Glaces&Cie (suite RP piscine avec Irvan et Lira)

Je ne compris pas très bien pourquoi Lira parlait de pigeon mais je m'en moquais. Elle ne m'en voulait pas et c'était l'essentiel. Elle avait même l'air d'être contente de ce qui était arrivé parce qu'elle allait pouvoir avoir 45 boules de glaces. Quelle gourmande cette Guimauve. Puis elle dit à Irvan qu'il était notre ami - après avoir cherché le mot pendant quelques secondes - et lui demanda ce qu'était un ami en réalité. Le psy prit ensuite la parole pour répondre en partie à ma question :

-He bien pour de ce que je suis, Lira à moitié raison. Je suis un ‘’pigeon’’ qui vas vous offrir vos glaces préférer. La seul différence entre un Pigeon et moi, c’est que je suis disons, plus mystique et plus légendaire.

Puis il répondit à Lira :

-Ensuite, pour tes questions Lira, Oui je suis votre ami. Pour ce qui est d’un ami, c'est une personne sur qui tu peux compter dans les bons et les mauvais moments. Que ce soit aussi quand tu te sens seul ou pas.
Ensuite, à quoi ça sert d’avoir un ami. He bien avec un ami, tu fais des activités, tu t’amuses, tu sors comme pour manger des glaces ou venir vous baigner ensemble. Cependant tu dois savoir qu’il y a deux types d’amis. Il y a les vrais amis et les temporaires. Tu comprendras ça avec l’expérience.
Puis pour finir, un ami doit apporter le bonheur, t’empêcher de tomber. C'est un peu comme des béquilles si tu veux. (Là, il s'approcha de Lira et posa la main sur son épaule) Pour ma part, je suis un vrai ami.

Ensuite il me regarda et me dit :

-Je suis comme toi, sauf que moi je me transforme en Dragon. Je t’expliquerai tout ça à la crèmerie. Cependant, passe à ta chambre pour te changer, enfin te mettre des sous-vêtements. Rejoignez-moi dans le hall dans 15 minutes. C’est bon pour vous ?

En Dragon ! Rien que ça !

-Euh...oui c'est bon, répondis-je en jetant un coup d'oeil à Lira pour m'assurer que ça lui convenait.

Environ 20 minutes après, nous marchions touts les trois en direction du Snack. Depuis mon arrivée, c'était la première fois que je sortais hors du pensionnat. Le centre-ville était étendu sur plusieurs kilomètres et il y avait toutes sortes de bâtiments : Discothèques, Cinéma, Centre Commercial...

*Tiens d'ailleurs il faudra que j'aille faire un tour au Centre Commercial un jour.*

Nous arrivâmes bientôt devant un petit magasin. Le Ice&Cie Façade blanche décoré de boules de glaces multicolores, de Hot Dog courant sur des nuages de Barbes à Papa et de cascades de sodas. Tout pour vous ouvrir l’appétit ! Les odeurs de fritures montèrent jusqu'à moi lorsque j'inspira. Avec un mouvement de recul, comme si on venait de me donner un coup de poing, je plaqua ma main devant mon nez.

-Maudit odorat... marmonnais-je. Je m'y ferais jamais. Choisi ta glace Lira, moi je n'ai plus faim tout d'un coup. Mr. Irvan, vous n'auriez pas quelque chose contre un odorat trop fin ? C'est vraiment insupportable... Bon sinon...on s'assoit où ?

Suite aux ordres d' Irvan, Nous avons exécutés. J'ai attendu dans le Hall seul avec dame corbeau (P'tit rappel : Dame corbeau est la réceptionniste, antipathique, au visage asymétrique et possédant  un caractère de chiotte... La femme qui m'a accueilli avec une "gentillesse" incomparable). Donc je disais, je suis resté avec la folle de chaio, le temps que Kita mette des habits potables. Quand à Irvan, il est parti je ne sais ou, faire je ne sais quoi, pour je ne sais quelle raison. Finalement Kita est redescendue, nous sommes sortit. Irvan nous attendais dans le Jardin du pensionnat assis sur un banc...
J'étais sur excité à l'idée de manger avec mes ...Heu...mes AMIS. *J'ai du mal avec ce mot.* *Tu t'y habituera Lira, ça sert les amis! *

Irvan nous a conduit au centre commercial. Il y avait de belles décorations lumineuses, des vieux pavés, comme sur la promenade du vieux port, des plantes, des enfants jouant, des mémés donnant des miettes aux oiseaux, un petit garçon avec un cerf volant, un couple exaspérant en train de se bécoter sur la place publique, des papillons, et un beau par terre de fleurs.

Je suis donc allée vers le parterre de fleurs, bien qu'il y avait écrit "Pelouse interdite au public", j'ai soulevé une jambe par dessus le grillage, j'ai regardé Irvan pour savoir si il m'autorisait, mais il regardait ailleurs, j'ai donc fini d'enjamber . Et me suis accroupie dans l'herbe. Les odeurs, les essences de fleurs emplissaient tout mon âme, c'était fort agréable. Il y avait des capucines, des boutons d'or, des coquelicots, des iris, des pensés, des tulipes de toutes les couleurs, des géraniums, des jonquilles, de la lavandes, et surtout d’innombrable race de roses. J'ai coupé avec mon pouce et mon index, une rose Blanche magnifique, pour Ru .
Je me suis tournée, Irvan et Kita commençaient à s'éloigner, je me suis relever pour les rejoindre.

Nous avons marcher un moment, Kita et Irvan parlaient, tandis que je pensais à quel parfum je pourrait prendre. Nous sommes passés devant des bars, cinémas, discothèques, magasins, quincailleries, et tout autres commerces. Une seule boutiques Capta mon attention, elle était là, dressait fièrement, surplombant les autres snacks et restaurants, ICE AND CIE ... Mon âme soeur, ma raison de vivre. *Je suis émue* Une façade sobre mais accueillante avec des boules de glaces acidulés, façon restaurant Kawai japonais et au moins cent parfums y figurés , parmi eux: Fromage, Lilas, Myrtille, Jasmin, Carottes, tapenade d'olives, eau de mer, et j'en passe . Des boissons, des hamburgers, de la bouffe à gogo. Je me suis dit qu' Irvan était en réalité la plus belle chose de la journée, au début je le haïssait mais là, suite à cette découverte... Je ne pouvais que l'aimer, cela était avant dû à Kita. J'informe donc que Kita est mon dieu, je ne cesserais de l’idolâtrer.

Kita marmonna une phrase, puis elle dit à voix haute :

-Je m'y ferais jamais. Choisi ta glace Lira, moi je n'ai plus faim tout d'un coup. Mr. Irvan, vous n'auriez pas quelque chose contre un odorat trop fin ? C'est vraiment insupportable... Bon sinon...on s'assoit où ?

- Kita c'est un mirage ou bien ? Je rêve, je suis morte, dans le coma ? Tu as vu il y a même gout croquette de chien... Ça doit être infecte. Lui dis-je .

puis en m'adressant à la vendeuse tout en tenant Kita par la main, je demandais:

-Bonjour mademoiselle, vous allez bien? Moi c'est Lira, et je suis gourmande. On se sert comment ici ?

La vendeuse ahurie et attendrie à la fois, me répondit :

- Bonjour Lira, enchantée. Je vais agréablement bien *dit-elle en regardant Irvan*. On se sert seul la bas ... Prenez une place ensuite vous venez avec votre glace et je vous la pèse * Je rêve ou elle continue de mater Irvan ? *

-Merci mademoiselle !

La vendeuse demanda ensuite à Irvan:

-Vous voulez quelque chose, monsieur ? (papillonnement des yeux, bouche en C*l de poule ).
*Comme ci, elle a pas vu qu'il était avec nous ! *

J'ai répondu avec véhémence, avant de jeter un coup d'oeil à Kita, légèrement gêné, ou essayent de se retenir de rire  :

-NON, le Monsieur, c'est mon père, il est marié et il ne mange pas, il se contente de nous regarder manger moi et mon .... Heu... mon amie, non en faite ma soeur, ici présente sur ce merci !

*Non, mais c'est quoi cette folle, obsédée là ! Je vais la prendre à coup de fleur celle là... *
*Non, Ru ne serait pas contente et puis c'est son cadeau, Lira! *
* Tu as raison... Je vais la prendre à coup de chaise.*
*Non, Lira! Kita serait furieuse que tu agisses comme ça !  *
*Hm! A coup de livre alors ?*
*Tu veux la mort de Gaby? *
*Mais elle embête mes AMIS.*
*Tu as réussi! tu as vu, tu as réussi à dire Ami.*
* C'est vrai... Donc je ne me bats pas. On se bat pour défendre ses amis,non?*
*On peut se battre pour défendre ses Amis, mais la il n'y a aucune raison, bon dit quelque chose... Tu es figé, sans dire un mot...A plus tard ! *

-Vous venez? On va s’asseoir! Dis-je joyeusement en tirant Kita par la main, vers la table 7  .



_________________

Après avoir eu leurs accepter a mon offre' je partit vers ma chambre. En chemin, je croisai quelques professeurs qui étaient à l'extérieur pour donner leurs cours. J’ai décidé de récapituler ce qui ses passer jusqu'a maintenant. J'ai volé les fringues de deux filles pour les mettre en colère. Ce qui a fonctionner pour l'une d'entre elle. Ensuite on a discuter facilement trente minutes pour régler ça et je dois maintenant leurs payer des glaces. Le bien dans tout ça ses que je me suis fais deux nouvelles amies et je crois qu'on vas bien s'entendre.

J'arrivais dans ma chambre et déposais mes feuilles de travail. Je n'en n'avais plus vraiment besoin pour le moment. Je changeais de bandeau pour en mettre un plus long et je descendis dans le hall. A mon arriver dans le hall, je fit un signe de tête a la secrétaire et lui dit que Lira et Kita viendrais avec moi puis je sorti a l'extérieur. Je regardai le ciel encore une fois puis leva ma main vers celui-ci. Apres deux petites minutes sans bouger, un oiseau vint se poser sur ma main pour repartir cinq secondes après. Je souris et alla m'asseoir sur le banc pour les attendre.

Lorsque je vis les deux jeunes demoiselle arriver, je me leva et leurs proposa d'y aller a pied ou en auto. Elles ont opte pour marcher alors je ne pris pas la peine de sortir mes clé de ma poche. Nous marchâmes vers le centre commercial car c'est le seul endroit que je sais ou est la crémerie. Je les fis passer devant plusieurs commerces, comme le cinéma, une discothèque pour les jeunes et une animalerie. Lorsque nous sommes entrer dans le centre commercial, j'ai pose mon regard sur Kita et Lira qui avaient l'air étonner.

Lira se dirigea vers le parterre de fleur, je tournai le regard pour ne pas la voir traverser car elle devait s'amuser a ne pas suivre le règlement alors je la laissa faire. J'ai lâché un regard dans sa direction en discutant avec Kita et Lira était accroupis dans les fleurs, avec un visage enfantin. Elle s'amusait. Je souris puis continua la route jusqu'a arriver devant la crémerie '' Ice & Cie''. Je ne me rappelais pas de cet endroit mais ça ferait l'affaire. Tant que la crème glacer est bonne et qu'elle est du plaisir à manger leurs glaces.

Je vis Kita reculer a cause de son odorat aussi développer que le mien et je senti la même chose qu'elle. Même moi je n'arrive pas à ''stopper'' mon odorat mais je me suis habitué. Puis Kita me demanda si j'avais une méthode contre les odorats trop fins. Je réfléchis un instant avant de lui répondre sérieusement :


Puis Lira se mit a empirer la situation de Kita en lui radotant qu'il y avait une odeur de croquette de chien et que ce devais être infecte. Je me pencha a l'oreille de Kita et Lira puis chuchota a mon tour :

.

Je me redressa puis regarda autour de nous. Des enfants était la en train de manger leurs glaces. J'aurais aimé faire ça avec mon père aussi, mais je n'ai pas eu cette chance. Ce n'est pas grave je le ferai lorsque j'aurai des enfants. Puis la conversation de Lira avec la dames me parvint aux oreilles :


Je regardai alors la vendeuse qui me fixa en répondant a lira. Je lui fis un sourire car elle était mignonne. Peut-être de mon age aussi, qui sait ?


La vendeuse me demanda ensuite avec une voix douce ;



Le menton a Lira tomba jusqu'a terre. Elle me demande si je veux quelques choses alors qu'elle ignore presque Lira.

Lira répondit sèchement a ma place. Elle l'a vexé à un haut degré pour qu'elle réponde a la place de son aîné.


Finalement Lira revint joyeuse et avec le sourire en regardant moi et Kita pour finalement nous inviter a nous asseoir a la table 7. Je resta debout puis chuchota a la vendeuse sans qu'elles puissent m'entendre : excuser la. Puis j'allai m'asseoir avec eux. Avant d’aller chercher nos glaces, je sortis la pile de 20 et 50 euro que j’avais dans les poches. Je réfléchis un moment pour savoir si je m’imposai une limite. Je lâchai un regard subtil vers la serveuse puis je pris quatre billets de 50 euros. J’en donna deux a Lira puis les autres a Kita.

Je me leva et leur dit :
J’allais donc chercher ma glace, une crème glacer molle a la vanille grand forma. J’ai toujours pris sa ou sinon c’est un lait frappé a la vanille grand forma. C’est dommage qu’il n’y est pas de crémerie au pensionnat parce que j’en prendrais souvent ! J’allais payer ma glace qui me coûta seulement 2.50 euros. Sûrement un rabais de la vendeuse.

Je lui chuchotai alors : rejoint moi a 19h devant la porte.

Elle fit un signe de tête pour approuver puis me remit ma glace. Je me retournai et Lira fut derrière moi avec sont regard noir envers la vendeuse. Je déposai ma main sur l’épaule a Lira avant de retourner m’asseoir a la table.

J’attendis Lira et Kita avant de commencer a manger ma glace puis un ballon me rebondis sur la jambe. Je regardais au sol puis un enfant leva les mains pour que je lui envois le ballon. Je le pris avec ma main ou on voyait mes écailles puis le lui renvoya. Je le regardais jouer pendant que Lira prenais sa glace a 45 boules et que Kita se décide a s’en prendre une.

Lorsqu’elles revinrent, Je pris une boucher de ma glace puis mis une main au centre de la table. Je regardais les deux jeune femme avant de leurs dire d’une vois douce :


Attendant leurs réponses, je les regardait dans les yeux et les regarda avoir du plaisir. Cependant après une dizaine de minutes, la vendeuse vint a la table mais habiller différemment. Elle avait été se changer pour venir me draguer, alors que Lira la remis a sa place tout a l’heure. La vendeuse se rapprocha de moi et accota sa jambe sur mon épaule. Je me força de ne pas lâcher un rire en voyant le visage a Lira. Le genre de face qui voulait dire : MAIS TU FOU QUOI ICITE TOI ! La vendeuse regarda Lira et Kita et fit une prise deux.

Lira était en admiration devant le snack. Faut dire que, gourmande comme elle était, le Ice&Cie était sûrement son paradis. Irvan, quand à lui, répondit à ma question sur les odorats trop fin :

-Oui il y en a un, soit tu attrapes la grippe pour ne pas respirer du nez, soit tu t'habitus. Je sais que ce n'est pas chouette mais même moi je m'y suis habitué.

La grippe oh non pitié pas ça ! J'en avais déjà eu une une fois, quand j'habitais en Amérique, et c'était vraiment pas cool. J'avais dû rester au lit pendant trois jours avec l'impression que ma tête allait exploser tellement elle était en surchauffe.

-Bon ben je vais essayer de m'y faire alors...répondis-je, pas très convaincante.

Lira prit ensuite la parole, sans cesser de dévorer des yeux la carte des arômes.

-Kita c'est un mirage ou bien ? Je rêve, je suis morte, dans le coma ? Tu as vu il y a même goût croquette de chien... Ça doit être infecte.

Glace aux croquettes de chien ? beurk ! mais qui peut bien commander ça ? *à part un chien bien sûr.* Je ne lui répondit pas, ma grimace de dégoût suffisant à lui indiquer mon avis. Irvan l'a remarqua puisqu'il se pencha à mon oreille et me chuchota :

-L'odeur de friture vient du restaurant a coté. Alors ne te tracasse pas, ici ce n'est que de la crème glacée qu'ils vendent. Pour ce qui est des croquettes de chien, comme lira t'a dis, si tu te tournes un peu sur la gauche, tu verra une animalerie avec des chiens qui joue dans leurs enclos. C'est de là que vient l'odeur.

Je voulu tourner ma tête, par réflexe, pour voir les chiens, mais Lira m'attrapa par la main et m'entraîna vers le comptoir. Sans me lâcher, elle s'adressa à la vendeuse - qui puait la fleur de jasmin à trois kilomètre à la ronde ! *Dis dont, faudrait arrêter de vider la bouteille de parfum le matin, vous savez ?* aurai-je voulu lui dire. Mais je m'abstins, consciente que ça la blesserait sûrement. Je souris donc, essayant de ne pas respirer trop fort.

-Bonjour mademoiselle, vous allez bien? Moi c'est Lira, et je suis gourmande. On se sert comment ici ? lança mon amie.

-Bonjour Lira, enchantée. Je vais agréablement bien. . On se sert seul là bas ... Prenez une place, ensuite vous venez avec votre glace et je vous la pèse.

Mais tout en parlant, ce n'est pas Lira qu'elle regardait mais Irvan. Elle souriait bêtement et avait l'air de flotter sur un petit nuage rose.

-Merci mademoiselle !

-Vous voulez quelque chose, monsieur ? poursuivit-elle sans la quitter des yeux.

Mon hypothèse se justifia lorsque la vendeuse se mit à battre des cils et que son sourire s'élargit un peu plus. La raison étant que Irvan lui avait sourit également. *Sayez elle nous fait coup de foudre à Bollywood ! Enfin à Maryoku...* Je voulu rire mais me retint. Pinçant les lèvres pour ne pas m'esclaffer, je me mit à fixer une tâche sur le comptoir. Mais ça ne dura qu'un instant car Lira attira mon attention en prenant la parole avec emportement :

-NON, le Monsieur, c'est mon père, il est marié et il ne mange pas il se contente de nous regarder manger moi et mon .... Heu... mon amie, non en faite ma soeur, ici présente sur ce merci !

J'eu du mal à me retenir de rire cette fois ci. Mais j'essayais malgré moi de cacher mon hilarité. La vendeuse vira au rouge, ce qui jurait énormément avec son tablier jaune canari. Puis Lira continua, toute joyeuse :

-Vous venez? On va s’asseoir !

Elle me tira par la main et je lui répondit sans même réfléchir et hilare :

-Mais bien sûr soeurette !

Lorsque je m'assit à côté de mon amie, je me laissa emporter par mon envie de rire. Au bout de quelques minutes, je réussi enfin à articuler correctement.

-C'était pas en trop le coup du père et de la soeur ? lui demandais-je, prête à repartir en fou rire.

Irvan se leva et nous tendit deux billets de 50 euros chacune, ce qui stoppa net mon hilarité. En plus à force de rire, j'en avait mal au ventre. Mais qu'est-ce que ça faisait du bien ! Il nous dit qu'il nous offrait l'argent pour aujourd'hui et qu'on pouvait faire ce qu'on voulait avec avant de partir chercher sa glace. Je regardait Lira, sourire au lèvre et yeux brillant de joie. On se leva pour aller choisir nos glaces.
J'étais encore en train d'hésiter entre le parfum orange et l'arôme pistache quand j'entendis un léger chuchotement : "rejoint moi à 19h devant la porte". J'identifia aussitôt la voix : Irvan. *Oula Lira va pas apprécier !* Effectivement, quand je me tourna pour aller payer, elle était derrière Irvan et si elle avait eu des mitraillettes à la place des yeux, la vendeuse n'aurai pas eu le temps de comprendre ce qui lui arrivait.
Lira paya sa glace puis ensuite vint mon tour. Nous rejoignîmes Irvan ensemble. J'enfourna une cuillère de glace dans ma bouche avant même de m’asseoir.

-Ouh ! Ch'est froid ! m’exclamais-je.

Je faisait la même erreur à chaque fois que je mangeais une glace : au lieu de prendre une petite bouchée, je remplissait la première cuillère à ras-bord. Irvan posa une main au centre de la table et déclara :

-Je suis content de vous connaître, les filles. Je m’amuse rarement depuis que je suis petit et avec vous j’ai la chance de pouvoir le faire, même si j’ai 29 ans. De plus, vous pouvez simplement m’appeler Irvan, le monsieur n’est pas nécessaire et faite comme si j’avais le même âge que vous, même si c'est tout le contraire.

-Nous aussi on est heureuse de vous connaître, répondis-je en plantant ma cuillère dans une boule de glace à la pistache. Et puis vous savez, ce n'est pas parce que vous avez 29 ans, que vous n'avais plus le droit de vous amuser. Sinon la vie serait bien triste.

Je fit une pause, hésitante.

-Irvan, j'aimerai savoir. Pourquoi est-on doté de gène ? Est-ce que tout les gens de cette île sont des Lycan ou des Dragons ? Et, je me suis déjà mise en colère plusieurs fois avant. Alors pourquoi ne me suis-je transformée qu'une fois sur Maryoku ?

Toute envie de rire m'avait déserté. Je fixait Irvan dans les yeux, attendant avec impatience se réponse et parlait avec une petite voix. Malheureusement, la vendeuse vint vérifier si tout allait bien. Lira la regarda comme si elle était une menace ambulante puant le parfum et je remarqua que Irvan se retenait de rire à la tête de ma soeurette chérie.

-Oui tous va bien, répondit celui ci, vous pouvez retourner vous… habiller et travailler…

*Parce qu'elle s'est changée en plus ?!* pensais-je en la regardant. Mais elle ne bougea pas d'un pouce. Irvan fit alors un signe un Lira. Traduction : charge-t-en. La regardant à mon tour, je lui souris. Traduction : si tu veux de l'aide, je suis là soeurette.

J’entraînais Kita et Irvan à la table 7 pour qu'on puisse se poser et parler. Kita venait de me dire "bien sûr Soeurette" ce qui m'a beaucoup touché, quand à Irvan il était resté scotché à la vendeuse et la fixer ou plutôt regarder avec insistance ce que nous femmes possédons... Non, je ne parle pas d'un coeur. Arriver à la table, nous nous sommes assis, kita à coté de moi bien entendu et Irvan en face de nous pour pouvoir nous parler plus facilement. En réalité Irvan s'était mis en face pour garder un oeil sur la serveuse aguicheuse, vu la tronche qu'il fessait dès qu'elle regardait vers nous, c'est à dire tout le temps. Kita m'a demandé hilare :

-C'était pas en trop le coup du père et de la soeur ?

-Non, c'est parfait... Mais j'ai le regret de t'informer que nous serons bientôt de nouveau orpheline, car soit "papa" va mourir d'un crise cardiaque, soit je risque de le tuer moi! Dis-je à l'oreille de Kita en pouffant de rire .

Irvan se leva et sortit des billets de son jeans... Il hésita entre 20 Euros et 50 Euros *Ho, le ratchou ! * Il nous tendit à chacune 100 Euros *Ha, nan j'ai rien dit ! *

Il ajouta à son offrande les mots suivants :

Tien, vous avez 100 euros chaque. Vous pouvez en faire ce que vous voulez et acheter ce que vous voulez. Je vous l’offre pour aujourd’hui. Si vous voulez parler de votre fameux gène, y a pas de problème on en parlera en mangeant notre glace.

Irvan n'était pas un détraqué ou un simple Papa, il était le Papa Noel ...
Rectification: Le Papa Noel du Groenland n'ayant vu une femmes depuis des lustres !

Le pire dans tout ça, c'est que moi aussi, je ne pouvais détacher mon regard, étant donné que ma tête arrivé pile poil à la hauteur de sa poitrine .

Mais Irvan était tous de même génial, et mes yeux devaient briller comme des rubis, tellement j'étais contente de me trouver en ce lieu avec leur compagnies .

Kita et moi nous levâmes, pour aller au comptoir des glaces... Je ne savais que prendre, mais de sûr je prendrais crème de marron, macarons, chocolat noir intense, framboise ... Ainsi que fleur de lait . Kita, elle hésitait entre Pistache et Orange car son regard jonglait sur les deux arômes, alors que Irvan jonglait sur une tout autre chose. Si vous voyez ce que je veux dire .

Kita fit une tête particulière quand elle vu Irvan parler avec la vendeuse. Elle avait dû entendre la conversation. Irvan se retourna et détourna son regard coupable, puis il posa sa main sur mon épaule, pour aller s’asseoir furtivement à notre table. La vendeuse arbora sur ses lèvres de poulpes le sourire clichés des belle mère. Je me suis alors vu dans un jeux de guerre, la mitraillant de mes yeux lasers hyper bionique.

J'attendais pour payer la vendeuse, et pendant qu'elle tapait sur sa machine, je sentait une envie de lui mettre un crochet droit. La vendeuse me donna la note. J'ai manqué de m’étouffer avec ma salive en voyant l’addition trop salée à mon gout. Il n'y avait aucun doute soit la haine était réciproque, soit les jumeaux coupe gorge qu'elle eu pour son anniv' lui empêchaient de voir les touches de la machines. J'ai finalement décidé de payer sinon Kita me disputerais. Puis elle paya à son tour. On alla s’asseoir. Et Irvan avait une toute petite glace alors que la mienne ressembler à une ville de little pet shop. Kita avait finalement opté pour les deux arômes.

-Je suis content de vous connaître, les filles. Je m’amuse rarement depuis que je suis petit et avec vous j’ai la chance de pouvoir le faire, même si j’ai 29 ans. De plus, vous pouvez simplement m’appeler Irvan, le monsieur n’est pas nécessaire et faite comme si j’avais le même âge que vous, même si c'est tout le contraire. Dit-il.

-Nous aussi on est heureuse de vous connaître, répondit-elle en plantant sa cuillère dans une boule de glace à la pistache. Et puis vous savez, ce n'est pas parce que vous avez 29 ans, que vous n'avais plus le droit de vous amuser. Sinon la vie serait bien triste.

-Je suis entièrement d'accord avec Kita. Monsieur ...Heu, Irvan ! Ajoutais-je.
*Irvan est en faite un bien joli nom, sans le monsieur devant!* *Effectivement ! *

Puis elle lui posa une question, alors que mon regard était tourné vers le comptoir de la vendeuse disparu.

Kita avait l'air très sérieuse et sa question avait l'air de lui tenir à coeur. Je mis ma main sur son dos, lui frottant les omoplates. Quand soudain la vendeuse fis son entrée fracassante, plus fracassante d’ailleurs. J'enfonça mes ongles dans le dos de Kita.

Elle avait décidé de sortir l'arme de destruction massive, des obus tchétchénne datant de le première guerre mondiale. Son décolleté totalement éventrer, elle exhibait fièrement. Puis elle vint accoter sa jambe sur l'épaule d'Irvan, ma main se cramponner au bord de la table, si bien que je crus sentir ma main fusionné avec cette dernière, pas que je sois jalouse mais les personnes de la cremerie aussi bien que Kita étaient bien plus intéressé par sa poitrine, que par ma sublime glace, magnifiquement décoré *MAIS ELLE A UN PROBLÈME AVEC SON ANATOMIE, C'EST PAS LA JAMBE QU'ON MET SUR L’ÉPAULE, C'EST LE BRAS ... * * Lira! Calme toi, ça peut être une façon de saluer.* *HA,BEN OUI EMBRASSONS NOUS LE POSTÉRIEUR, C'EST UNE FAÇON DE SALUER AUSSI ?!? * *Lira, peut être qu'elle est contorsionniste ! * *Oui, ben elle va voir ou je vais lui carrer sa tête de contorssionniste. Elle va passer le reste de sa vie dans le noir.*
Elle se cambrer de manière à grossir son 95 G.


-Tous va bien ici ? Demanda t-elle à Irvan en collant c'est jumeaux Gérard et Guillaume.

Irvan à parement content de la situation, lui dit (Vu ma tête, l'attitude de la vendeuse et Kita mangeant pour ne pas mourir de rire face à cette situation rocambolesque) :

-Oui tous va bien... Vous pouvez retourner vous… habiller et travailler… *Yes, top là Irvan! *

La vendeuse ajouta: Elle son belle tes filles !

*Ok! C'est bien casse toi, maintenant !*
*Non, mais elle le tutoie * C'était maintenant sûr Irvan et son regard coupable, c'étaient laissé charmer par la paire d' Obus de la vendeuse aguicheuse .
Kita manger toujours le nez dans sa glace et Irvan me lança un regard pour que je m'en occupe. *NON, mais il se prend pour qui? Son chien de garde ? .... Ok, ça marche ...A nous deux.*
Kita me lança un regard de :" Compte sur moi pour t'aider !" J'ai alors répondu par un regard:"Tu as eu ton moment de gloire à la piscine laisse moi jouir du miens ..." En ajoutant un clin d'oeil de: "Ne me laisse pas mourir, pour agir!"

J'ai alors dis à la vendeuse avec un ton sarcastique:

-Vous, voulez bien éloigner vos choses de sa tête? Ca pourrait lui éclater à la tronche. On ne rigole pas avec ces choses là.

La vendeuse s'est prise un fart et a tenté de rétorquer mais je l'ai coupé:

-Ils sont gonfler à l'hélium, à moins que se soit du silicone... Vous n'avez pas des problèmes respiratoire ... Vous voyez la machine avec vos machins?
C'est du made in Taiwan ... Le modèle 309 ...?

La vendeuse m'a répondu: Tu es très impolis!

-A moins que se soit des vrais...(J'en doute ! )Vous avez réussi à sortir du ventre de votre mère à la naissance. Tout est passé ?
Les docteurs croyaient qu'il y avait des triplés, non ? continuais-je .

J'ai sentit une douleur inexplicable remonté de mon oesophage . Une sorte de transformation allait avoir lieu . J'ai cru criée de douleur mais j'ai finalement lâché un rot dans la face de la serveuse ce qui la légèrement décoiffé. En fin légèrement... à la végéta.

-Oups, la dernière cuillère a eu du mal à passer! *VENGEANCEEEEEEEEE!!! Hihihihihi !*

Mal grès, que je me sois défoulé, je ne pouvais m’empêcher de culpabiliser. Elle fessait une tête tellement triste. Quoi qu'elle l'a bien chercher...Mais quand même, ce n'est pas gentil....Puis non ce n'est pas grave, Kita en rie c'est le principale !

J’attendais que Lira se charge de faire partir la serveuse car nous devions parler de chose importante à propos de leur gène. De plus, je me souvins après quelques seconde que Kita m'a posé une question a ce sujet. Elle voulait savoir pourquoi nous sommes dotés d'un gène. Si tous les gens de l'ile peuvent devenir des dragons et des Lycan et pourquoi sont gène ne ses activer que sur Maryoku.

Je ne savais pas quoi penser de sa dernière question. Pourquoi uniquement sur Maryoku ? Je me remémorai alors la fameuse ''histoire'' de Maryoku. Ce serait une ile découverte par hasard par un chinois durant la guerre. Il a décidé de faire de cette ile un endroit neutre ou aucun pays ne pourrait l'attaquer, mais pourquoi l'appeler Maryoku ? Peut-être cela veut dire Protection ou un mot dans le genre. Selon moi, le gène vat selon nos ancêtres ou bien nos croyances ou encore avec notre personnalité.

Je décidai alors à ce moment de me mettre légèrement en colère dans ma tête pour pouvoir essayer de maitriser un peu ce fameux mystère du gène. Mes yeux devinrent alors comme des yeux de serpent. Je voyais les choses d'une autre façon. Lira et Kita était maintenant rendu en bleu-noir avec du mouvement. Comme tous les autres être vivant. La table elle était simplement dore. Je regardais vite fais autour et tout ce qui était non vivant fut devenu légèrement en dorer. Après quelques secondes seulement d'habitude, je remarquai que je pus avancer ma vision pour voir plus loin. Je fermais les yeux un instant puis me calma au même moment pour ne pas devenir en colère noir.

Je ré-ouvris les yeux et je regardai la vendeuse. Elle s’est pencher un peux pour que je puisse voir son décolleter et être séduit. Surtout qu'elle a ajouta sur un ton doux et séducteur : Elles sont belle tes filles. Je me retins de rire car en fait Lira et Kita sont des amies. Bien sûr je pourrais être leurs pères mais je n'ai pas spécialement envi car la relation père-fille est très différente que celle des amis.

Lira pris d'abord une respiration avant de s'exclamer sarcastiquement :


Des seins qui éclatent ? Même dans les films on n’a jamais vue ça... Mais bon, laissons la continuer si cela peut l'amuser.


Cette fois je me mordis la lèvre du bas pour ne pas rire car en tant que père je dois montrer l'exemple à mes filles. Bien qu'elle ne le soit pas réellement, la vendeuse le croit, elle. Je me tournai dans sa direction et la regarda alors. C'est vrai que la taille était hallucinante. Comme Lira ni Kita ne pouvais voir mes yeux, je la regardais de haut en bas. C'est vrai qu'elle est jolie et tout mais ce n'est pas le moment de draguer. Pour une fois, elle ne me fixa pas mais plutôt Lira qui l'insulte depuis un moment déjà. Ne sachant pas trop quoi faire, elle dit simplement : Tu es très impoli !

Puis Lira en rajouta encore. Je n'en fus même pas étonner.


Lira prit une courte pause. Peut-être avait-elle plus d'idée pour continuer et que la vendeuse partirais simplement sans rien dire mais j'avais tort. Lira ouvra grand la bouche puis lâcha un rot devant la vendeuse en ajoutant qu'elle a mal avalé sa dernière cuillère. La vendeuse baissa le regard car elle était triste. J'approuve que Lira a été dur un peu. Je voulais simplement qu'elle la fasse partir, par l'humilier devant...

Je tournai la tête et les autres tables nous regardaient. Même qu'ils avaient la bouche ouverte tellement Lira avait insulté la vendeuse que eu ont trouvé sympathique. Un enfant de huit ans en échappa même sa glace au sol, créant ainsi un léger éclaboussement du au fondement de la crème glacer. Je me tournai ensuite vers Lira et Kita et leur fit signe de baisser le ton un peu.

Je me levai alors et pris la vendeuse par le bras pour l'entrainer plus loin. J’allai dans la salle de bain des clients et verrouilla la porte puis je m’accotai sur le comptoir pour mettre quelques petites chose au clair avec elle. Je soupirai d'abord avant de commencer.


J’ouvris alors la porte et me retourna en lui chuchotant : et tu es magnifique, en passant. J'allais me re-asseoir avec les filles et continua de manger ma glace. Je fis un sourire a Lira pour la remercier et regarda Kita. Je me remémora alors les questions a Kita.



Je pris une autre croquer de ma glace et regarda derrière le comptoir si la vendeuse avais bien compris mon message mais je ne la vis pas. Ou était-elle passer maintenant ? Peut-être préparait-elle sa revanche sur Lira. Cela pourrait tourner en food fight et je n'ai pas très envie d'y participer. Surtout si Kita reprend sa forme de louve.


Bien, maintenant il ne faut pas que sa dégénère trop. Je dois garder le contrôle de... Je levai les yeux, la vendeuse est derrière Lira avec un gros pot de lait dans ses mains. Elle le leva au-dessus de la tête a Lira puis lui vida tout sur la tête. Je fermis les poings et donna un coup sur la table, qui se fissura légèrement, en me levant. Mon regard se posa alors dans les yeux de la vendeuse et lorsqu’elle remarqua mon regard, elle lâcha son pot qui fit un résonnance sonore lorsqu’il toucha le sol.

Lira n'eut finalement PAS DU TOUT besoin de mon aide pour faire comprendre à la vendeuse qu'elle n'était pas la bienvenue à notre table. Et puis elle m'avait fait comprendre par son regard qu'elle voulait s'en charger seule. Je la laissa donc régler le problème. Lorsque ma soeur sortit la première insulte, je faillit m'étouffer en avalant ma glace. Je me mit à tousser, le froid m'ayant brûler la gorge. Si Lira et la bouteille de parfum ambulante avaient été sur un ring, la serveuse aurait fini au tapis avant même d'avoir le temps de dire ouf. Faut dire que Guimauve n'y allait pas de main morte non plus. Il vaux mieux faire partit de son groupe d'amis croyez moi ! La seule chose que pu répliquer la serveuse fut seulement : Tu es très impoli ! Mais Lira continua de plus belle, nullement impressionnée :

-A moins que se soit des vrais...Vous avez réussi à sortir du ventre de votre mère à la naissance. Tout est passé ? Les docteurs croyaient qu'il y avait des triplés, non ?

Alors là, ma bouche se décrocha. Lira avait l'air tellement sûr d'elle que c'en était impressionnant. Certes, ça m'arrivait d'insulter des gens mais jamais je n'étais aussi calme que mon amie. Au contraire, j'étais généralement énervée, voir très énervée, et j'envoyais valser tout ce qu'il y avait autour de moi. *Bon, là on va éviter de se mettre en colère parce que la seule chose que je vais envoyer valser, ce seront mes vêtements.* Puis quand Lira rota à la figure de la vendeuse, je ne put m'empêcher d'écarquiller les yeux et de rire.

-Oups, la dernière cuillère a eut du mal à passer !

Mon regard fit l'aller retour entre la vendeuse et Lira. Celle-ci affichait un grand sourire de triomphe, bien qu'elle semblait légèrement culpabiliser tandis que la serveuse avait l'air plutôt triste. En même temps, je la comprenais. Elle venait de se faire ridiculiser par une adolescente devant une vingtaine de personne. Tout leur regard étaient braqués sur nous. J'en rougis légèrement et me laissa glisser sur ma chaise, mal à l'aise. A chaque fois que j'avais été le centre d'intérêt général, je m'étais faite humiliée. C'est pour ça que je comprenais pourquoi la vendeuse affichait un air si triste et, même si c'était elle et Lira qu'on regardait principalement, j'en gardait un mauvais souvenir. J'entendis un "ploc" et jeta un rapide coup d'oeil dans sa direction. Un petit garçon avait laissé tomber sa glace, sûrement traumatisé à vie par ce qu'il venait d'entendre. *Espérons que les parents ne fassent pas de procès à Lira*, pensais-je avec ironie. J'allais intervenir pour présenter des excuses à la vendeuse quand Irvan nous fit signe de se taire. Il se leva et entraîna la vendeuse par le bras. Je ne vit pas où il l’emmena mais comme il n'y avait aucun bruit, j'entendis, grâce à mon ouïe fine, un loquet qui se ferme. Je me redressa et me tourna lentement vers les clients.

-Euh...veuillez nous excuser, bafouillais-je. On ne voulais pas vous déranger.

Le petit garçon qui avait fait tomber sa glace rejoignit sa mère à la table et demanda avec son innocence d'enfant :

-Maman, c'est quoi le modèle 309 ?

Lira croisa mon regard et on s'esclaffa. Les autres ne se préoccupaient déjà plus de nous. Néanmoins, pour ne pas s'attirer leurs foudres, on se calma rapidement.

-Tu y es quand même allé un peu fort je trouve, fit-je en enfournant une autre bouchée de crème glacée. J'avoue qu'elle à l'air collante mais tu aurais peut-être dû ralentir la cadence. (Puis avec un sourire moqueur, j'ajouta : ) Irvan va nous en vouloir si la vendeuse lui pose un lapin à cause de nous.

C'est à ce moment que l'intéressé revint et s'assit comme si de rien n'était. Il continua de manger sa glace en nous souriant. Je crus qu'il allait sermonner Lira à cause de sa grossièreté mais non. J'allais donc lui reposais mes questions mais il fut plus rapide que moi et me répondit gentiment :

-Alors Kita pour commencer, je ne sais pas plus pourquoi nous sommes dotés d'un gène. C'est aux scientifiques de le découvrir, pas à moi.

Quand il dit ça, une image de plusieurs scientifiques penchés sur moi s'imposa à mon esprit. Je frissonna et chassa cette horrible vision d'un mouvement de tête. Irvan continuait :

-Ensuite, selon ce que je sais, il y a plusieurs types de gênes jusqu'à maintenant, dont le principaux, Lycan. Je sais qu'il y a le gène vampire, succube, Lycan et loup. Lira a aussi un gène mais ce n'est pas une Lycan. Si ton gène s'est activer sur Maryoku, je crois que l’île reçoit l'énergie de la lune et comme nous sommes dessus, nous la recevons aussi. Mais ce n'est qu'une hypothèse.

-L'énergie de la Lune ? Succube ? Vampire ? Ohlala mais réveillez moi je vous en supplie ! lâchais-je en enfouissant ma tête dans mes mains.

Puis je me redressa d'un coup. Dans les contes, les légendes, les mythes et tout le tralala, les Lycans et les Vampires étaient des créatures ne pouvant pas se supporter et ayant tout le temps envie de se taper dessus ou de s’entre-tuer. Est-ce que c'était la même chose pour nous ou étions-nous différents de nos homologues historiques ? Irvan s'adressa à Lira mais je ne l'écoutais pas, plongée dans mes sordides pensées. Si jamais, je venais à rencontrer un vampire, comment cela se passerait-il ? Pire ! Si j'en avais déjà rencontré un et qu'il avait mit en place des plans pour me tuer ? Pire encore ! Si Lira était un vampire ? Ou même Gabrielle, ma coloc' ? Est-ce qu'on en viendrait à se battre et à se détruire ? Je frissonna à nouveau tout en passant ma main sur mon cou, vérifiant ainsi que je n'avait pas deux trous dans la carotide. J'allais à nouveau ensevelir Irvan sous toutes mes question quand Lira fut recouverte de lait. Me levant d'un bond, je remarqua la vendeuse derrière mon amie, les mains tendues au-dessus de la tête rose, enfin blanche maintenant, de Lira, tenant un récipient vide. J'entendis Irvan écraser son poing sur la table, suivit d'un léger craquement. *J'y crois pas ! Il a réussi à infliger des fissure à la table par la seule force de son poing !* Le rebondissement du pot sur le sol se fit alors entendre.

-Je peux savoir ce qui vous a pris ? apostrophais-je la vendeuse d'une voix furieuse.

En moi, je sentais la Louve se réveillait mais je ne voulait pas qu'elle prenne le contrôle. Je m'approcha de la vendeuse en tremblant parce que j'essayais de contenir ma nature Lycanne à l'intérieur.

-Vous allez immédiatement demander pardon à ma soeur, comprit.

La vendeuse me regardait avec exaspération. De son odeur émaner de la colère et de la frustration. Malgré mon envie de lui sauter à la gorge, je ne recula pas et soutint son regard. Mais en moi, une véritable bataille se livrait. Je sentais ma partie animale prendre de plus en plus le dessus sur la femme. D'abord, la transformation s'effectua sur mes yeux. C'est en percevant les choses différemment que je comprit que j'étais en train de perdre. Je ma cacha les yeux de la main pour ne pas effrayer la vendeuse. Bien qu'elle venait de me déclarer la guerre pour s'en être prise à mon amie, je ne voulais pas qu'elle soit témoin de quoi que ce soit de magique. Mes prunelles toujours dissimulées, je me tourna vers Irvan et fit quelques pas avant de tomber à genoux. Je me découvrit les yeux et regarda le demi-dragon, suppliante.

-Aide-moi s'il te plait...réussis-je à dire avant de me tordre de douleur.

Mes constatation plastique, sur la vendeuse.En avaient choqué plus d'un. Tous le monde nous regardaient. Nous étions tous plus ou moins mal à l'aise, et ont l’était définitivement lorsque qu'un petit Garçon laissa tomber au sol sa glace, la bouche grande ouverte et j'ai cru mourir au moment ou sa maman m'a lancé un regard foudroyant.

Irvan nous fit un regard a toute les deux, pour que l'on se calme. Hors il m'était bien plus adressé, puis il n'était pas si sympathique que ça.

Kita s'est ensuite excusé publiquement au nom de tous.Irvan s'est levé, a pris la vendeuse larmoyante par le bras, pour l’entraîner dans les W.C public .
*Seigneur, pas dans la crèmerie...*
*Les hôtels, sont la pour ça !*
*Mais de quoi tu parle...*
*De rien,tu comprendras une fois grande ..Et toi ? De quoi tu parle ?*
*Ben ... De picoti picota ! Quoi d'autre. On fais pas ça dans les toilettes ... Moi, je le fessais à la récrée *
* Ha! les jeux d'enfants ou avais je la tête ?!!*

Le petit garçon de la crème glacé nous a fait éclater de rire, quant il a demandé à sa maman au yeux revolver: "-Maman, c'est quoi le modèle 309 ? "

Le plus marrant dans tous ça, est que le modèle 309 est un chiffre, irréel puisqu'il est tout droit sortit de mon imagination.
La maman semblait ne plus se préoccuper de nous après tout, elle aussi était au temps Jadis une enfant...
Kita me réprimanda:

-Tu y es quand même allé un peu fort je trouve. J'avoue qu'elle à l'air collante mais tu aurais peut-être dû ralentir la cadence. (Puis avec un sourire moqueur, elle ajouta: ) Irvan va nous en vouloir si la vendeuse lui pose un lapin à cause de nous.

-QUOI Irvan, l'a invité à un rendez-vous galant ? Mais c'est une blague... Cette fille se fout de nous. (Hurlais-je) J'exige un supplément d'argent de poche, pour l'avoir aidé à draguer cette femme, car sans moi, il n'aurait jamais jouer au héros dans le toilettes d'une crèmerie ... (Chuchotais-je dans l'oreille de Kita fièrement )

-Tu sais Kita ....? Je voulez pas gâcher la journée, quant Irvan reviendra, j'irais lui faire des excuses publiques et solennel.

Il est revenu s’asseoir près de nous, légèrement gêné. Kita s'est mise à le bombardait de question sur les gênes, ce qui m’intéressais à moitié, vu que je ne pense avoir un gêne. J'attendais que Kita ai eu ses réponse pour parler de mes excuses, Kita a achever la conversation par des drôle de légendes et mythes. Ne voyant plus la vendeuse, j'ai finalement agrippé l'avant bras d'Irvan,en me penchant ,pour lui dire:

-Ou est la vendeuse pour que je puisse m'excuser ? Je suis désolé d'avoir fait un scandale. Tous ce que j'ai dit n'était qu'une analyse visuel de cette fille mais peut être qu’ intérieurement elle est très naturel, enfin jolie, en ....*Tu t'enfonce !* Je veux dire elle est jolie mais bon (mal à l'aise je rougissais )... J'arrête ...Je m'exprime mal, je voulais simplement rigolais... Bon elle est ou ? Demandais-je encore. *Bien rattrapé Lira!*

Irvan ne fessait que se tourner vers le comptoir des glaces. Il la cherchait, mais elle avait belle et bien disparue.
Mon attention fut captée par une voix d'homme appelant un enfant :

- KAYLLIS ! Viens on rentre maintenant ...

Se nom me semblait très familier, un peu trop en fait. C'est vrais que c'est dernier jour je ne pensais plus qu'à une chose. Cette tombe, vu en rêve, avec mon nom dessus mais sans prénom apparent.

Je vis Irvan faire un regard affolé, il crié "NOOOOOOOOON!" des yeux. Soudainement, je sentie mon corps tout entier s'immerger dans une crème froide, et gluante. Je ne bougea pas d'un cil. D'une main je m'essuya les yeux, en grelottant.
Irvan mit un coup de poing sur la table, qui se fissura jusque sous mon nez, son regard effrayant me glacé le sang, les veines lui sortait du bras, le poing toujours fermé sur la table. La vendeuse laissa le pot à terre, produisant un bruit lourd et sourd. Je leva la tête pour voir son regard apeuré. Kita apostropha :

-Je peux savoir ce qui vous a pris ?

Je me tourna vers elle... Son regard changeait également. Cependant, au contraire d'Irvan, elle ne savait guere se contrôler . Elle se leva en tremblotant, s'approcha de la vendeuse .

-Vous allez immédiatement demander pardon à ma soeur. comprit ? Ordonna t-elle avant d'enfouir sa tete dans ses main et se tordant de douleur


Me levant d'un bond, j'attrapa à la gorge, d'une main, la vendeuse. La soulevant de plusieurs centimètre,les lèves pincés un regard haineux et déterminé, je sentait ma vision changer. Finalement elle revint. Lui mettre un coup de poing, voilà se que je désirais. Je le lança.... Il se stoppa à un millimètre de son visage.


Souvenir:
"GUIMAUVE! Il ne faut pas !
Ne me fais pas se regard. Je te l'ai dit mainte fois, ce n'es pas à toi de régler les soucis quelconques qu'ils soit. Car tu est l'enfant et moi le Grand frère protecteur ! Répète... J'ai dis répète ... Tu auras une sucette !"

-Je suis l'enfant et tu es le grand frère protecteur, donc je ne dois pas agir. marmonnais-je la vendeuse toujours en main.


Souvenir:
"C'est a moi de te défendre, tu m'as déçu. Tu est vilaine.... Nooon! Lira chérie, ne pleure pas. Je ne voulais pas dire ça. Allons, Guim' ! Allez viens dans mes bras la vilaine. On va essuyer la morve que tu as sous le nez.
HA! Tu vois, tu ris... Qu'est ce que je ferais sans toi"

*"Guim' tu est vilaine !" C'est ce qu'il te disait ? Quand tu désobéissais. Ne le déçoit pas Lira !*

Je la reposa à terre, les yeux embuait, une crampe au bras. En fulminant :

"Tu as bousillé la journée de Mes Amis, tu as bousillé les habits de mon Amie. Tu as mis ma soeur dans un état pas possible. Maintenant Irvan est mitigé entre toi et nous ... Tu as faite de notre superbe journée, une horreur. Je devrais te corriger...MAIS J'AI PROMIS ! "

Je me suis précipitée dans les W.C, en fermant la porte. Me tapant la tête conte les mûrs des toilettes à trois reprises. Glapissant à chaque impactes:

"HAAAAAAAAAaaaaaaaaaa! Pourquoi? Pourquoi ? POURQUOI ? Suis-je si méchante. En voulant faire bien, je fais mal. Mais qu'est ce qui cloche chez moi ?"

Me projetant sur l'autre mûr. Je glissa le long, en heurtant le sol. La tête dans les bras et les jambe remonté sous le menton. Je reteins mes larmes.

-Pourquoi n'est tu pas là...? Sans toi, je fais n'importe quoi !"

*Mais il est là*
*Non, il m'a abandonné! Il me manque tellement ! *
*Je sais. Sauf que tu te trompe! Il est là. Dans ton coeur... *

Des cris retentissaient, dans la salle... Kita s'était elle transformée ? Irvan avait il fait de même? La vendeuse, avait elle lever la main sur quelqu'un ? Que se passait il ?
Je désirais les aider. Mais je savais que j'allais aggravé le problème !

Lorsque la table se fissura, mes yeux se fermèrent. La pression que j’exerçais sur la table la fit fissurer encore plus. J’essayais de reprendre le contrôle de mon gène mais… Lorsqu’il s’active pour protéger quelqu’un il est très dur de l’arrêter. Je suis pourtant très calme, mais mon corps agis pour protéger lira et Kita. Que faire alors ? Je ne peux pas non plus montrer mon gène…

Je sentis les écailles sur mon bras se répandre plus loin sur ma peau. J’allais me transformer en ‘’ phase 2’’ directement ? Il ne faut pas… je dois me retenir ! Même avec les yeux clos, je voyais tous autour de moi. Je ressentais la chaleur du corps à Kita et des autres autour de moi. Me garda mon attentions sur Kita car la chaleur de son corps augmenta grandement. Elle allait se transformer. Lira à côté son corps devenais froid. Je devais sauver les deux… Mais est-ce que je dois tout bruler pour ça ? Lira va bien, on vas retourner au campus et je leurs ferai moi-même ma glace…

Kita se leva alors puis pointa la vendeuse du doigt tout en demandant de s’excuser a Lira. Mais Lira lâcha quelques larmes que je remarquai sans rien dire. J’attendais. Chaque seconde comptais. Reprendre le contrôle ou non ? Tout dépend de ce que lira vas faire…

Elle se leva alors, l’empoigna par la gorge et la leva de terre. Puis la chaleur du corps a Lira remonta. Allait-elle aussi se transformer ? Tu dois faire quelques choses Irvan et vite ! Lira lâcha un texte qui ne parvinrent pas à mes oreilles. Mes ongles commencèrent à allongé légèrement pour devenir des griffes affuté. Je fis défilé les idées dans ma tête car quoi qu’il arrive, je peux sauver lira, mais pas moi. Chloroforme, l’assommer, la recouvrir avec mon manteau et mon corps, la serrer contre moi…. Non aucun ne suffira ! Merde le temps est contre moi !

Le temps…. Le temps… Le temps… Je me souvins alors qu’après mes griffes, la puissance de mes jambes augmente, je pourrais alors prendre Kita, la tenir fort contre moi, courir dans un endroit ou y a personne… Le seul problème est qu’il y a trop de gens. Je pourrais m’envoler ? Non tu ne peux pas ! Puis les je réussis finalement à reprendre le contrôle de ma transformation. Lira étais partit, je n’avais plus besoin de la protéger ici. Je stoppai la transformation au stade où elle était rendue puis ouvris les yeux. Lorsque Lira ferma la porte des WC, la table céda et tomba en 2 morceau au sol.

Je regardai mes bras vite fait, les écailles dépassaient les bandages que j’avais faits. Puis le regard que Kita me fit en me demandant mon aide, je ne contrôlais même plus mes actions, mes gestes. Je bondis sur elle en me propulsant, la serrant contre mon torse avec mes deux bras et insérant mes griffes dans sa peau sans le vouloir. Les gens autour de nous ne me vis simplement disparaitre et serrer ma fille dans mes bras.

Je lui chuchotai alors à son oreille : Je suis là, Kita ! J’enlevai ma veste, assomma Kita pour qu’elle tombe inconsciente, la pris dans mes bras et mis la veste autour d’elle pour cacher sa transformation. Les gens dans la salle commença a crié lorsqu’ils virent mes écailles sur les bras. Je marchai vers la toilette dans laquelle était partit Lira. Je devais la sauver elle aussi. Je passais à côté d’une table puis un homme se leva et se mit devant moi. Je regardai Kita dans les yeux et



Je penchai la tête sur le côté sans rien dire et j’attendis. Comme je ne répondais pas, il mit ses mains sur le corps à Kita pour essayer de me pousser. Je reculais alors d’un pas et lui répondit calmement : Tu ne veux pas me barrer la route. Je déposai La jeune demoiselle au sol puis accota mon pied droit bien solidement sur le sol. L’homme s’approcha alors puis lorsqu’il fut assez proche, je levai mon pied du sol et vint lui mettre dans les côtes.

L’expression sur son visage changea alors mais il fut trop tard. Ses pieds leva du sol pour se tasser d’approximativement un mètre. Je crois bien lui avoir fracturé tous les côtes du coter droit. Je repris alors ma fille dans mes bras et entra dans les WC. Lorsque la porte se fermis, mes yeux se ferma et je revins alors normal.

Je déposai Kita au sol puis regarda Lira, lui souriant. Ne tant fais pas, je suis la maintenant. J’enlève le bandeau blanc que j’ai autour de la tête, le déplia puis le déchira en 2. Je le mis autour du bras a Kita pour arrêter le saignement et fit la même chose avec l’autre. Lira me regarda directement le front en voyant ma cicatrice. Je lui fis un autre sourire en lui sortant : Ne fait pas attention à mon front. Ce n’est pas grave.

Je pris ma veste et fis un oreiller pour la tête a Kita et j’allai proche de lira pour la serrai fort à son tour. Je me tournai alors et sortit des WC pour calmer tout le monde.



J’enlevai un bandage sur un de mes bras et toucha mes écailles.

dis-je en remettant le bandage sur mon bras.


Les gens acceptèrent et je leurs donna. Cela me prit quelques minutes de donner les 20 euro puis ensuite je retournai dans les WC. J’approchai de Lira et la fit asseoir sur le comptoir. Elle ne bougea pas, comme pétrifier par je ne sais quoi. Je pris du papier à main et essuya son visage. J’envoyai ses jolis cheveux roses vers l’arrière de sa tête avec ma main puis essuya sons visage.

.

Je reculai un peu de Lira et enleva mon t-shirt que je lui lançai. Tien change toi, dis-je a Lira. Ton chandail est trempé. J’allais alors vers Kita et la réveilla. Lorsqu’elle ouvrit les yeux, je me sentis soulager et l’aida à s’asseoir.

La douleur devenait de plus en plus insupportable. J'avais l'impression que mon corps était tiré en deux directions opposées : rester humaine, devenir louve. Mais je savais que si je me transformais, je ne pourrais pas me contrôler. Il y aurait sûrement des blessés, peut-être même des morts. Recroquevillée sur moi-même, je ne voyais rien de ce qui se passait. Je surpris seulement Lira s'enfermer dans les toilettes. A côté, des cris retentissaient et je sentais Irvan lutter contre sa propre transformation. La table s’effondra sur le sol, divisée en deux. Le fracas que firent les deux morceaux en percutant les dalles me parvint aux oreilles et je sursauta. Je sentis soudain deux bras m'entourer. Je n'avais pas besoin de le voir pour savoir que c'était Irvan qui me serrait contre lui. Je me blottit un peu plus contre son torse en fermant les yeux, tandis que des griffes pénétraient ma peau. Des larmes roulais sur mes joues inondant son T-shirt. Mais je n'osais bouger.

-Je t'en pris...me laisse pas...marmonnais-je sans savoir s'il m'entendrait.

-Je suis là, Kita ! me chuchota-t-il à l'oreille.

Le fait de savoir qu'il ne me laisserai pas tomber me rassura un tout petit peu. J'entrouvris les yeux et le vit enlever sa veste puis...tout devint noir.

Je ne vois plus rien.
Je n'entends plus rien.
Je ne sens plus rien.
Je ne ressens plus rien.
Je n'ai plus conscience de rien.

C'est comme si j'était plongée dans un état second. Le temps n'avait plus aucune signification pour moi. J'avais l'impression de ne plus exister, sans même savoir si j'avais déjà vécu. Tout était noir autour de moi. Il n'y avait aucun bruit. Je ne m'entendais même pas respirer. Je n'arrivais plus à penser, plus à réfléchir, plus à savoir. Des lettres tournaient et se mélangeaient dans ma tête. Je voulais les remettre dans le bon ordre mais je n'y arrivais pas. Mon esprit était comme un labyrinthe dans lequel je n'arriverais jamais à retrouver mon chemin.

J'ignore combien de temps je suis restée dans cet état mais, lorsque j'ouvris enfin les yeux, quelqu'un était penché au-dessus de moi. Ma vision étant encore un peu floue, je ne vit pas exactement qui c'était à part que cette personne semblait être un homme. Et n'ayant pas tout à fait retrouvé mes esprits, je fit une chose insensée : levant péniblement la main, je la posa sur sa joue.

-Jiro...est-ce que c'est toi ? marmonnais-je faiblement.

Ma vue se stabilisa et, en réalité, l'homme penché au-dessus de moi était Irvan. Il arborait une expression de soulagement et m'aida à m’asseoir.

-Je suis désolé pour tes épaules…me dit-il.

Effectivement, une douleur me lancé les épaules. Je tournais ma tête pour voir ce qui m'étais arrivée et découvrit un bandage qui m'encerclait chaque bras à l'endroit de la blessure. Je me tourna à nouveau vers Irvan :

-C'est toi qui m'as fait ça n'est-ce pas ? Lorsque que tu m'as serré contre toi, j'ai senti tes griffes me transpercer la peau. Et tu m'as assommé aussi. Merci Irvan d'avoir agis ainsi. Ça fait deux fois que tu me sauve la mise.

Me redressant légèrement pour arriver à son hauteur, je l'embrassa sur la joue. Puis, le regardant avec malice je lui dit, un sourire aux lèvres :

-Ou plutôt devrais-je dire merci Papa !

Je m'appuya légèrement sur son épaule nue (*heu il est passé où son T-shirt ?*) pour me relever, chancelant légèrement. Lira était assise sur le comptoir. Je remarquai alors qu'elle portait le T-shirt d'Irvan. *Ah ben non il l'a pas perdu.* Je m'approcha d'elle et la serra dans mes bras.

-Lira, est-ce que ça va ? Je t'ai vu te précipiter ici, la serveuse t'aurai-t-elle dit ou fait quelque chose de mal ?

D'un regard, j'interrogea Irvan. Ayant été inconsciente, je ne savais pas ce qui c'était passé. J'en fis d'ailleurs la remarque à Papa. Puis, en libérant Lira de mon étreinte, je vis que ses yeux était rouges. Avait-elle pleuré ? Avait-t-elle retenu ses larmes ? Si c'est à cause de la serveuse qu'elle est dans cet état, j'allais lui faire sa fête à celle là ! Sentant la colère monter en moi, je respira à fond pour me calmer. Dans mon esprit, la Louve grogna.

-Oh va te coucher toi ! pensais-je tout haut.

Les bruits était de plus en plus audible. Je me leva, pour me diriger vers la serrure de la porte des W.C de laquelle j'observai la scène. Ce que je vis était ....La cohue. Oui, c'est ça c'est la cohue dans la crèmerie. Irvan se transforma en un animal, un monstre mythique indescriptible, vu que sa transformation se limitée à des écailles, des ongles long de bête féroce. Irvan restait voûté, les yeux fermer. Kita était quant à elle, couchait à terre, recroquevillé sur elle même comme un nouveau né. Les gens était partager entre la peur et la haine. Plus personnes n'étaient assis. Notre table était désormais casser en deux. Certaines chaises fut renverser sous la peur des clients.

Irvan se jeta sur Kita. il la souleva la serrant contre lui. Elle mis son visage face à son torse. Il la sera plus et lui mis un violent coup sur la nuque suite auquel elle s'endormie; La recouvra d'une veste. Il se dirigeait maintenant vers moi, c'est à dire les toilettes. De mon angle de vu je ne voyer pas grand chose. Je vis seulement Irvan venir à moi, kita les bras ballant, blotti contre lui. Une chose lui fit embûche, elle se mit devant la porte, lui barrant la route. Suite auquel j’entendis un violent choque, celui d'os qui se brisent. La porte se décala de quelque millimètre. Le trou de la serrure devint noir et je sentit alors la chose glissait le long de la porte, laissant place à un rayon de lumière dans le petit oeillet. Je recula, pour me redirigeais là ou j'étais au début. Irvan entra je ne sais trop comment. Il posa précieusement Kita au sol. Il leva la tête, son visage n'était plus effrayant. Il me sourit tout en me disant:

-Ne t'en fais pas, je suis là maintenant!

-Je sais bien! Murmurais-je sans bouger .

On peut dire qu' aujourd'hui j'ai vraiment merder...(Faute d'autre mot. Enfin si y a fauter, pêcher ... )
* Mais on peut l'expliquer.*
*Ha, bon ?*
*Ecoute Lira chérie ... *

Toi, qui était pourtant si joyeuse, insouciante, frivole. Tu dois aujourd'hui te débrouiller seul et on ne peut pas dire que ça te réussisse. Tu reste là à te morfondre. Te questionnant. Pourquoi des souvenirs revienne ? Une partie de toi souhaite la solitude et l'autre la compagnie. Serais-tu en train de grandir ? En tout cas, si c'est ça, je trouve ça très angoissant. Donc tu aurais fait le bordel, durant un R.D.V parce que tu as peur de grandir ? Bizarre n'est ce pas .... Personnellement j'opte pour cette hypothèse .

*T'es une ....Sorte de mentalist ? Médium? Voyant ... ? HA! Je sais tu es Madame Irma ? *

*LIIIRA ! Je suis ni médium, ni voyant ....etc ! Et je suis un homme ! *

*Oui ben tu es Monsieur Irma ! *

*Tu es désespérante ! *

*Bon, laisse moi narrer ... MERCI !*

Il enleva son bandeau, laissant apparaître des cicatrices énormes, profondes, et rouge sur son front. Avec les bandages, de son front il recouvra les blessures sanglante de "ma soeur". Je ne compris pas trop pourquoi elle avait ceci sur elle.

Me voyant subjuguais par ces cicatrices Irvan me dit :

-Ne fait pas attention à mon front. Ce n’est pas grave.

La question que je me posé était qui a bien pu faire cela à Irvan.
Pourquoi? Comment? Ce qui est sûr c'est que ses cicatrices doivent être douloureuse à porter. Imaginez... Suite à un règlement de compte, un mal entendu, une vengeance ou je ne sais quoi d'autre. On est bien d'accord que ceci n'est pas un simple accident, c'est forcement quelqu'un qui lui a fait. Donc imaginez, une minuscule erreur et tout les matins de votre vie, vous vous réveillez avec une cicatrice inéluctable.

Irvan me pris dans ses bras et sorti quelques instant.
Je regarda alors l'heure sur ma montre du moins se qu'il en restait. La vendeuse l'avait tout bonnement détruite, pourtant elle en avait vécu des choses, mais aujourd'hui elle avait rendu l'âme. La crème glacée avait infiltré les circuits.On y voyait même plus les chiffres. Un sanglots éclata.
Durant des années j'avais fait attention à son cadeau. Et aujourd'hui suite à une mauvaise blague, ce souvenir s'était envolé avec lui à jamais. Bien heureusement il me restait mon grelot. Mais si je perdait celui ci aussi.... Je les oublierais à jamais ?
Je me mis en boule... Je sentait encore une fois un mélange de tristesse et de colère. Je me contenais.

*Hoooooooo, comme c'est touchant ...Snif snif*

* Oui et mon poing va pas tarder à te toucher lui aussi... Snif snif *

*(Se cache dans un coin...) Tu compte ? *

*(Soupir) Je narre Irma ! *

*JE NE M'APPEL PAS IRMA *

*LA FERME C'EST MOI LA CHEF !*


La porte se ré ouvra laissant place à Irvan. Il s'approcha de moi, pour m'agripper et me faire asseoir sur le comptoir des lavabos. Je restais pétrifié. Comme une statue de Médusa. Il essuya mon visage et le dégagea de mes cheveux. Il ajouta:

-Tu sais Lira, tu n’es pas méchante pour autant. Tu as fait ce que je tes demander en la remettant à sa place. Ne t’inquiète pas pour le reste, je me charge de tout.

*Si tu l'es... Tu partage jamais ta nourriture .... Égoïste!*

*Si je la partage ...parfois*

*Pas avec moi en tout cas *

*Mais tu es un ami imaginaire, tu vas pas manger.... Triple andouille ... *

*Oui ben c'est pas une raison .... Tu pourrais partager . *

*Ok, promis la prochaine fois je te donne à manger. Que tu ne mangeras pas, mais je t'en donnerais Irma !*

*Merci *


Les paroles d'Irvan ma rappel des paroles de grand frère. Celle d'un frère sur protecteur envers leur petitesoeur. Irvan est quelqu'un de très attentionné.
Il se recula, enleva son haut et me le jeta pour que je me change.

-Tiens change toi ! Dit-il .

J'enleva mon t-shirt et mit celui d'Irvan deux fois trop grand. Puis je bascula ma tête dans le lavabo pour me nettoyer la tête, le coup et le visage. Il s'accroupi au près de Kita, pour la réveiller. Elle posa sa main sur sa joue et l'appela dans un souffle "Jiro".

Irvan s'excusa de l'avoir blessé aux épaules. je me demandais alors ce qui c'était passé. kita demanda:

-C'est toi qui m'as fait ça n'est-ce pas ? Lorsque que tu m'as serré contre toi, j'ai senti tes griffes me transpercer la peau. Et tu m'as assommé aussi. Merci Irvan d'avoir agis ainsi. Ça fait deux fois que tu me sauve la mise.

Kita était elle Masochiste? Irvan l'a blessé de ses griffes en les enfonçant au plus profond de sa chaire avant de l’assommé et elle le remercie.

Elle rectifia :

-Ou plutôt devrais-je dire merci Papa !

Je fais un léger sourire.
Elle se relève en fixant son torse nu un instant, puis son regard se dirige vers moi.Elle me saute au coup, me serrant contre elle.

-Lira, est-ce que ça va ? Je t'ai vu te précipiter ici, la serveuse t'aurai-t-elle dit ou fait quelque chose de mal ?

Je fis un geste inhabituelle. Je repoussa Kita en mettant mes mains sur sa poitrine, effectuant une légère pression pour la décoller. Elle me lâcha.

Je demanda alors à Kita avec une voix tremblotante:

-Kita? Désolé de remettre cela sur le tapis. Mais est ce que Jiro est ton frère ? Il a rejoint les anges ?
Moi aussi j'en avais un... Et cette montre c'était la sienne. Il me l'a offerte. Mais aujourd'hui à cause d'ELLE, elle ne marche plus.... C'est un peu comme si d'une certaine manière, elle avait tué.
Je continue de la fixer.

"TU DOIS TOUJOURS RÉPARE TES FAUTES, OU LES ALLÉGER LE PLUS POSSIBLE !" C'est ce que ma famille m'a toujours dite.

Je me lève, me rappelle de l'homme souffrant. J'ouvre la porte. L'homme était couché par terre en boule dans un coin. Avec sa femme à son chevet. Je me penche alors et lui dis:

-Je vais vous aidez monsieur. Ce qui c'est passé aujourd'hui est de ma faute. Excusez le. S'il vous plait.

Les cotes du monsieur étaient enfoncer sur le côté droit. A la cuisine je me dirigea * Arrêter de regarder la guerre des étoiles tu dois! * Pris des pack de glaces, et avec un gilet qui traînait. je le découpa en fine bande pour bander le monsieur.

-Monsieur vous devez allé voir un docteur. Votre femme pourra vous y conduire. Encore désolé. Je pense que votre blessure est superficielle. Ça guérira vite.

Je vis Kita et Irvan. je leur dit:

-Mon père avait quelques notions en médecine. Et j'ai passé le brevet de secourisme.... Je ne pouvais laissé cet homme dans cet état. Puis au moins ça pardonne les bêtises de la journée.


Je me rappel d'une chose. Mon frère m'a toujours dit: Chacun de nos actes, déclenche un effet papillon! Le pire dans tous ça c'est qu'il a raison. Un jour on fait un impair, et ça vous suis à jamais. Il faut que je grandisse pour ne pas peiner les gens que j'aime.
*Ou pas...! On t'aime comma ça Lira*

Je pris une chaise, la remis en place. Je dis dans un grand sourire:

-On fais le ménage...Pour réparer ma bagatelle. Et on va faire un tour après ?

J’espère sincèrement sauver cette journée. Qui avait pourtant si bien commencée .

Soudain... Un homme enrobé, aux yeux espiègle, avec de petites fossettes et avec une grosse bedaine se joint à nous. En y regardant de plus près il devait avoir 17/18 ans... Et il nous dit timidement :

-Je vais vous aidez ... A ranger !

*Il REGARDE KITA ...NON D'UN COOKIES *

*Ho, nooooooooooon ça va pas recommencer ? *

*On dirait bien ! *

*Tâche à l'avenir, de choisir des amis moche et pouilleux ... C'est un peu moins dangereux.*

* Je tacherais d'y songer ! *

Je m'approcha alors du jeune .... Me demandant si je n'étais pas un peu parano et je lui dis :

-Ecoute ... On y a arrive tout seul .... Alors retourne au Mac do !

*Ho noooooooon, c'est juste trop méchant ce que je viens de dire .*
Je fis tomber alors ma tête dans ma main... Pourquoi je me la suis pas fermer bon dieu .

Le monsieur Big Mac s’approcha et me dit :

-T'as un problème tête de P.Q rose ?

Je tapota alors son épaule pour lui montré qu'il n'y avait aucune tension ou presque .

Ok!donc noté que la sérénité est reportée à demain .... Avec mes plus plates et sincères excuses .

Je regardais Kita qui était en train de revenir dans notre monde. A l’intérieur de moi, j’avais une sensation étrange. Je savais ce que c’était, mais c’est la première fois que je l’ai. Comme on dit, Tout connaitre en même temps de ne rien connaitre. Je suis comme un ange gardien pour Kita et Lira, ou tout simplement un grand-frère qui veux protéger ses petit sœur qu’il aime tant.

Je sentis les courants d’airs que fit Lira en se changeant. Mon gène ne s’est pas désactiver au complètement encore. Comme après chaque activation cela prend quelques heures avant qu’il ne se désactive. Rien de visible pour les autres. Je continuai a fixé Kita qui lâcha un son. ‘’Jiro’’. Jiro ? Qui est-ce ? Surement un ancien camarade a Kita. M’enfin ceci n’est pas vraiment important à savoir pour moi sauf si elle veut m’en parler.

Elle regarda c’est bras comme quelques minutes. Je crains que le coup dans son cou lui est un peu fait perde la notion du temps. Mais cela reviendra dans cinq minutes. Heureusement son cerveau n’a pas eu d’effet secondaire. Elle releva alors la tête vers moi et me lâcha une question. ‘’C'est toi qui m'as fait ça n'est-ce pas ?’’ Pour ensuite continuer sans haine ou regret en me remerciant.


Deux fois ? Oui. Même si la première a été par ma faute… Kita se redressa à la hauteur de ma joue pour l’embrasser. Elle me fit avec un sourire, comme si rien ne c’était passer et rajouta : Ou plutôt devrais-je dire, merci papa !

Kita déposa sa main sur mon épaule pour s’aider à se relever. Je ne bougeai pas et regarda alors le mouvement de son bras pour voir si elle souffrait mais le sang ne coulait plus le long de ses bras. La plais est refermer. Elle a bien le gène de Lycan, après tout. Après s’être mise debout, elle avança alors vers Lira. Je me redressai et accota mon dos sur le mur de la salle de bain, regardant les deux jeunes femmes se faire une accolade.


Rien de mieux pour soulager un évènement comme celui-ci. Un câlin entre amis ou sœur. Cela soulage l’âme et l’esprit et calme les hormones. Je mis ma main dans ma poche et chercha une Popeye que je tenu entre mes deux doigt comme une cigarette. Je croquai un bout et la remis dans la petite boite dans ma poche. Lira repoussa alors Kita avec un gout de pleurer. Elle aborda un sujet qu’elle ne devrait pas. Si Kita a envie de lui en parler elle l’aurait fait ou peut-être attendait-elle que Lira lui demande. Je verrai bien.


Je tournai la tête vers la montre a Lira. Les aiguilles ne tournaient plus. Le tictac de la montre à cesser noyer par du lait de crème glacé. Je fermis les yeux et le plan du centre commercial passa dans ma tête. Une boutique de montre pas trop loin. Peut-être pourraient-ils réparer ça montre.
Je me décollai du mur pour me déplacer derrière Kita qui n’avait toujours pas répondu à Lira. Puis la jeune demoiselle aux cheveux roses descendit alors du comptoir et passa devant nous pour sortir à l’extérieur de la salle de bain. Je reculai un peu pour voir ce qu’elle fit et Lira prit soin de l’homme que j’ai violement frapper. Pendant que j’y pense, j’ai dû lui briser les 12 cotes et enfoncer son poumon sans le vouloir. Enfin, comme on dit, il ne faut pas bloquer la route à un homme quand la vie de ses enfants est en danger.

J’enlevai un des bandages sur mon bras et alla le tremper dans l’eau tiède. Je regardai alors Kita et je fis la même chose qu’à lira. Je remis sa couette à sa place et pris l’une de ces mains pour nettoyer le sang séché. Je fis de même avec l’autre puis ensuite je la tirai vers moi pour la serrer fort. Vas savoir pourquoi, Lira et Kita sont comme mes propres enfants. Je les aime comme ça et je les protège plus que qui conte ne pourra le faire dans ce monde.

Je me tournai alors au côté du lavabo pour rincer mon bandage et le remis à sa place autour de mon bras. Je sortis alors de la salle de bain et me tira une chaise. Je me suis assis pour regarder Lira agir. Elle voulait réparer ses erreurs. Le seul problème c’est qu’elle n’en a commis aucune. Elle se sent mal d’avoir agis ainsi avec la vendeuse et pour se faire pardonner elle veut rendre service à tout le monde. Une façon de se pardonner à elle-même et non des autres.

Kita vint me rejoindre à l’extérieur mais préférait plutôt aller aider Lira a tout ranger et nettoyer. Lorsque Lira nous remarqua elle lâcha avec un sourire :


Je retournai le même sourire a Lira et remarqua un jeune homme rond qui proposa son aide. Cependant ses yeux étaient rivés sur Kita. Je veux bien croire que Kita est une magnifique jeune demoiselle mais nous ne sommes pas là pour qu’elle se fasse draguer. Cependant je ne me leva pas pour cette raison. J’approchai de Lira rapidement avant qu’elle ne réponde à la réplique de ce jeune adulte l’ayant traité de ‘’tête de P.Q rose. ‘’ Lorsqu’elle déposa sa main sur l’épaule du garçon et ouvrit la bouche pour répliquer, je mis une main sur sa bouche pour l’empêcher de parler en lui donnant une pichenette sur la tête. Je retira ma main sur sa bouche pour la serre fort et l’emmener à côté de Kita. Je me retournai vers le mec pour lui dire :


Puis je déposai Lira au sol et mis mes bras autour de leurs épaules en marchant vers un réparateur de montre.

Lira avait l'air déstabilisée. Comme si tout ce qui se passait ravivait des souvenirs dans son esprit. C'est alors qu'elle me posa une question (ou plusieurs) d'une voix tremblotante.

-Kita ?

-Oui ?

-Désolé de remettre cela sur le tapis. Mais est ce que Jiro est ton frère ? Il a rejoint les anges ?

Elle me regarda tandis que moi je baissait la tête. Je sais que j'aurai toujours du mal à parler de feu ma famille mais, comme me le répétait souvent mon père, il ne faut pas vivre dans le passé. C'était la promesse que je m'étais faite en arrivant sur l'île.

-Oui, c'était mon frère, répondis-je en relevant la tête. Il mort il y deux ans. Si un jour je m'en sens capable, je me confierai à toi.

-Moi aussi j'en avais un... Et cette montre c'était la sienne. Il me l'a offerte. Mais aujourd'hui à cause d'ELLE, elle ne marche plus.... C'est un peu comme si d'une certaine manière, elle avait tué.

Elle continuais de me fixer et, avant que je n'ai pu lui dire quoi que ce soit de plus, elle se leva. Irvan m'avait rejointe et nous regardâmes tout les deux Lira aller prendre de soins de l'homme à terre. *Tiens mais qu'est-ce que...* Je me tourna alors vers Irvan pour lui demander de m'expliquer ce qui était arrivé à ce pauvre homme. De plus j'entendis Lira lui dire que ce qui s'était passé était de sa faute et qu'elle s'en excuser.

Irvan me tournait le dos et j'ouvrit la bouche lorsqu'il pivota vers moi. Mais aucun son n'en sortit. Mes yeux étaient braqués sur la cicatrice de son front. *Que t'est-il arrivé ?* J'aurai voulu lui poser la question. Mais je n'osa pas. Je ne suis pas de nature curieuse mais, je sais qu'un beau jour, je lui poserait la question. Et là ce sera à lui de choisir s'il veut bien me répondre ou non. Irvan s'approcha de moi et remis mes cheveux en place. Enfin ma couette. Puis il attrapa mes mains et nettoya les sang déjà sec. Le demi-dragon m'attira ensuite à lui et me serra fort. Je l'entoura des mes bras également. Dans cette étreinte, je sentais qu'Irvan nous protégerait toujours, Lira et moi, comme un père protège ses enfants. Je sentais aussi que nous pourrions compter sur lui à tout moments. Lui aussi pourrait toujours compter sur nous d'ailleurs. Il me lâcha et pendant qu'il rinçait son bandage, je m'occupa de mes bras.

Quand il sortit de la salle de bain, je pris sa place devant le lavabo. Délicatement, j'enlevais mes bandages. Ma surprise fut telle que mes jambes faillirent se dérober sous moi. Je n'avais aucune plaies ! Mais pourtant je n'avais pas rêvé ! Je me souviens parfaitement de la douleur que j'avais ressenti lorsqu'Irvan m'a enfoncé ses griffes dans les épaules. Je tournais sur moi même, ne quittant pas des yeux mes épaules.

-Je n'arrive pas à y croire...

Suspicieuse, je rejoignit Irvan et Lira dehors. Lui, était assis sur une chaise et elle, en train de bander les blessures de l'inconnu.

-Mon père avait quelques notions en médecine, nous dit-elle. Et j'ai passé le brevet de secourisme.... Je ne pouvais laisser cet homme dans cet état. Puis au moins ça pardonne les bêtises de la journée.

Les bêtises de la journée...

-Si cette Madame-Je-Drague-Tout-Les-Passants n'avait pas été si rancunière, rien de tout cela ne serais arrivé, maugréais-je.

Lira ramassa une chaise et j'alla l'aider à tout ranger.

-On fais le ménage...Pour réparer ma bagatelle. Et on va faire un tour après ?

-Pas de problème pour moi, répondis-je. (Puis en me tournant vers Irvan: ) Et toi, t'en dis quoi ?

Je replaçais une autre chaise quand je sentis une nouvelle odeur. En me tournant, je découvrit un jeune homme enrobé, légèrement plus vieux que moi. Il venait nous proposer son aide. Enchanté que quelqu'un demande à nous aider, je lui fit un grand sourire en répondant :

-Merci c'est gentil.

Puis je lui tourna à nouveau le dos, allant ramasser les deux morceaux de la table cassée. J'entendis Lira prendre la parole mais je n'y prêta guerre attention. C'est seulement quand le gars l'insulta de "tête de P.Q rose" que je fit volte face. Irvan se leva et se dirigea vers eux.

-Oh non faite que ça dégénère pas encore une fois...

Lira avait désormais la main sur l'épaule du jeune homme et au moment où elle allait répliquer, Irvan plaqua sa main sur la bouche de mon amie. *soupir*

-Kamisama arigatou...

En plus de l'empêcher de parler, Irvan lui donna une pichenette derrière la tête. J'émit un petit rire. Il serra Lira et l’emmena à côté de moi. Puis il se tourna vers la gars et dit :

-Désolé on a d’autre truck à faire mais si tu veux bien nettoyer à notre place…

Impressionnée par son audace, je me laissa entraîner lorsqu'il passa un bars sur nos épaules.

-Haaaa mes deux filles adoré, vous avez tant à apprendre. Mais ce n’est pas grave parce que nous sommes unis pour la vie et nous sommes des amis. Cette journée ne fait que commencer parce que je viens de me rappeler d’une crèmerie extra. De plus Lira, on va faire réparer ta montre. Cela vous-va ?

Un énorme sourire étira mes lèvres. Oui cela m'allait très bien. Et pour taquiner un peu mon papa chéri je lui fit la remarque :

-Bon et cette fois tu évite de te faire draguer hein ?

Je rigola de bon coeur, immédiatement suivi de Lira. Bras dessus, bras dessous, nous marchâmes vers l’horloger. Puis, en regardant ma soeur, je lui demanda :

-Au fait Lira, pourquoi le gars t'a traité de tête de P.Q rose ? C'est pas très gentil...

Et dans ma tête je continuais : *Irvan que t'est-il arrivé pour que tu ais une telle cicatrice ?* Mais encore une fois je n'osa pas et mon regard glissa jusqu'à son front...

Alors que je m’apprêtais à rétorquer, aucun mot ne sorti de ma bouche. La main de Irvan, m'en empêchée. Puis je sentie une petite douleur sur l'arrière du crane. Il retira la main. Irvan expliqua à Mister Big Mac 2029, qu'on avait d'autres chats à fouetter, il lui fourgua alors la tache ménagère. Pendant qu'Irvan me tenait pour évité que je ne fasse une autre bêtise, je tirais la langue et faisais des grimaces affreuse à Bouli, en gesticulant dans tout les sens. Mister Big Mac a accepter sans rechigner. C'est vrais que refuser un ordre de Irvan c'est difficile, surtout si le mec en face de vous a exploser la crèmerie ou vous vous trouvez. Une force me plaqua contre quelque chose. En d'autre terme Irvan, m'a prit dans ses bras.

*Je crois, que Papa Irvan, a besoin de materner! Comme une maman poule! Si c'est pas mi...*
*Irma la ferme, ou je te bouffe ! *

Il nous entraîna hors du "chaos", car le lieu ou on se trouvait, était totalement dévasté. Il nous dit alors une chose, plutôt inattendue :

-Haaaa mes deux filles adoré, vous avez tant à apprendre. Mais ce n’est pas grave parce que nous sommes unis pour la vie et nous sommes des amis. Cette journée ne fait que commencer parce que je viens de me rappeler d’une crèmerie extra. De plus Lira, on va faire réparer ta montre. Cela vous-va ?

-Bon et cette fois tu évite de te faire draguer hein ? Lança Kita le sourire aux lèvres.

Mais quel humour décapant, possède ma Kita chérie. Tellement que j'étouffe mon rire .

-Moi ça me va. Tan qu'il y a de quoi manger, ça me va de toute manière . Juste on peut trouver d'autres habits, je suis toute collante. Demandais-je un peu gêné, car il allait de soit, que Irvan allait encore une fois débourser pour nous .

*Au frais du pigeon comme on dit, Mwahahaha. *
*Irma, non de Dieu, tu va te taire un jour ?*
*Quoi, c'est vrai, Il ne fait que payer pour nous. Puis en plus il fait le justicier masqué. De toute manière pourquoi tu t'emporte? Il n'y a que la vérité qui blesse .*
*Parce que tu parle de mon "pseudo" Papa, puis c'est pas un pigeon ! Ok ? *
*Ok ok...En tout cas ton papa, pour vous faires il a pas eu mal aux ...*
*IRMA! Tu te deviens vulgaire, ça en devient pathétique. Si tu arrête pas immédiatement je te vire de ma tête et tu te retrouve à Pôle emploi! *
*C'est bon j'arrête, pardon! (soupir) *

Kita et moi étions en pleine crise de fou rire. Nous marchâmes vers l'horloger pour faire réparer ma montre. A ce moment précis, je me suis dite que j'en avais de la chance, rencontrer en l'espace de quelques heures des Supers personnes . Kita me posa alors une question plus qu'inattendue:

-Au fait Lira, pourquoi le gars t'a traité de tête de P.Q rose ? C'est pas très gentil...

-Parce que ... Heu... Je ... Heu il voulez ...T'inviter, on va dire au Mac Do. Il a pas dit, mais je l'ai lu dans son regard et donc comme le Mac Do c'est pas super Jojo. Ben je lui est dit de retourner à la "House Mac Do". Mais comme il était pas content ben il m'a dit ça . Mais bon je m'en fiche... J'ai trouvée ça très drôle. Pas toi ?

*Plus précisément Kita, il a essayer de te pécho ! *
*Elle t'entend pas Irma, alors arrête. *

Et sans faire exprès, ou je ne sais comment j'ai dit malencontreusement la phrase d'Irma :

-Plus précisément Kita, il a essayer de te pécho !
Me rendant conte que Irma, m'avais faite dire, ce que je ne voulais sur tout pas dire je suis parti en pleine querelle "Silencieuse avec Irma" .Le seul problème majeur c'est qu'Irma, je suis la seule à l'entendre. *soupir*

Du point de vu externe:

Je me retourne légèrement, besant un peu la tête pour ne pas qu'on entende. Puis je commence à m'embrouiller avec Irma . "la gitane voyante poilue comme un gorille Portugais, qui sert de secrétaire à Tarzan ! "

-Irma bon sang, pourquoi tu m'a fait dire ça ? T'es totalement jeté mon pauvre!
-...(Se justifie.)
-Comment ose tu me dire ça ? Mais c'est horrible. Tu n'es pas obligé d'être vulgaire tête d'andouille en tetrapack. Tu vas voir, se soir je vais te prendre et te découper à la machette puis Rodrigue va manger tes morceaux. Puis je vais brûler les restes en pleine place publique. Je vais faire un feux de joie . Et une fois que tu sera cramer. Je ferais un grand banquet populaire. Comme dans le livre d'Emile Zola, qui s'intitule l'assommoir . Parce que depuis quelques jours tu me saoule. J'en ai marre de toi. Mais d'un côté t'es mon meilleur ennemi, tu me fais rire alors je vais utilisé un assommoir pour parvenir à mes fins avec toi, sans littéralement te tuer .

-... (Silence radio).

-...(Attend passiament .)

-...(A peur! Se cache dans un coin)

-Irma ? t'es partit ? Non reste, je m'ennuis sans toi après !

-...(Soupir)

-S'il te plait ! (Yeux de chat)

-... (acceptation)

-Victoire ! (Saut de trois mètres de haut à en toucher les nuages.)

-...(Saut de trois centimètres de haut à en toucher le sommet du cerveau.)


Vous vous demandez ce que Irma a bien pu dire ? Ben pour le bien de tous. Il a été censuré...
Le plus drôle dans tout ça c'est que ... La querelle entre Irma et moi ressemblée à un pétage de plomb-monologue et bien que j'étais énervée, tout mes dires furent silencieux, du moins je les avais chuchotés.
Je me tourna vers Kita et Irvan qui semblait un peu choquaient, surpris peut être.

Je me suis remise en marche me dirigeant vers l'horloger pour évité les questions. Puis j'ai réalisée que je ne savais ou il se trouvait:

-Irvan vous savez ou se trouve l'horloger ?

Nous nous dirigeâmes vers la boutique ancienne de montres, horloges, et toutes objets informant l'heure. Je vis sur ma gauche un couple. Ce qui m'a rappelé le passage avec la vendeuse et Monsieur Irvan. J'ai alors demandé :

-Monsieur Irvan, la jeune femme vous l'aimez; Celle qui m'a versée la crème de glace dessus . Parce que si vous l'aimez, je ne veux pas que l'incident d'aujourd'hui brise tout ! Mais je voudrais savoir une chose et ça peut paraître idiot mais vous savez ce qu'est l'amour ? Je sais que mon Papa a toujours dit que l'amour avec un grand "A" se rencontre qu'une seule fois. A vrais dire je n'ai jamais vraiment su ce que cela voulait dire... Après tout à mon âge, je ne peux pas savoir ce qu'est l'amour, je ne sais pas à quoi ça sert, ni a quoi ça ressemble. Mes parents n'avaient jamais le temps de m'en parler. J'ai appris dans les livres que les amoureux finissaient toujours heureux avec pleins d'enfants dans un château. Vous allez faire ça, vous allez nous quitter pour la vendeuse? Pour vivre dans un château avec elle ? Vous allez avoir des enfants avec elle ? Je vous le demande Monsieur Irvan ne nous abandonnait pas. Kita et moi avons encore besoin de vous .

Je me dirigea vers notre Papa psy, je le sera fort dans mes bras. Je fis signe à Kita de nous rejoindre. Je le sera alors de toute mes forces, pour entendre son coeur battre, j'attendais que Kita vienne pour faire de même.

-Mon Papa me manque tellement. Soufflais-je innocemment

Kita répondit à ma question la première. << Bon et cette fois tu évites de te faire draguer hein ? >> Je souris et regarda alors le plafond. Me faire draguer ? Moi ? Déjà c’est la première fois que je sors sans être en tenue de travail. Mais bon ça n’arrivera pas une deuxième fois. Je redescendis alors ma tête pour regarder droit devant moi, j’enlevai mes bras autour des deux filles et passa ma main droite dans mes cheveux pour les replacer de façon à ce que ma cicatrice soit moins visible. Je répondis ensuite à Kita :


Ensuite vint la réponse a Lira qui avait mis un moment avant de répondre à cause de je ne sais quoi. << Moi ça me va. Tan qu'il y a de quoi manger, ça me va de toute manière. Juste on peut trouver d'autres habits, je suis toute collante. >> Les dernière paroles de Lira me parvinrent en écho dans mes oreilles. Mes yeux écarquillèrent et je regardai alors mon torse et ensuite Lira. Je lui ai passé mon chandail pour qu’elle puisse avoir quelque chose de sec. Donc en résumer, Je suis entre deux jeunes filles mineur, en torse, dans un centre commercial et sans oublier le tout, j’avais mes bras autour d’elle. Mais pour qu’elle pervers je viens de passer moi ?!

Lira et Kita discutais du pourquoi le gars l’a traité de ‘’ tête de P.Q rose ‘’ alors que moi je cherchais un plan du centre commercial du regard. Lorsque nous passions à côté d’un plan du centre commercial, je lâchai un regard et chercha une boutique de vêtement pour homme et femme. Ensuite vint la question a Lira : Irvan vous savez ou se trouve l'horloger ? Pas vraiment, mais en regardant sur le plan pour la boutique de vêtement j’ai aussi vue la boutique de l’horloger. Alors j’irai de mémoire… Dans le pire des cas je demanderai mon chemin. Je répondis alors à Lira :


Je marchais avec Lira et Kita à côté de moi, après ce qu’il c’est passer il est mieux de se changer les idées et de faire de cette journée une chose agréable. Donc voyons, si mes calculs sont bons, on devrait être à la boutique de fringue ou chez l’horloger dans cinq ou dix minutes au max. En marchant je descendis les yeux vers Lira, pour voir comment elle se portait face à l’évènement qui c’était passer. Elle se tourna alors la tête pour marmonner je ne sais quoi. Kita glissa subtilement ses yeux sur mon front, à sa hauteur elle pouvait probablement apercevoir ma cicatrice. Ça la perturbe faut croire.

Puisque tout le monde furent dans leurs petit monde, je fis de même et réfléchissait à ce qu’on pourrait faire. Donc récapitulons. C’est l’été, il fait assez chaud à l’extérieur. Je me suis fait draguer, Lira a insulté une vendeuse, j’ai mis Kita dans les pommes et enfoncer mes griffes dans ses bras. Ensuite j’ai perdu mon bandeau pour panser les blessures que j’ai fait à Kita. J’ai nettoyé Lira et je lui ai passé mon chandail. Présentement, je marche en allure pédobear avec deux jeunes filles. Chouette.

Futurement, on va réparer la montre a Lira, acheter des fringues pour que je n’ai plus l’air de pédobear devant 45 millions de gens. Ensuite Lira doit prendre une douche. Qui a-t-il à faire sur l’ile de Maryoku ? Si ma mémoire est bonne il y a…

Lira se stoppa et se s’éloigna alors de moi un peu pour se retourner et me poser les questions qu’elle avait sur le cœur.


Dans ma tête, ma mâchoire toucha le sol. ‘’ Monsieur Irvan’’ ‘’ vous’’. Maintenant tous les gens qui l’ont entendu vont me prendre pour un sal pervers qui abuse d’eux. Mais je gardai mon calme et ses alors que Lira s’avança vers moi et me serra fort. Kita vinrent se joindre à elle et j’eu une envie de pleurer. Je me battais contre moi-même pour retenir mes larmes. Elles ont toute les deux perdu leurs pères, frère et sœur. Je peux comprendre leurs souffrances. Je déposai alors une main derrière leurs têtes et je m’accroupis Pour être de leurs tailles. De regarda en premier Lira.


Je sortis alors un stylo de ma poche et écrivit sur ma main ‘’ K.L.I ‘’. Je passais ensuite le stylo a Lira en lui expliquant.


Je mis ma mains au centre, replaça mes cheveux, encore, et attendis qu’elles aient terminée. Pendant ce temps j’avais pu terminer la liste de chose à faire à Maryoku. Un zoo, un cinéma et théâtre, parc d’attractions, plage, restaurant, aire de jeux. Allez au zoo se serait bien. Je pense que Lira et Kita aimerais cela voir des animaux et les nourrir.

Une fois leurs mains mis par-dessus la mienne, je mis ma deuxième main par-dessus.


Maintenant je dois juste espérer que dieu fasse en sorte que la journée se termine bien. Après tout, le Zoo ses pas mal !

Lira avait éclaté de rire avec moi quand j'avais dit à Irvan d'éviter de se faire draguer. Irvan répondit après avoir enlever ses bras de nos épaules et replacé ses cheveux. Je remarquais qu'il avait fait en sorte que sa cicatrice soit cachée.

-Tu sais Kita, me dit-il, avec ma cicatrice a vu les gens vont plutôt avoir peur de moi. De plus je sais que tu as une forte envie de me demander ce qui m’a fait ça. Lorsque tu te sentiras prête tu pourras me demander.

Je le regarda, surprise qu'il m'autorise à lui poser des questions sur son passé.

-Oui, quand je me sentirais prête, je te demanderai, fit-je en souriant.

C'est ensuite Lira qui pris la parole pour dire que ça ne la dérangeais pas tant qu'il y avait de quoi manger et pour demander de passer trouver de nouveaux vêtements. C'est vrai qu'avec le T-shirt d'Irvan qui lui collait à la peau à cause du sucre de la crème glacée, ça ne devait pas être très agréable. De plus, Irvan était torse nu et, dans la rue, les gens se retournaient sur notre passage, à croire qu'il allait se transformer en...*Non, Kita chut. La dernière fois que tu as dit ça, tu t'es retrouvée à quatre pâtes, au pied d'un Lycan sous sa forme humaine.* Bref !
Lira eut l'air surprise que je lui demande pourquoi l'autre l'avait appelé Tête de P.Q rose et elle répondit avec certaines hésitations :

-Parce que ... Heu... Je ... Heu il voulait ...T'inviter, on va dire au Mac Do. Il a pas dit, mais je l'ai lu dans son regard et donc comme le Mac Do c'est pas super Jojo. Ben je lui est dit de retourner à la "House Mac Do". Mais comme il était pas content ben il m'a dit ça . Mais bon je m'en fiche... J'ai trouvée ça très drôle. Pas toi ?

Je restais bête. Il n'y avait pas d'autre moyen de décrire mon état à ce moment là. Bête avec des yeux aussi gros que des balles de tennis. Mais je faillit perdre ma mâchoire lorsqu'elle continua :

-Plus précisément Kita, il a essayer de te pécho !

Bug informatique

-QUOI ?!

Guim' ne répondit pas, soudain concentrée sur...je n'en sais rien en fait. Je la vit légèrement se retourner et baisser la tête. Puis elle se mit à parler toute seule : "Irma bon sang, pourquoi tu m'a fait dire ça ? T'es totalement jeté mon pauvre !" Pause. Puis rebelote ! "Comment ose tu me dire ça ? Mais c'est horrible. Tu n'es pas obligé d'être vulgaire tête d'andouille en tetrapack. Tu vas voir, se soir je vais te prendre et te découper à la machette puis Rodrigue va manger tes m..." Je m'éloignait un peu d'elle, confuse. Mais qu'est-ce qui lui prenait ? Elle est tombée sur la tête ou quoi ? Il y avait quoi dans cette crème glacée ? Irvan ne sembla pas la remarquer, cherchant plutôt quelque chose du regard. *Tant mieux pour lui*, pensais-je. Je suivit le regard d'Irvan, me demandant s'il fallait que je le prévienne que Lira était en train de s'auto-menacer quand celle-ci prit la parole...en s'adressant à Irvan cette fois :

-Irvan vous savez ou se trouve l'horloger ?

-Bien sûr que non, répondit-il. Mais j’ai vue sur le plan et je sais il est dans quel coin. Commençons par tes, enfin, nos vêtement…

Je laissais tomber le sujet Mr. Big mac et opinait du chef. On marcha pendant plusieurs minutes silencieuses. Personnes ne parlait, sûrement trop concentré sur ses pensées. Quand à moi, j'avais beau m'obliger à ne pas couler mon regard sur la cicatrice, presque cachée, d'Irvan, je n'y arrivais pas. Il y avait toujours un moment où je me retrouvais à la fixer. J'avais vraiment envie de savoir ce qui lui était arrivé. Comment un homme aussi gentil que lui pouvait avoir une telle marque. A la pensée que quelqu'un ai pu le frappé, mon souffle se coupa. Mais il avait pu se faire ça tout seul... Dans tous les cas, ce n'était pas juste.
Je monta ma main à mon visage, effleurant la cicatrice sous mon oeil. Elle était petite par rapport à celle d'Irvan mais jamais je ne pourrais oublier comment je l'avait eu et toutes les horreurs que j'avais dû surmonter à ce moment. Lira me fit sortir de mes pensées :

-Monsieur Irvan, la jeune femme vous l'aimez ? Celle qui m'a versée la crème de glace dessus. Parce que si vous l'aimez, je ne veux pas que l'incident d'aujourd'hui brise tout ! Mais je voudrais savoir une chose et ça peut paraître idiot mais vous savez ce qu'est l'amour ? Je sais que mon Papa a toujours dit que l'amour avec un grand "A" se rencontre qu'une seule fois. A vrais dire je n'ai jamais vraiment su ce que cela voulait dire... Après tout à mon âge, je ne peux pas savoir ce qu'est l'amour, je ne sais pas à quoi ça sert, ni a quoi ça ressemble. Mes parents n'avaient jamais le temps de m'en parler. J'ai appris dans les livres que les amoureux finissaient toujours heureux avec pleins d'enfants dans un château. Vous allez faire ça, vous allez nous quitter pour la vendeuse? Pour vivre dans un château avec elle ? Vous allez avoir des enfants avec elle ? Je vous le demande Monsieur Irvan ne nous abandonnait pas. Kita et moi avons encore besoin de vous.

On s'était tout les trois arrêté. Ce que venait de dire Lira fit briller mes yeux. Les larmes menaçaient de tomber mais restèrent immobiles. C'est alors qu'elle s'avança et serra Irvan dans ses bras. Elle me fit signe de la rejoindre. Émue, je le serra également dans mes bras. J'avais cette sensation qu'on serait toujours là les uns pour les autres et que, désormais, rien ne pouvait nous séparer. Je sentis une main se poser derrière ma tête et Irvan s'accroupit devant nous. Il regarda Lira et elle dit :

-Mon Papa me manque tellement...

Je la regardais à mon tour et lui prit la main en souriant : je savais exactement ce que ça faisait de perdre sa famille.

-Non, Lira, dit Irvan. Je ne suis pas amoureux de la vendeuse. Elle était jolie, certes, mais toi et Kita êtes beaucoup plus importante pour moi. Ton père a raison Lira, l’amour avec un grand A se trouve une seul fois. Mais avant d’atteindre ce grand A, tu dois d’abord passer par les petits. Et les petits font mal parfois. L’amour ne s’explique pas, malheureusement, mais quand tu auras trouvé ce A, ton cœur te le dira et non, l’amour ne veut pas dire vivre dans un château et avoir plein d’enfant. Tu comprendras le temps venu, Lira.

Il tourna ensuite son regard vers moi.

-Je sais très bien que je ne remplacerai pas votre père ou vos frères.

Je baissais la tête en rougissant. Je l'avais accidentellement confondu avec mon frère, il y avait à peine quelques minutes.

-Je suis un simple psychologue qui essais de survivre comme vous, continua-t-il. Je ne pourrai pas non plus essayer d’être votre nouveau père. Tout ce que je peux faire c'est être là quand vous en avez besoin et vous montrer ce que votre père et mère n’a pas pu faire. Mais n’allez pas croire que la vie est terminée car elle commence. Même pour moi qui a plus de dix ans de plus que vous.

Je relevais la tête, les joues mouillées de larmes. Je vit Irvan sortir un stylo de sa poche et écrire sur sa main. Je me rapprochais légèrement de lui, curieuse. Sur sa main était écrit en lettres majuscules "K.L.I". Mes larmes coulèrent encore plus, venants s'écraser sur le sol ou sur mes vêtements.

-Ne ramène pas le passer, garde les bon souvenirs de ta famille et passe à l’autre chapitre car ta famille restera toujours dans ton cœur, partout où tu iras. Écrit sur ta main ce qui est le plus important pour toi et met la par-dessus la mienne. Passe le stylo à Kita pour qu’elle fasse de même.

Lira s'exécuta pendant qu'Irvan replaçait à nouveau ses cheveux et mit sa main au centre du cercle qu'on avait créé. Guimauve me passa ensuite le stylo. Je le prit et écrit dans le creux de ma main "Aijou" Ça veut dire "Amour" en japonais. Car pour moi, il n'y a rien de plus important que l'amour. Car sans l'amour, le monde ne serais qu'un désert de monotonie et de chaos. Car avec l'amour de sa famille, de ses amis, on peut tout surmonter. Je posa ma main sur celle de Lira qui l'avait elle même posé sur celle d'Irvan. Il recouvrit nos main de sa deuxième. Je pleurer maintenant, n'arrivant plus à retenir mes larmes. Mes larmes de joies.

-Maintenant il est temps d’aller s’amuser, nous dit-il en promenant son regard sur nous. Ce que vous avez écrit sur votre main est ce qui a le plus d’importance pour vous. Alors ne faites rien pour le perde. Nous sommes amis et ‘’unis’’, on s’entraidera, se chicanera, mais ! Jamais nous allons nous trahir.

-Non jamais, répétais-je.

Je posa ma main libre sur celle d'Irvan et la serra fort. Je fit de même avec la main de Lira.

-Bien, voilà le nouveau plan. On va acheter des fringues, faire arranger la montre a Lira, ensuite on retourne s’acheter une glace a une crèmerie différente et on l’a mange en retournant au campus de Maryoku. Lira va se laver et je vous amène à un endroit super. Vous en dites quoi ?

-Moi j'en dit que ce serait génial, répondis-je avec enthousiasme. Et cette fois, je te promet qu'il n'y aura pas d'incident.

Je retira mes mains et prit l'élastique rangé dans ma poche. Et, tout en nouant mes cheveux en queue de cheval, je déclara :

-J'aimerais bien faire un tour au Zoo, si ça vous dit. Vous croyez que les animaux peuvent sentir qu'on est...différents ? Ce serait marrant, terminais-je avec un sourire moqueur en coin.

J'essuya les quelques larmes qui restaient sur mon visage. Et voilà, en quelques secondes, je suis passée de la jeune fille qui pleure à celle, heureuse de pouvoir passer du temps avec deux personnes qui compte énormément pour elle. Je me tourna et commença à marcher. Puis, au bout de quelques pas, je me retourna vers mes amis et dit avec un grand sourire :

-Ben alors, vous venez !

Récapitulons: Papa nous expliqua, qu'il ne savait absolument pas ou se trouvait l'horloger, mais qu'il était dans le coin d'après le plan du centre. Il ajouta quand premier lieu, on allait acheter des habits digne de se nom.

*Papa? Tu l'appelle Papa, maintenant ? *
*Ha, non! Tu ne me coupe pas dès la première phrase! *
*Non, je trouve ça un peu tôt donc je te reprend *
*Je l'appelle comme je veux. Il nous la demandé aussi !*
*Appelle moi Maman alors, et il ne te l'a pas demandé.*
*Je t’appellerais jamais de la sorte,même sur ton lit de mort. Puis il l'a bien voulu*
*C'est cela...*
*Tu la ferme, Compris ? *

Kita était obnubilée par la cicatrice du front de PAPA. A vrai dire elle est très impressionnante, mais ça lui donne un air de Rambo, de guerrier, d'Homme. On s'y habitue vite aussi.

Je suis actuellement dans les bras d'Irvan et de Kita qui pleure à chaudes larmes. Je sent qu'Irvan en a aussi envi, pourtant il se retient, je le sent. Son corps est victimes de soubresauts. Il se baisse et m'explique poétiquement ses sentiments pour la vendeuse miss boobs de l'année :

-Non, Lira. Je ne suis pas amoureux de la vendeuse. Elle était jolie, certes, mais toi et Kita êtes beaucoup plus importante pour moi. Ton père a raison Lira, l’amour avec un grand A se trouve une seul fois. Mais avant d’atteindre ce grand A, tu dois d’abord passer par les petits. Et les petits font mal parfois. L’amour ne s’explique pas, malheureusement, mais quand tu auras trouvé ce A, ton cœur te le dira et non, l’amour ne veut pas dire vivre dans un château et avoir plein d’enfant. Tu comprendras le temps venu, Lira.Il posa son regard sur Kita. Je sais très bien que je ne remplacerai pas votre père ou vos frères. Je suis un simple psychologue qui essais de survivre comme vous. Je ne pourrai pas non plus essayer d’être votre nouveau père. Tout ce que je peux faire ses être la quand vous en avez besoin et vous montrer ce que votre père et mère n’a pas pu faire. Mais n’allez pas croire que la vie est terminée car elle commence. Même pour moi qui a plus de dix ans de plus que vous.

Pour être franche, j'ai été touchais. Puis il a fait une chose qui m'a échappée. Irvan m'a dit de ne pas vivre dans le passé et d'écrire sur ma main les choses les plus importantes. Je réfléchis longuement, très longuement. Me demandant quelle était la chose la plus importante à mes yeux désormais. Une fois trouvé, ça apparut comme une évidence. Gabrielle Baskerville, ma meilleur amie. Je le sent souvent au fond de mon coeur, ce sentiment, le même qu'on éprouve lorsqu'on aime quelqu'un plus que tout. Celui qui nous déchire lorsqu'elle vous rejette. Qui vous fais vous sentir bien quand vous la voyez. Ma meilleur amie, celle qui a pourtant si changé, est aujourd'hui, je le sais, je viens de l'apprendre grâce à Irvan, celle qui me maintient en vie. Gabrielle me donne la force, car je veux la protéger. Mais est ce de l'amitié ? De la Fraternité ? Ou est ce que je suis amoureuse? C'est alors que je pris le stylo et écrivis "Gabrielle"en toute lettre suivis de "Yua" qui veut dire Gentillesse, un mot qui se combine avec Gaby. On ne dirait pas, mais elle est profondément gentille, elle a simplement perdue foi en la vie. Kita inscrit "Aijou" et Irvan "K.L.I"

Irvan se mit en mode Lira Pandora en disant: Maintenant il est temps d’aller s’amuser.... Puis ils nous expliqua qu'on se disputerai mais on resterai amis.

*Hey beh! Ca donne envie d'être ami ça !*
*Je suis bien ami avec toi !*

-Bien, voilà le nouveau plan. On va acheter des fringues, faire arranger la montre a Lira, ensuite on retourne s’acheter une glace a une crèmerie différente et on l’a mange en retournant au campus de Maryoku. Lira va se laver et je vous amène à un endroit super. Vous en dites quoi ? Demanda t-il ?

-Moi j'en dit que ce serait génial. Et cette fois, je te promet qu'il n'y aura pas d'incident. Elle prit un élastique et noua ses cheveux. J'aimerais bien faire un tour au Zoo, si ça vous dit. Vous croyez que les animaux peuvent sentir qu'on est...différents ? Ce serait marrant. Elle termina sa phrase avec un sourire narquois.
Kita chérie s'élança, en essuyant les larmes qui persistaient. Elle se retourna en disant:

-Ben alors, vous venez !

-Oui, on va au Zoo! Youpi! On va voir des girafes ? Des éléphants ? Des lions? Des Dauphins ? On va voir des Autruches ? J'adore ces bêtes, elles sont rigolotes, surtout quand elles marchent. Elle me rappelle ma tante Mimosa...
Je pris une grande inspiration pour crier: On va voir des tigres ? Whaou des tigres? Grrrr grrrrr . J'avançais vers Kita en rugissant. Je l'attrapa par la main.
C'est alors que je pris aussi Irvan par la main, Je vis sa cicatrice, et lui passa un ruban rose dragé qui se trouvait dans ma poche:

-Tiens Irvan. C'est pour toi, pour ta blessure. Pour plus qu'on la voit. C'est du satin c'est classe, comme matière. Pas vrai Kita ? Dis-je en faisant un clin d'oeil .

Je suis toute surexcité à l'idée d'aller au Zoo et de faire du shopping. Je vis Rodrigue sa guitare à la main. Je me tourna les yeux pétillants vers Kita:

-Regarde Kita chérie, C'est Rodrigue. On l'invite ? Un Monsieur Irvan, Dis ouiiiiiii ? C'est mon am... Copain.

Je partis en trombe rejoindre Rodrigue. Peut être que lui aussi peut être un ami. Peut être que lui aussi veut aller au Zoo.

Kita avais mis sa main par-dessus la mienne. Ensuite vint celle de Lira. Chacune d’elle savais maintenant ce qui tenait le plus à leurs yeux. Maintenant elles n’ont plus qu’à vivre leurs vies a fond. Mon travail auprès d’eux en tant que psychologue est terminer, mais je vais quand même rester proche d’eux car nous sommes amis et les liens que nous avons ne doivent pas être perdu.


Je regardai Lira et Kita, mes deux fille adoptives, enfin depuis ce nouveau monde et mode de vie. Kita se redressa et approuva mon idée pour faire de cette journée la meilleur de tous. Le pire dans tout ça c’est qu’elle a lu dans mes pensées car elle m’avoua vouloir allez au zoo et me promit qu’il n’y aura pas d’autre incident. Elle s’élança ensuite en essuyant les quelques larmes sur son visage, et après avoir fait un bon mètre, Kita se retourna vers nous pour dire très joyeusement : bon alors, vous venez ? En moins de dix seconde Lira se leva et c’était limite pour qu’elle ne sautille sur place tout-en disant : Oui, on va au Zoo ! Youpi ! On va voir des girafes ? Des éléphants ? Des lions ? Des Dauphins ? On va voir des Autruches ? J'adore ces bêtes, elles sont rigolotes, surtout quand elles marchent. Elle me rappelle ma tante Mimosa...

Si les autruches lui rappellent sa tante Mimosa, je préfère ne pas savoir ce qu’elle faisait, pensais-je. Lira pris ensuite une grande respiration, tellement que ses poumons allaient explosés. Elle s’écria comme une enfant : On va voir des tigres ? Whaou des tigres ? Grrrr grrrrr. Elle s’avança vers Kita tout-en rugissant puis attrapa sa main. Je fus vraiment content de voir qu’elles s’amusent, d’une certaine façon ca apaisais mon cœur.


Lira pris ensuite ma main et déposa son regard sur mon front. Je lui souris simplement et elle lâcha ma main pour me tendre un ruban rose qu’elle prit en trifouillant dans sa poche. Elle me dit alors : Tiens Irvan. C'est pour toi, pour ta blessure. Pour plus qu'on la voit. C'est du satin c'est classe, comme matière. Pas vrai Kita ? En effet, très classe Lira, j’adore. Merci, lui dis-je en déposant ma main sur tête rose.


Je pris le ruban rose et l’attacha a mon front pour camoufler ma cicatrice mais, il n’était pas assez large malheureusement. Je cachai alors le bas de la cicatrice et mes cheveux s’occupèrent du peu qui dépassait en haut du ruban.
Nous marchâmes quelques mètre et Lira vit son ami Rodrigue qui jouais de la guitare. Elle se tourna vers Kita avec des yeux pétillant et lui sortit : Regarde Kita chérie, C'est Rodrigue. On l'invite ? Un Monsieur Irvan, Dis ouiiiiiii ? C'est mon am... Copain

Irvan remit alors sa main sur la tête a Lira puis sourit.
Si Kita est d’accord il peut venir magasiner et manger une glace avec nous mais là où l’on va ensuite il ne pourra pas malheureusement.
Il y avait quelques gens autour de Rodrigue qui l’écoutaient jouer une petite mélodie des années 2000. Je m’approchai de lui et glissa un billet de 5 dans le caisse de sa guitare puis nous engageâmes la conversation.

- Merci mon jeune amis, Je vais jouer un morceau juste pour vous. Le qu’elle voudriez-vous entendre ?

- Haha Il n’y a aucun problème Rod, tu dois surement te rappeler de Lira ? je suis son ami. Et Kita aussi. Mais puisque vous me proposez cela…
Du coin de l’œil je vis un autre caisse d’un instrument de musique.

- Dite Rodrigue qu’elle instrument y a-t-il dans ce caisse derrière vous ?
- Ha ca mon ami ses un violon. J’en jouais dans les temps ou j’avais ton âge. Tu sais avant la guerre et tout (. . . Rodrigue part sur une longue conversation . . .)

- (5 minutes plus tard) Oui je vois. Vous savez jouer du Lindsey Stirling ?

- Ha mais bien sur ! Écoutez-ca !

Rodrigue prit alors son violon puis commença à jouer. Lira et Kita m’avais rejoint et elles étaient de chaque coter de moi. Ca me fit du bien d’entendre de la musique de mon temps qui est disparu aujourd’hui. Après qu’elle fut terminée, j’invitai Rodrigue à se joindre à nous pour aller faire quelques courses et manger une glace.


Je laissai alors mes deux filles avec Rod pour aller voir le plan de cet immense endroit surdimensionné. Je n’avais pas trop envie de chercher durant des heures simplement pour avoir des fringues. Je jetai un regard derrière moi pour m’assurer que tout se passe bien.
La musique que Rodrigue avait jouée plutôt continuait à me trotter dans la tête. J’avançais presque en gambadant mais je ne voulais pas passer plus fou que je paraissais présentement.

J’arrêtais quelques personne sur mon chemin pour leurs demander et je fini par trouver ce petit plan de (censurer). Je défilai la liste de magasin et je tombai sur une boutique unisexe. Le mieux dans tout ça, ses que ses a coter de l’autre crèmerie. Je mémorisai le plan dans ma tête et retourna vers Lira et Kita. Éventuellement comme je n’avais pas pris la peine de me rappeler du chemin que j’ai emprunté pour venir ici c’est la galère pour retourner. Encore elles avaient peut-être essayé de me rejoindre donc elles peuvent être complètement a l’opposer… et puis merde j’y vais de mémoire…

Lira était plus qu’enthousiaste à l'idée d'aller au zoo. Sa bonne humeur me fit sourire et me rappela que, malgré le chaos qui régnait à l'extérieur de cette île, on pouvait tout de même être heureux et profiter de la vie. Car personne ne sait quand la sienne s'arrêtera.

-Oui, on va au Zoo ! Youpi ! On va voir des girafes ? Des éléphants ? Des lions ? Des Dauphins ? On va voir des Autruches ? J'adore ces bêtes, elles sont rigolotes, surtout quand elles marchent. Elle me rappelle ma tante Mimosa...

Puis après avoir prit une grande inspiration, elle s'écria :

-On va voir des tigres ? Whaou des tigres ? Grrrr grrrrr.

Elle s'approcha de moi tout en rugissant et me prit la main.

-Oui Lira, il y aura aussi des tigres, dit-je en rigolant et en levant le doigt, comme mon père l'aurai fait pour m'avertir. Mais interdiction de les toucher, compris ? Je n'aimerais pas terminer la journée à l'hôpital...

J'avais voulu dire ça sur le ton de la rigolade mais de l'inquiétude sonna dans ma voix. Lira attrapa alors la main d'Irvan qui lui sourit. Elle sortit un ruban rose de sa poche et le lui tendit.

-Tiens Irvan. C'est pour toi, pour ta blessure. Pour plus qu'on la voit. C'est du satin c'est classe, comme matière. Pas vrai Kita ?

Elle me fit un clin d'oeil que je lui rendit.

-En effet, très classe Lira, j’adore. Merci, répondit Irvan tout en déposant sa main sur la tête de Lira.

-Comme ça, les gens n'auront pas peur de toi, dis-je à Irvan.

On marcha un petit instant et Lira se tourna vers moi, son regard pétillant de bonheur.

-Regarde Kita chérie, c'est Rodrigue. On l'invite ? Un Monsieur Irvan, Dis ouiiiiiii ? C'est mon am... Copain

*Monsieur Irvan ?* mais pourquoi l'appelait-elle ainsi alors qu'il nous a demandé de ne plus le faire ? Rodrigue jouait de sa guitare et quelques personnes l'écoutait. Je ne connaissais pas la mélodie mais elle était agréable à écouter.

-Si Kita est d’accord il peut venir magasiner et manger une glace avec nous mais là où l’on va ensuite il ne pourra pas malheureusement.

-D'accord ! Merci Papa Irvan !

Je l'embrassa sur la joue et entraîna Lira à travers les spectateurs et vint m’asseoir par terre, à côté du banc sur lequel était Rodrigue. Je fis un geste à Lira pour l'invitait à faire de même. Je n’interrompis pas notre ami dans sa prestation, préférant attendre qu'il ait finit pour le saluer. Irvan déposa un billet de cinq dans la caisse de sa guitare. Rodrigue s'arrêta de jouer.

-Merci mon jeune amis. Je vais jouer un morceau juste pour vous. Le qu’elle voudriez-vous entendre ?Mais puisque vous me proposez cela…

-Haha Il n’y a aucun problème Rod, tu dois surement te rappeler de Lira ? Je suis son ami. Et Kita aussi.

-Salut Rodrigue ! Tu as l'air en forme !

-C'est vrai. Ce sont sûrement les viennoiseries de Lira qui me font cet effet.

Il sourit puis Irvan reprit la parole.

-Dite Rodrigue qu’elle instrument y a-t-il dans cette caisse derrière vous ?

Je me pencha sur le côté pour apercevoir la fameuse caisse, que je n'avais pas remarqué jusque là.

-Ha ça mon ami ses un violon. J’en jouais dans les temps ou j’avais ton âge. Tu sais avant la guerre et tout...

Rodrigue et Irvan parlèrent pendant cinq bonne minutes. Lira et moi étions là à les observer, comme deux filles bien sages attendant le début du spectacle. J'appuya ma tête contre l'épaule de Guim' et demanda :

-A ton avis, quel genre de musique écoute Papa Irvan ?

La conversation entre Rodrigue et Papa finit par se terminer.

-Oui je vois. Vous savez jouer du Lindsey Stirling ?

-Ha mais bien sur ! Écoutez-ça !

Rodrigue accorda son violon et se mit à jouer. C'était envoûtant. Je n'avais jamais entendu une mélodie aussi merveilleuse. Complètement charmée, je me leva et me plaça à côté d'Irvan. Ma tête se balançait légèrement au rythme de la musique et je finis par fermer les yeux. Le temps fut comme arrêté et, quand la dernière note vint, j'eus l'impression qu'une éternité s'était écoulée. Irvan invita le musicien et nous partîmes tous les quatre. Irvan nous laissa seul un moment pour aller voir le plan. On marchait lentement et, bras dessus bras dessous avec Lira, je demandais :

-Rodrigue, la mélodie que tu as joué tout à l'heure, comment s'appelle-t-elle ?

-What child is this.Vous avez aimé ?

-Pour ma part, j'ai adoré. C'était vraiment magnifique.

Nous continuâmes à marcher quelques minutes puis je m'arrêtais, regardant de partout.

-Irvan n'est toujours pas revenu, déclarais-je. C'est bizarre...

-Il s'est peut-être perdu, suggéra Rodrigue.

-Peut-être..., fis-je pas très convaincu. Tu en penses quoi Lira ?

J'avais du mal à imaginer Irvan se perdre. La zone était certes très grande, mais je doutais qu'il ne puisse pas retrouver son chemin. J'eus soudain une idée.

-Je vais le retrouver, annonçais-je.

Rodrigue me regarda, interloqué.

-Et comment comptes-tu t'y prendre ? C'est bourré de monde ici...

-Ah, ça, c'est un secret, dis-je en faisant un clin d'oeil à ma soeurette adorée.

Rodrigue était notre ami, oui, mais je n'allais certainement pas lui révéler que je possédait le gène de Lycanthropie. Prenant innocemment une grande inspiration, je me concentra sur toutes les odeurs qui flottaient dans l'air. Je capta assez rapidement celle d'Irvan et souris de toutes mes dents.

-Venez, c'est par là.

Lira et Rodrigue me suivirent sur une vingtaine de mètre avant que je ne m'arrête. J'aperçut Papa en face et leva ma main pour lui faire signe.

-Irvan ! appelais-je. On est là !

En agitant la main, je percuta la tête d'une adolescente et celle-ci se mit à râler.

-Non mais c'est pas vrai ! Tu peux pas faite un peu attention aux gens qui sont autour de toi !

-Oups, désolée...

J'attrapa la main de Lira et de Rodrigue et partis en courant rejoindre Irvan.

-Il y en a, je vous jure, qui devraient suivre un stage de sociabilité ! déclarais-je, un peu essoufflée.

Mon papa fit un sourire pour exprimer son accord. Il expliqua que Rodrigue pouvait venir faire les magasins avec nous, mais qu'il devrait partir pour la suite du programme. Quel genre de Programme ? Me demandais-je. Kita me tira par le bras, bousculant les spectateurs, pour qu'on aille s’asseoir près de Rodrigue. Je sauta au cou de Rodrigue.

-ROOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOD! Vous avez pas pris une rides depuis la dernières fois !

-Euh! Lira, c'est normal. On c'est vu pour la dernière fois y a cinq heures.

-Ah! Oui mais vous êtes toujours aussi... Jeune !?!

-Je suppose que je dois dire, Merci ? Alors Merci, Lira !!

Rodrigue proposa par la suite de nous jouer un morceau. Papa Irvan décida alors du morceau joué. Une musique très très belle, mais que je ne pue réellement appréciée car là ou Kita me fit asseoir, un gros bubble Gum rose ce trouvais. Ce dernier, se colla sous mon jeans.
Je fus contrainte de rester assisse durant un long moment pour ne pas que Kita, ni Papa ne remarque la nouvelle galère qui se collait à moi. C'est le cas de le dire.

Kita-Chou m'avait demandé juste avant quel genre de musique papa pouvait écouter. Je pensais à du Rock. Elle avait désormais ça réponse. Pendant que Papa était hypnotisé par la musique, je me leva discrètement pour mettre près d'eux. Il avait l'air ravi d'entendre cette musique.
Une fois fini, nous partîmes avec le vieux mélomane, pour manger une glace. Elle était Délicieuse, succulente, onctueuse, crémeuse. Je vous passe les détails. Enfin imaginez la chose la plus fantastique possible, comme une explosion sous le palais. Une explosion qui laisse un gout rond et doux dans la bouche. Un parfum si parfait que des frissons vous parcours le dos. C'est ce que j'ai ressenti en mangeant cette glace. Irvan nous confia à Rodrigue, le temps qu'il trouve un plan. Chose plutôt bizarre, puisque depuis tout à l'heure, il ne cesse de consulter des plans. A croire qu'il aurait bien besoin d'un guide touristique.

Les minutes s'écoulées les unes après les autres; Irvan ne revenait pas. Kita s'inquiétais de plus en plus. Elle décida de partir à sa recherche tel Sherlock Holmes et son fidèle acolyte, en l’occurrence moi.
Rodrigue se demandait comment ma soeur pouvait le retrouvait. Elle ne pouvait lui dire qu'elle possédait un flaire du tonner. Elle se contenta de balancer:

-Ah, ça, c'est un secret


Je suivais Kita-Chou avec peine, mon chewing-gum sur le postérieur. Je me servais de mes mains pour cacher cette boule rose voyante énorme. Réellement la chose qui me gêné le plus, était que quelqu'un le remarque. Kita cria comme si elle venait de gagner le gros lot :

-Venez, c'est par là.

-Félicitation Kita. Dis-je en me cachant les fesses.

*Tu fais pas du tout perverse, comme ça...*
*C'est pas de ma faute, Irma*
*C'est pas grave si on te voit, avec ce malabar collé. Tu sais ?*
*Non, après Kita va encore dire que je fais que des bêtises*

-Irvan, on est là ! Dit- elle en agitant les bras, pour qu'il nous voit.

Une jeune femme piqua sa crise car kita venait de lui frôlait le crâne.
Kita s'excusa, et lança une fois la fille éloignée :

-Il y en a, je vous jure, qui devraient suivre un stage de sociabilité.

-Hélas, les gens sont un peut agressifs de nos jours. Ils ne connaissent pas la politesse. Ce qui est extrêmement navrant, c'est que personne n'est aussi mignon, gentil, adorable, poli, et aimant que toi !!! Enfin tan pis. Puisque je parle avec la perle rare que tu es ! Je pris alors Kita dans mes bras et la relâcha pour m'adresser à Irvan.

-Dites, Papa. On va ou maintenant ?

*Tu viens de l'appeler Papa ????*
*Hein? N-O-N!*
*Si, tu viens de le faire.*
*Mais non, je le dis que quand je parle avec toi.*
*Je te dis, que tu viens de lui dire Papa*
*Oh! Nooon! Je fais quoi maintenant ? *
*Tu fais comme si tu avais rien dit*
*D'accord, alors je n'ai rien dit*

Je me dirigea vers le plan et une femme me demanda avec un accent à couper au couteau:

-Hé hé! Oh! Tu saye ou il est le glacier ? Il paraye qui y a eu une bagayrre la bôs... Avec un homme et une fiyeuh étrange.

C'est alors que je l'ignora. Elle insista en m’agrippant l'épaule:

-Hooo! hey! tu saye je tey vu tout à l'heure avec une glace. Alors dis moi ou c'est.

-Madame, premièrement on ne se connait pas, alors un minimum de politesse s'il vous plait. Deuxième je n'aime pas les contacts physiques avec les inconnus. Dernièrement c'est gens là ne sont pas des bêtes de foires!!!!! COMPRIYEUH ?

*Joli imitation, Lira! *

-Bah si, je faye une photow du glacier. Y a moyeeen que je me fasseuh dey sous.
Alors c'est ou? Je peux vous payer si vous voulez. Z'êtes petite, ca te dit un peuh d'argent ?

-Vous voulez savoir ou c'est, pour vous faire des sous, sur leurs dos ? Vous n'avez pas honte ?

-Exaytement puis ce sont des monstres. Ils ne méritent que ça, alors cey ou ? Au faite tu as un bonbon tout deygeulasse sur ton jeans.

Cette femme me taper vraiment sur les nerfs, son accent était fort déplaisant; il lui manquait des dents alors elle me postionnait dessus; elle s’agrippait à mon épaule, comme une huître le ferait avec son rochet, tout en me secouant comme un pommier. Quel grossier personnage. Je ne sais pour quelle raison, je me suis emportée.

-Très bien, le glacier est entre, allez vous faire voir et achetez vous une carte. Je suis une étudiante, pas un GPS.
ET JE SAIS QUE J'AI UNE MALABAR SUR LES FESSE VIELLE BIGOTE. VAS T'ACHETER UN DENTIER !!!

*Ça devient vraiment grave tes crises de nerfs. Tu devrais être un peu plus pondérée.*
*Elle insulte mes... Les gens que j'apprécie*
*Tu dois apprendre à te contrôler*

-Bon Kita, Papa, Rodrigue ? On va au ZOO ? Ou ailleurs ?

*J'y crois pas. Tu viens de le rappeler Papa *
*J'ai pas fait ça ??? *
*Et siiiiii!! *
*Oh! Mais je suis pas possible*
*En plus tu as un malabar sur tes fesses*
*Je sais...*
*Il est très gros, tu sais. C'est un énorme chewing-gum*

-Je sais que j'ai un malabar sur les fesses, Irma... MERCI, Vraiment pour tes lumières. Mais tu commences à me gonfler.

*Tu parles à haute voix, chérie ...*

A ce moment précis tout les yeux ce sont rivés sur mon jeans. Irma ricané comme un dératé. Le malabar que je tentais de dissimuler depuis des heures, venait d'être exposé au grand jour. Et pour finir moi la fille au cheveux rose, celle qui était la plus voyante, ce mettais à parler à vive voix avec quelqu'un, qu'elle seule entendait.
Je me suis tapée la tête contre le plan du centre commercial ou un homme me regarda comme si j'était folle.

-Bah quoi ? Vous voulez ma photo ? Le ZOO c'est pas ici !!! Non mais on a plus le droit de se casser la gu*ule maintenant !?! Nom de Dieu.


NOTE PERSONNELLE: Trouver un trou noir, pour que je me puisse disparaître à Jamais. Je vais me terrer, m'ensevelir. Pour mourir avec la honte qui me tient compagnie si souvent.

Alors que je venais de passer pour une folle, et que sur mon front était gravé en lettres capitales, le mot: Boulé. Une seule chose me préoccupais. FUIIIIIIIIIIIIIIR Loin !!!
Je ne pouvais rester là une minute de plus et leur exposer ce triste spectacle.

-Alors on y va... On va ou ? Vite qu'on se dépêche, Papa !!!

*Aaaaaaaaaaaaaaaaaaah! Je suis irrécupérable*
*Ma pauvre enfant*