi les décombres, la bouche sèche et les ongles sales. Je ne sais pas ce qui m'a ému chez lui, mais il m'est clairement apparu que je devais l'aider. Approchant ma gourde de ses lèvres, je l'ai laissé vider ma fiasque. Soudain, il a ouvert les paupières, il m'a traînée près de lui, puis m'a murmuré plusieurs choses. Si je l'aidais à partir d'ici, il allait me dire son secret. Bien que méfiante à cause de ces cannibales, je me suis dit qu'il n'y n'avait rien à perdre. Il était infirme et boiteux, je pouvais l'abandonner quand je le désirais. Il a donc pris appui sur mon épaule et nous nous sommes dirigés vers les bois. Pendant que nous marchions, il m'a révélé l'existence d'une terre non corrompue. Utopique, il affirmait dur comme fer que ce lieu existait. Il avait même donné un nom à son îlot : l'île Maryoku. Nous étions fin 2028.
J'ai passé quasiment une année avec cet inconnu. Une année de marche. Une année à écouter ses âneries. Une année où je me demandais si j'étais devenue orpheline. Une année de solitude. Cet homme se nommait Benjamin Dubois et notre relation était purement platonique. Malgré le fait que nous soyons seuls, nous n'avions pas besoin d'être proches. Aucun des deux ne connaissait le passé de l'autre et c'était mieux ainsi. Moins on s'attache, moins la souffrance est grande. Je prenais soin de lui, il veillait sur moi. Un jour, il s'est pris le pied dans un piège à loup... J'ai dû moi-même l'amputer. Faute de soin, son état a empiré progressivement. Après avoir traversé les continents à pied ou en volant des véhicules, nous sommes arrivés dans la ville où passait le Shinguru 2000. Etant tous les deux majeurs, nous avons échangé quelques piécettes afin de monter à bord. C'est à partir de cet instant que mon compagnon s'est mis à délirer à cause de la fièvre. Et c'est donc il y a quelques heures qu'il m'a demandé qui j'étais vraiment. Malgré la distance que nous avions parcouru, nous ne connaissions rien hormis nos noms. Sa respiration est sifflante, je me demande s'il arrivera à me lire ou à m'écouter... Et dire que s'il s'éteint, je ne saurais rien de lui.
[Le récit s'arrête là, néanmoins l'équipage affirme que la personne avec qui est venue Alessa est morte de ses blessures durant la nuit. Ne sachant que faire du corps, on l'a lancé à la mer après une courte cérémonie. Elle était restée de marbre, néanmoins on lisait le chagrin sur son visage. Durant le reste du voyage, elle demeura seule et n'affichait qu'un sourire crispé lorsqu'elle allait se nourrir avec les autres passagers. Arrivée sur l'Ile, elle a senti une vive douleur l'envahir. Etait-ce la maladie ou le chagrin qu'elle n'arrivait plus à contenir ? Sans comprendre, s'élança droit devant elle...]
• Prénom : Emilie
• Age : 24
• Pays : France
• Niveau RP ? : Niveau moyen.
• Comment avez-vous découvert le forum ? : Via des forums, de pub en pub.
• Comment le trouvez vous ? : Sympa.
• Code : OK par Erika.
Dernière édition par Alessa Bouvier le Ven 14 Déc - 9:48, édité 2 fois | |
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) (Au fait le code. C'est pas ça, t'as pas lu le règlement en entier 
)
et j'ai hâte que tu sois validé ^^
